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L’obésité affecte bien plus que le coeur et le métabolisme chez les hommes

Le British Journal of Urology International rapporte que l’obésité affecte bien plus que le cœur et le métabolisme pour les hommes.

Selon des recherches effectuées sur 409 hommes avec une dysfonction urinaire, 29 % avait un tour de taille d’un mètre ou plus.

On a constaté que plus le tour de taille était important, plus les dysfonctions urinaires étaient présentes et moins la santé sexuelle était bonne.

Chez les hommes qui souffraient le plus d’obésité, ils pouvaient uriner plus fréquemment, allant à la salle de bain plus de huit fois par jour.

En outre, 74,5 % des répondants ont dit éprouver des dysfonctions érectiles et 65 % des troubles d’éjaculation.

La bonne nouvelle c’est que ces problèmes peuvent facilement être traités avec une simple perte de poids. Même avec aussi peu que 6 cm de tour de taille en moins, on note une amélioration significative pour ces problèmes.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La fumée secondaire responsable de problèmes urinaires chez l’enfant

Selon l’Environmental Protection Agency, les parents seraient responsables de plus de 90 % de l’exposition de leurs enfants à la fumée secondaire de cigarettes.

Les physiciens de l’University of Medicine and Dentistry of New Jersey-Robert Johnson Medical School ont prouvé que la fumée secondaire de la cigarette était associée à des troubles d’irritation de la vessie de gravité modérée à sévère chez les enfants.

« La fumée de cigarette est une toxine dans l’environnement et est dangereuse pour la santé des enfants, particulièrement chez les tout-petits et les préadolescents. Les parents devraient concerter leurs efforts pour réduire l’exposition de leurs enfants à la fumée secondaire lorsqu’ils fument dans des espaces confinés comme la maison et la voiture. Cesser de fumer est l’option qui est la meilleure pour la santé des jeunes », explique le Dr Joseph G. Barone, pédiatre urologue.

Rappelons que les enfants exposés à la fumée secondaire parentale sont plus susceptibles d’avoir des maladies respiratoires chroniques toute leur vie.

La fumée secondaire durant la petite enfance est associée à un risque accru de maladies respiratoires chroniques et de déficits de la fonction pulmonaire en fin de vie, et ce, indépendamment du fait que l’enfant devenu grand ait fumé ou non lui-même.