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Une passagère d’Air Canada passe 7 heures dans son urine

Une femme de Dublin n’en revient pas de la façon dont elle a été traitée par des employés à bord d’un vol d’Air Canada.

L’histoire de la passagère humiliée par les agents de bord d’Air Canada a été rapportée aujourd’hui par le quotidien Dublin Live.

La malheureuse retournait chez elle en Irlande, ayant quitté la ville de Bogota en Colombie, le mois dernier à bord d’un vol d’Air Canada lorsque les événements sont survenus.

Lors de la première portion de ses vols de retour, la femme devait voler de Bogota à Toronto. Ce vol fut retardé de deux heures.

Lors de ce retard, la femme a exprimé son besoin d’aller aux toilettes à quelques reprises. 

« J’ai demandé au personnel à quatre reprises durant ces deux heures si je pouvais aller aux toilettes. J’ai dit qu’il s’agissait d’une urgence et que j’aurais un accident s’ils ne me laissaient pas utiliser les toilettes » raconte la femme de 26 ans.

Même si l’avion était stationné au sol, les agents de bord n’ont pas autorisé la passagère à se rendre aux toilettes.

« On m’a agressivement mentionné de retourner à mon siège », ajoute la passagère humiliée.

N’en pouvant plus, la femme a uriné sur son siège. Elle passa un total de sept heures dans cette situation malheureuse. 

Arrivée à Toronto, la passagère a dû prendre une chambre d’hôtel pour aller prendre une douche et changer de vêtements, plutôt que de poursuivre sa route en direction de Dublin pour rentrer chez elle.

À son retour à la maison, la cliente d’Air Canada a porté plainte à la compagnie aérienne. La société a assuré que ses processus seraient révisés et a offert un dédommagement de 500 $ en rabais pour un prochain vol pour cette mésaventure. 

La passagère humiliée considère ces excuses comme trop peu. De plus, se jurant ne plus jamais vouloir voler sur Air Canada, elle ne veut rien savoir du rabais consenti par la compagnie aérienne.

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Air Canada n’a pas voulu commenter l’affaire au quotidien de Dublin.

Photo : Air Canada

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Des chiens capables de détecter un cancer de la prostate

Alors que la quête des meilleurs tests possible de dépistage du cancer se poursuit, une équipe de chercheurs italiens annonce qu’elle est parvenue à entraîner deux chiens dépisteurs capables de détecter la maladie.

Il s’agit de deux femelles nommées Zoé et Liu, rapporte Top Santé, qui seraient maintenant capables de détecter la présence du cancer de la prostate en reniflant simplement des échantillons d’urine prélevés des patients.

Il s’agit d’une toute nouvelle utilisation, aussi brillante qu’intrigante, de l’odorat développé des canidés, qui a déjà fait ses preuves dans un grand nombre d’autres situations.

C’est l’équipe du Dr Luigi Taverna, de l’hôpital Humanitas Research de Milan, qui a annoncé cette découverte pour le moins étonnante.

Plus étonnant encore, les résultats de ces deux chiens pisteurs frôlent la perfection. Sur une base de 902 échantillons, dont 362 étaient positifs, les chiens Zoé et Liu auraient reniflé la présence de la maladie avec une précision de 100 % et 99 %, respectivement.

« Ce type de diagnostic est reproductible, peu coûteux et non invasif », se réjouit le Dr Taverna, qui devra maintenant convaincre le reste du monde de la pertinence et de l’efficacité de son idée.

Cette recherche, par ailleurs présentée au Congrès annuel de l’Association américaine d’urologie d’Orlando, abonde dans le même sens que certaines précédentes, qui indiquaient de telles possibilités pour les canidés, notamment en matière de dépistage du cancer du poumon.

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Des incontournables pour encourager votre enfant à être propre

Selon Psychology Today, vous devez éviter de précipiter cette transition. Afin de vous aider, vous pouvez prendre en considération ces quelques conseils :

Cessez d’écouter ce que disent les autres – Honnêtement, c’est votre propre orgueil qui est en jeu si vous vous fiez à l’opinion de votre entourage. « Quoi? Il n’est pas encore propre? Tom faisait pipi sur le pot à 16 mois vous savez? »

Mettez-lui des petites culottes – C’est la première étape. Allez-y à votre rythme. Mais en premier lieu, bébé doit savoir ce que ça fait de sentir qu’on est mouillé. Avec les couches, il ne comprend pas la différence.

Horaire régulier – Voici l’une des clés du succès. Avant d’entreprendre la transition, notez à quel moment votre enfant tend à uriner. Par exemple, en se levant ou après les repas, puis avant la sieste. Par la suite, établissez un horaire fixe et respectez-le.

