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Le Canada veut changer les règles de dépistage du cancer du col de l’utérus

Un groupe de chercheurs et de spécialistes unis pour étudier les méthodes de prévention et de traitement du cancer du col de l’utérus ont rendu leurs conclusions, rapporte notamment Le Devoir.

Celles-ci semblent vouloir indiquer que des changements sont à prévoir au Canada en ce qui a trait à la prévention de cette maladie.

D’abord, on parle beaucoup des fameux tests PAP ces temps-ci, et l’étude suggère justement de faire passer ce test de dépistage aux trois ans (il est aujourd’hui suggéré annuellement).

Ces tests peuvent comporter leur lot de désagréments, semble-t-il, et il serait possible d’avoir un système de prévention tout aussi efficace en évitant les méthodes intrusives chaque année.

La prévention du cancer du col de l’utérus devrait commencer à 25 ans environ et être mieux ciblée. On veut donc rendre les choses plus efficaces pour les femmes qui doivent subir le test.

Pour terminer, notons que le risque de cancer du col de l’utérus est passé de 1,5 % à 0,66 %. Les taux de mortalité sont aussi en baisse, passant de 0,94 % à 0,22 % depuis la mise en place du fameux test PAP.

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VIH : Le lait maternel touché par des médicaments antirétroviraux

C’est par le biais d’échantillons de cheveux et de sang prélevés sur des nourrissons de 3 mois que des preuves que certains médicaments touchent l’enfant in utero et pendant l’allaitement ont été découvertes.

En effet, le lopinavir et le ritonavir atteignent directement l’enfant dans l’utérus, tandis que l’éfavirenz semble être transmis in utero tout comme pendant l’allaitement.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco et de l’Université de Makerere en Ouganda ont observé plus de 100 mères séropositives qui allaitaient leurs poupons et qui prenaient l’un de ces médicaments.

Les chercheurs ont aussi analysé des échantillons de cheveux et de sang prélevés sur les femmes et leurs nourrissons. Des tests sanguins ont pu détecter une exposition récente à un médicament, tandis que les échantillons capillaires pouvaient montrer une exposition plus ancienne aux médicaments et même lors d’un mois précis durant la grossesse.

Mentionnons que les femmes séropositives prennent des médicaments antirétroviraux pour les aider à empêcher la transmission du VIH à leur fœtus, mais elles ne devraient pas allaiter, car le VIH peut être transmis par le lait maternel, disent les experts. Toutefois dans certains pays en développement, l’allaitement au sein demeure la seule option pour nourrir son petit.

Avec ces données, les chercheurs espèrent être capables de mieux venir en aide aux petits et d’atténuer les conséquences désastreuses.

Les informations sont parues sur le site Babycenter.com.

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Des sons d’utérus pour endormir bébé

Certains parents ne savent plus quoi faire pour que leur bébé trouve le sommeil. C’est pour cette raison que BabyDoze a été inventé.

Les créateurs ont réussi à développer un enregistrement authentique de tous les bruits familiers entendus à l’intérieur du ventre. Ces bruits rendraient les poupons heureux, selon les inventeurs qui ont donc enregistré des sons intra-utérins.

Ils ne sont pas les seuls à avoir inventé un tel appareil qui apaise les bébés. Il n’y a qu’à penser à l’application White Noise Ambiance, qui dispose de 50 sons, y compris de circulation routière, forêt tropicale ou vagues d’océan.

Si vous préférez une solution plus naturelle, voici quelques conseils pour que votre bébé ait un bon sommeil.

Certains nourrissons se réveillent à cause de bruits soudains. Ainsi, mettez le chien à l’extérieur avant qu’il n’aboie et désactivez la sonnerie de votre téléphone.

La température de la chambre doit également être confortable, c’est-à-dire aux alentours de 21 degrés, tandis que l’humidité doit tourner autour de 50 %.

Utilisez également des rideaux opaques pour bloquer la lumière, ce qui peut vous faire une heure supplémentaire de sommeil si vous avez un bébé qui se réveille aux premiers rayons du soleil.

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Découverte de cellules spécifiques dans les cas de cancer du col de l’utérus

Des scientifiques ont identifié des cellules distinctives dans une zone spécifique du col de l’utérus. Ces cellules particulières seraient responsables de la majorité sinon de tous les cancers utérins qui sont causés par le virus du papillome humain (VPH).
 
Selon l’étude publiée dans les Annales de l’Académie nationale américaine des sciences, le VPH est un important facteur de risque du cancer du col de l’utérus.
 
La découverte de ces cellules permettra donc de distinguer les cellules bénignes de celles qui sont potentiellement dangereuses dans les lésions précancéreuses du col de l’utérus.
 
Ce type de cancer emporte chaque année 240 000 femmes dans le monde, dont 380 sont canadiennes.
 
De plus, les chercheurs ont aussi découvert que ces cellules spécifiques ne se régénèrent pas lorsqu’elles sont retirées du col de l’utérus. Cela pourrait ouvrir une nouvelle voie de prévention en la matière.
 
