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Bébé et cie

Enfant né d’un utérus transplanté

La naissance de ce petit garçon représente une percée médicale, raconte Dre Élizabeth Paganelli, qui s’est entretenue avec Le Figaro.

L’événement est « grandiose », mentionne la secrétaire générale du Syndicat des gynécologues-obstétriciens. C’est la revue The Lancet qui a dévoilé cette grande première.

La grossesse a pu avoir lieu grâce à la fécondation médicalement assistée, mais la difficulté supplémentaire, c’est que « la patiente doit prendre des médicaments antirejet compatibles avec une grossesse ».

Dans ce cas-ci, tout a fonctionné. Mais comme l’indique Dre Paganelli, ces démarches sont fort onéreuses et pour le moment, à moins d’en avoir les moyens, les femmes qui naissent sans utérus ou dont ce dernier se détériore ne peuvent pas y avoir recours.

Puisque la transplantation de cet organe ne représente rien de vital, chaque pays devra déterminer s’il souhaite débourser en partie ou en totalité pour ce type d’opération. Sans compter que si la femme veut un enfant, il lui faudra être assistée par des spécialistes tout au long de la grossesse.

La bonne nouvelle, c’est que malgré la ménopause, des femmes pourraient ainsi avoir des enfants par elles-mêmes.

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L’obésité augmente le risque de certains cancers

Selon des chercheurs britanniques, parmi les 22 cancers les plus courants, 17 ont un lien avec l’obésité des gens.

Chez les femmes obèses, le risque de développer un cancer de l’utérus est particulièrement alarmant. 

En effet, à chaque prise de poids de 5 kg/m2, il y aurait 62 % plus de risques qu’une femme soit atteinte d’un cancer de l’utérus. Ce gain de poids déclenche 31 % plus de risques du cancer de la vésicule biliaire, 25 % du cancer des reins et 9 % du cancer de la thyroïde, énumère Top Santé. 

Des chercheurs britanniques ont fait l’importante association obésité-cancer à la suite de l’analyse de 5 millions de personnes âgées de 16 ans et plus sur une période de 7 ans. Plus précisément, ils se sont attardés sur les 167 000 sujets qui ont été touchés par un cancer durant l’étude parue dans The Lancet

Pour le docteur Krishnan Bhaskaran, principal auteur de l’étude : « Le surpoids agit selon divers processus selon le type de cancer ». 

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VPH : Pas de troisième dose du vaccin pour les jeunes du Québec

Alors qu’une campagne de vaccination et de sensibilisation contre le VPH bat son plein dans nos écoles, on apprend que les élèves de troisième secondaire qui devaient recevoir une troisième dose du vaccin pourront finalement s’en passer.

Le Devoir rapporte en effet l’abandon de la troisième phase de vaccination par le ministère de la Santé du Québec, après que celui-ci soit maintenant convaincu que les deux premières phases de vaccination s’avèrent suffisantes pour promettre une protection maximale contre le VPH.

Le ministère fait également valoir des raisons financières et mentionne que la population préfère de loin deux phases de vaccination seulement.

Une étude sera toutefois lancée afin de vérifier l’efficacité réelle d’une troisième dose du vaccin, une analyse qui sera effectuée auprès de 4000 jeunes filles.

« Le but de l’étude est de s’assurer que les deux doses vont donner la protection attendue. On sait, grâce au niveau des anticorps, que la réponse immunitaire au vaccin est très bonne chez les plus jeunes de 9-10 ans, même meilleure que chez les filles de plus de 16 ans. Mais la question qui reste en suspens, c’est la durée de la protection. On va avoir la seule étude qui pourra apporter une réponse à cette question », résume la Dre Marie-Hélène Mayrand, qui dirigera l’étude en question.

Le VPH serait responsable de 70 % des cas de cancer de l’utérus chez les jeunes Québécoises. On recense 325 nouveaux cas annuellement, et 80 décès.