Aucun commentaire négatif – Vous devez être préparé. Votre enfant mouillera inévitablement son pantalon, son lit ou sa chaise haute. C’est à vous de prévoir le coup. Ce dont il a besoin, ce sont vos encouragements et des récompenses lorsqu’il réussit à se rendre sur la toilette à temps.

Il faut s’amuser – Faites-en un exercice agréable. Par exemple, un concours : celui qui arrive en premier aux toilettes est celui qui reste au sec! S’il le faut, dites-lui qu’il doit aussi entraîner son toutou favori au petit pot.

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La nycturie : un phénomène qui n’a rien de banal

La nycturie, le fait de se lever plusieurs fois par nuit pour aller aux toilettes, est considérée comme un phénomène normal, léger ou banal. Une nouvelle étude propose toutefois de prendre le sujet plus au sérieux, selon Santé Log.

Selon les conclusions avancées au dernier Congrès de l’Association européenne d’urologie (EAU), la nycturie est aussi précurseure d’autres problèmes, à commencer par des nuits de sommeil gâchées. Or, on sait que le sommeil est l’un des facteurs les plus importants pour une santé de fer.

Moins de sommeil ou une moins grande qualité de celui-ci est donc signe d’une moins grande vitalité, le deuxième facteur mentionné par les chercheurs. On associe la nycturie à une perte de l’énergie vitale et, par conséquent, de la joie de vivre et de la productivité.

Bien des maux, donc, pour quelques visites imprévues à la salle de bains…

Malheureusement, l’étude n’y va pas de suggestions et n’explique pas les traitements proposés. Il faudra donc que les chercheurs se penchent sur la question, puisque le phénomène risque de toucher une portion grandissante de la population nord-américaine, vieillissante.

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Trop de café pourrait mener à des problèmes d’incontinence

Les hommes qui ont certains problèmes d’incontinence devraient surveiller leur consommation de café et de caféine, suggère une étude rapportée par The National Library of Medicine.

« C’est quelque chose à considérer. Les gens qui ont des problèmes urinaires, dont l’incontinence, devraient modifier leur consommation quotidienne de caféine. Je crois que cela s’inscrit dans une démarche clinique », lance la Dre Alayne Markland, auteure principale de l’étude.

Dre Markland, de l’Université de l’Alabama à Birmingham, rappelle toutefois qu’il n’y a pas de causalité prouvée entre la prise de caféine et des dommages subséquents à la vessie chez les hommes.

Toutefois, l’étude qui observait les dossiers de plusieurs hommes a permis de constater que ceux qui consommaient plus de café que les autres étaient clairement plus sujets à ce genre de problème urinaire.

L’étude suivait les comportements de 4000 hommes par voie de sondage et cherchait à établir l’impact de la caféine sur la santé de ces sujets. Après trois ans de recherches, il est évident pour Dre Markland que ses théories s’avèrent exactes.

On conseille donc vivement aux hommes qui souffrent d’incontinence de ralentir la caféine, ce qui pourrait s’avérer un excellent premier pas pour régler le problème.

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Le bisphénol A, omniprésent et responsable de l’obésité infantile

L’étude menée auprès de 3000 enfants et adolescents est plutôt inquiétante. La recherche, effectuée par la New York University School of Medicine, conclut à une corrélation probante entre la détection dans l’urine d’une forte concentration de BPA et la prévalence à l’obésité.

Ainsi, durant l’étude, plus de 90 % des jeunes âgés de 6 à 19 ans présentait une concentration de BPA détectable dans leur urine. Pour déterminer le lien entre le taux de concentration et les risques d’obésité, l’indice de masse corporel (IMC) était également pris en considération.

Or, les résultats publiés par le Dr Leoardo Trasande de la NYU School of Medicine, selon santelog.com, démontrent clairement que le taux élevé de BPA augmente le risque d’obésité chez les enfants de plus de deux fois et demie.

Ce n’est pas tant cette information qui choque, que le fait que le bisphénol A est omniprésent, et ce, jusque dans les préparations de lait que les nourrissons boivent. Il s’agit d’un produit chimique environnemental, interdit dans certains pays, du moins pour la nourriture pour bébé.

Le Dr Trasande a même indiqué que plusieurs études ont déjà traité du sujet, indiquant même que le BPA pouvait perturber de nombreux mécanismes métaboliques. Seulement, le lien avec l’obésité infantile n’avait pas encore été mis en lumière.

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Bientôt une nouvelle façon de détecter le diabète

En ce moment, les personnes diabétiques doivent parfois faire jusqu’à 10 prélèvements sanguins, mais cela pourrait bientôt être du passé.
 
En effet, des chercheurs mentionnent dans l’Advanced Functional Materials avoir créé des biocapteurs capables de détecter des quantités, même infimes, de glucose dans la salive, les larmes ou l’urine.
 