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Des ITS pourraient causer le cancer de la prostate

Le développement du cancer de la prostate pourrait être encouragé dans certains cas par une ITS, une infection transmissible sexuellement, selon ce que rapporte Top Santé.

La nouvelle découle d’une découverte effectuée par des chercheurs californiens, qui auraient trouvé un lien entre le développement du cancer de la prostate et la présence dans l’organisme d’un parasite appelé trichomonas.

Comme la présence de ce dernier n’est souvent assortie d’aucun symptôme, il est facile pour les hommes de ne pas s’en soucier, et ainsi laisser la porte grande ouverte aux risques de développer un cancer de la prostate.

Les conclusions de la recherche en provenance de l’Université de Californie rappellent un peu celles observées en ce qui concerne le VPH chez la femme, qui peut mener au cancer du col de l’utérus.

Les chercheurs américains estiment donc que les hommes devraient se faire dépister même sans symptômes apparents, afin d’avoir le cœur net quant à leur état de santé et ainsi prévenir toute détérioration de leur état.

Un homme sur dix développerait un cancer de la prostate d’ici l’âge de 80 ans, selon plusieurs spécialistes.

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Un nouveau test de dépistage du cancer de l’utérus approuvé par la FDA

Une alternative au fameux PAP test vient d’être approuvée par la FDA aux États-Unis, rapporte notamment le New York Times.

Il s’agit d’une manœuvre controversée visant à remplacer un test déjà controversé, comme quoi on ne s’en sort pas dans ce dossier.

Créé par la compagnie Roche, le nouveau test de dépistage serait capable de détecter la présence et l’ADN du VPH, qui mène souvent au cancer de l’utérus, par un simple échantillon prélevé du col de l’utérus d’une patiente.

La FDA croit que les essais et études menés par Roche sont concluants, et approuve donc l’alternative au PAP test, qui utilise pour sa part un bon vieux microscope afin de détecter des anomalies.

Mais comme dans le dossier du PAP test, un regroupement de femmes et de consommateurs s’opposent à l’approbation de la FDA, que l’on juge hâtive et non fondée. Les spécialistes de la FDA semblent toutefois sûrs de leur évaluation, même si les essais sont menés par la même compagnie qui produit le nouveau test.

Une pratique qui serait peut-être à revoir, d’ailleurs, ne serait-ce que pour calmer les doutes d’une population de plus en plus méfiante envers l’industrie pharmaceutique et le système de santé.

Le cancer de l’utérus ferait environ encore 4000 morts annuellement, aux États-Unis seulement, selon l’American Cancer Society.

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Polémique grandissante concernant le vaccin Gardasil

C’est une véritable bombe qui s’abat en santé, alors que des scientifiques ont publié des observations peu flatteuses et inquiétantes concernant le populaire vaccin Gardasil, rapporte notamment Le Devoir.

« Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et, de plus, il est porteur de risques », déclare d’emblée la chercheuse Lucija Tomljenovic, basée en Colombie-Britannique.

Même son de cloche du côté de l’Europe et de la France, alors que 25 nouvelles plaintes seraient déposées contre le Gardasil, pourtant largement vanté et distribué chez les jeunes femmes depuis quelques années.

Le vaccin Gardasil promet de protéger du VPH et du cancer de l’utérus, mais les certitudes semblent de plus en plus fragiles en ce qui concerne le produit.

Plusieurs jeunes femmes vaccinées clament que le Gardasil est responsable de leur diagnostic de sclérose en plaques (SEP), de lupus et d’encéphalomyélite aigüe disséminée, un véritable scandale en soi si la chose se vérifie.

Quand on pense que les gouvernements et associations de santé de partout dans le monde, dont au Canada, n’ont pas hésité à faire vacciner des millions de jeunes filles et de femmes, on peut se demander quels sont les processus mis en place pour véritablement protéger la population.

Les spécialistes qui publient leurs observations et inquiétudes sur le Gardasil aimeraient maintenant faire adopter un moratoire sur le produit d’ici à ce qu’on fasse la lumière sur ses effets réels.

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Mauvaise presse pour Gardasil

Le Gardasil, réputé vaccin contre le VPH (Virus du Papillome Humain), une infection transmissible sexuellement qui s’avère un véritable fléau depuis quelques années, obtient une mauvaise presse ces temps-ci, à la suite de la première plainte officielle déposée par une Française.

Largement publicisé et recommandé, il peut sembler surprenant que Gardasil soit maintenant critiqué, sauf que selon Santé Log et Top Santé, les mises en garde et les possibles effets retour du vaccin sont connus des spécialistes depuis bien longtemps maintenant.

Prescrit en prévention du VPH et du cancer du col de l’utérus, le Gardasil fait maintenant l’objet d’une sérieuse plainte de la part d’une jeune femme de 18 ans, qui affirme que son récent diagnostic d’encéphalomyélite aigüe disséminée, ou de sclérose en plaques, est directement lié à l’injection du vaccin.

Son avocat en est convaincu, et le récit des faits qu’il soumet semble ne laisser planer aucun doute quant au lien observable entre le Gardasil et la détérioration de l’état de santé de la plaignante.

Me Jean-Christophe Coubris allègue de plus que sa jeune cliente s’est fait vacciner au Gardasil à la suite d’une pression sociale et à un « tapage médiatique », une formule de vente à pression contre laquelle il s’indigne vigoureusement.

Le dossier risque de faire beaucoup de bruit, et alimentera encore une fois les discussions concernant les risques inhérents à l’injection de certains vaccins.

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Près de 60% des cas de cancer de l’utérus pourraient être évités

Ce sont des statistiques spectaculaires et étonnantes que dévoile ici MedicalXpress, alors qu’un nouveau rapport prétend que 60 % des cas de cancer de l’utérus seraient en fait évitables grâce à l’adoption de nouvelles habitudes de vie.

On connaît bien les bienfaits et vertus sur la santé de l’exercice physique et d’une saine alimentation, mais la démonstration d’une possible prévention de plus de la moitié des cas de ce type de cancer est étonnante.

59 %, pour être précis, des diagnostics de cancer de l’utérus pourraient être évités chez si les femmes susceptibles de le développer faisaient attention à ce qu’elles mangent et pratiquaient 30 minutes d’activité physique par jour, en moyenne.

C’est le constat que propose un rapport déposé par l’American Institute for Cancer Research (AICR), en collaboration avec le World Cancer Research Fund International, le 10 septembre dernier.

« Le gras corporel peut produire des hormones qui favorisent le développement du cancer. On sait aussi que le taux de gras est relié aux inflammations chroniques, qui produit un environnement qui encourage le développement du cancer », résume Alice Bender de l’AICR.

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

On confirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

onfirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

Bonne nouvelle dans le dossier du VPH (virus du papillome humain), qui prend de plus en plus de place dans l’actualité depuis l’an dernier.

Surtout après que des spécialistes aient établi que le virus transmissible sexuellement pouvait aussi contribuer fortement au développement du cancer, un fait propulsé aux quatre coins du monde par l’histoire contradictoire de l’acteur Michael Douglas, récemment.

Les nouvelles sombres concernant le VPH font maintenant place à de l’optimisme, alors que Santé Log rapporte une étude publiée dans le Journal of Infectious Diseases qui confirme l’efficacité du vaccin.

Ce dernier avait passé les phases d’essais cliniques traditionnels il y a quelques années, mais encore faillait-il que la population adopte le vaccin, ce qui semble chose faite.

En effet, on rapporte une réduction du VPH chez les jeunes Américaines, après des hausses constantes enregistrées année après année.

On constate que les campagnes de sensibilisation et le bouche-à-oreille pourraient finalement avoir porté des fruits, et ainsi permettre de sauver des milliers de vies à moyen et long terme.

Même s’il reste encore beaucoup de travail à faire, les spécialistes des Centers for Disease Control and Prevention se réjouissent de ce pas dans la bonne direction.