Ces tests permettraient donc de réduire la fréquence des prélèvements quotidiens pour le contrôle du diabète.
 
De plus, il s’agirait de tests fabriqués à faible coût.
 
Cette découverte pourrait aussi servir pour la détection d’autres conditions médicales. Il suffirait de modifier l’enzyme afin de permettre de détecter une autre pathologie.
 
Jusqu’à présent, les chercheurs avaient tenté de créer des tests cutanés ou par le lobe de l’oreille ou l’haleine, mais rien ne s’était avéré assez fiable.
 
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Urine malodorante : un signe d’infection urinaire chez les nourrissons?

Il ne parle pas, donc difficile de savoir si notre petit ressent une douleur lorsqu’il urine. Toutefois, selon ce que des chercheurs du Centre Universitaire de l’hôpital pour enfants Sainte-Justine à Montréal ont constaté que l’odeur nauséabonde demeure le meilleur indice prédictif de l’IVU et ce, bien devant d’autres facteurs tels que la fièvre, le sexe ou la présence d’un reflux vésico-urétéral (malformation congénitale des voies urinaires).

Les résultats de l’étude, qui a porté sur 331 patients âgés de 1 à 36 mois et sur les questionnaires remplis par les parents qui se sont présentés d’urgence à l’hôpital, seront présentés dans le numéro de mai de la revue Pediatrics.

Les chercheurs affirment que bien que l’odeur forte de l’urine ait été remarquée chez 57 % des cas d’enfants atteints d’IUV, elle a aussi été notée auprès de 32 % des petits sans infection.

De plus, la fièvre d’origine inconnue a été notée chez tous les patients atteints d’une infection urinaire, et elle a également été présente dans 92 % des cas sans IUV.

Le sexe féminin et la présence d’un reflux vésico-urétéral (95 %) font également partie de la catégorie d’indices prédictifs d’infection urinaire.

L’étude a confirmé que l’âge de l’enfant et le passé de celui-ci concernant le nombre d’IUV vécue n’affectaient pas les résultats.

La mauvaise odeur de l’urine et la fièvre étant de bons indices prédictifs, mais encore contradictoires et manquant de spécificité, des recherches supplémentaires seront nécessaires pour confirmer ou non un diagnostic d’IUV, si l’on veut se fier uniquement à ces deux éléments.

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Nouveau mode de dépistage pour le cancer du col de l’utérus

Voilà une avancée intéressante pour toutes les femmes : le frottis habituel pour permettre de faire un dépistage du cancer du col de l’utérus pourrait éventuellement être remplacé.
 
15 000 femmes ont participé à une étude sur un nouveau type de dépistage à partir d’un simple test d’urine.
 
Selon L’Express, ce test consiste à recherche le virus du papillome humain dans l’urine. Ce virus cause la majorité des cancers du col de l’utérus.
 
Durant les tests urinaires, 24 % des cas se sont avérés positifs, alors que pour le frottis habituel, les résultats anormaux étaient trois fois plus élevés que dans la population en général.
 
Le développement de ce test nouveau genre est toujours en cours, mais il représente une solution éventuelle intéressante.
 
Rappelons que les jeunes filles peuvent maintenant être vaccinées contre le virus du papillome humain. On recommande également de commencer à vacciner les jeunes hommes.
 
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Uriner la nuit : les effets sur les jeunes?

Les visites nocturnes à la salle de bain sont généralement associées à la grossesse ou à une hypertrophie de la prostate, mais le problème peut aussi affecter les jeunes qui ne dorment pas bien.

Des chercheurs danois ont constaté que la privation et la perturbation du sommeil entraînent des enfants en bonne santé, âgés de huit à douze ans, à uriner beaucoup plus souvent, avoir une pression artérielle plus élevée et excréter plus de sodium dans leurs urines. Uriner la nuit fréquemment peut notamment modifier la réglementation d’hormones importantes pour l’excrétion.

L’étude, qui est publiée dans l’American Journal of Physiology et dans l’American Physiological Society, a examiné 20 enfants sains qui sont demeurés 24 heures consécutives à l’hôpital.

Les deux soirs, les enfants devaient être dans une position couchée dans leur lit dans une pièce faiblement éclairée. Aucune hydratation ou nourriture n’a été permise entre 20 h et 7 h le lendemain.

Le premier soir, les enfants ont dormi. Le second, les enfants étaient tenus éveillés par des jeux, de l’interaction et des programmes à la télévision, le plus longtemps possible et tout au long de la nuit.

Résultat : lors de la seconde nuit où la privation de sommeil était à l’honneur, il y a eu une dramatique hausse de 68 % sur l’excrétion d’urine pendant la nuit chez les participants. Les résultats étaient similaires pour les garçons et les filles.