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Pourquoi un seul spermatozoïde se rend-il à l’utérus?

« Il s’agit d’une course périlleuse où les corridors sont étroits et où les risques de collision sont nombreux », expliquent des spécialistes en fertilité qui ont tenté de démystifier la raison pour laquelle seul 1 % des 300 millions de spermatozoïdes évacués par l’homme lors d’un rapport sexuel réussissent à atteindre l’utérus, et uniquement quelques dizaines arrivent à l’ovule.

En analysant la trajectoire des divers spermatozoïdes « gagnants », des chercheurs des universités de Warwick et de Birmingham pensent avoir trouvé un moyen d’améliorer les chances de succès lors de traitements de procréation médicale assistée.

Les spermatozoïdes nagent à travers le col, dans l’utérus et le long des trompes de Fallope. L’étude a démontré qu’ils évitent la « voie du milieu » de l’appareil reproducteur féminin et ont plutôt tendance à ramper dans les parois du canal.

Les spermatozoïdes ont de la difficulté à tourner les coins pointus et foncent souvent les uns dans les autres ou s’écrasent dans une paroi.

De plus, il semblerait que la forme du spermatozoïde peut jouer en faveur ou en défaveur d’une course réussie.

En résumé, le spermatozoïde qui survivra dans le petit labyrinthe féminin et arrivera à temps à l’ovule est celui qui est le plus en mesure de négocier avec les voies visqueuses étroites et complexes, selon les résultats parus dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Obésité infantile : tout commence dans l’utérus

Vous faites de l’exercice, vous mangez bien et vous ne réussissez pas à perdre vos kilos en trop. Que se passe-t-il? Il se pourrait bien que vous puissiez blâmer votre mère de votre état actuel.

En effet, des chercheurs de l’Université de Newcastle ont analysé les gènes d’enfants âgés de 9 à 11 ans et ont découvert qu’il est possible d’être programmé à devenir gros, pendant que le bébé est dans l’utérus.

Il semblerait que si la mère ne faisait pas beaucoup d’exercice, ne mangeait pas bien, fumait, prenait de l’alcool et était même exposée à des polluants, cela active et fait monter des gènes.

C’est en recherchant des gènes de même lettre que les experts se sont aperçus que chez les enfants avec un surplus de poids, les gènes se comportaient différemment comparativement à ceux qui étaient minces.

À la naissance, les enfants qui ont développé du surpoids quelques années plus tard affichaient déjà des marques chimiques différentes à leur ADN.

Toutefois, ces marques chimiques sont ouvertes au changement si la personne responsable (mère) modifie son mode de vie.

Les résultats se retrouvent dans la revue PLoS Medicine.

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Naissances prématurées : un gel vaginal n’est pas la solution

Selon le comité de la FDA Reproductive Health Drugs Advisory, le gel développé par Watson Pharmaceuticals et Columbia Laboratories n’a pas raison d’être commercialisé.

Sachant qu’un col de l’utérus plus court que la normale (≤ 3 cm à 24 semaines de gestation) est un facteur de risque bien connu pour les naissances prématurées, la compagnie pharmaceutique a mentionné que son gel diminuait le taux de raccourcissement du col et qu’il conduisait à une réduction des naissances prématurées.

Cette mention ne se révèle en fait pas totalement vraie. 465 femmes avec un col plus court, provenant de 10 pays différents, ont participé à l’étude.

Près de 9 % des femmes traitées avec le gel avec un taux de progestérone de 8 % ont donné naissance avant 33 semaines de gestation, comparativement à 15,2 % des femmes qui recevaient le placebo.

En ce qui a trait aux effets indésirables, aucune différence n’a été remarquée entre le gel à la progestérone et le placebo.

Le gel à la progestérone n’a donc pas été approuvé dans aucun pays pour la réduction du risque d’accouchement prématuré.

Rappelons que le taux de prématurité aux États-Unis a augmenté depuis 1990; 13 % des naissances sont concernées.

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Une mutation génétique joue un rôle dans les cancers rares

Le New England Journal of Medicine indique qu’une mutation génétique jouerait un rôle clé dans l’apparition de plusieurs cancers rares comme celui des ovaires, de l’utérus et des testicules.
 
Cette mutation modifie le fonctionnement du gène Dicer et favorise la formation de cancer. Les chercheurs mentionnent que ce gène joue une fonction vitale dans le développement et le comportement de cellules saines.
 
« Les mutations que nous avons découvertes ne détruisent pas totalement les fonctions de ce gène, mais elles les modifient plutôt. De ce fait, le chef d’orchestre est toujours là, mais il agit comme quelqu’un d’ivre », explique le Dr Gregg Morin.
 
Au Canada, on dénote 850 nouveaux cas de cancer des testicules annuellement. Pour ce qui est du cancer des ovaires, c’est 2600 nouveaux cas par an, et pour le cancer de l’utérus, on enregistre 4700 nouveaux cas chaque année.
 
Cette nouvelle découverte pourrait donc ouvrir la voie à de meilleurs traitements pour ces types de cancers, et même les cancers plus communs.
 
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Quatre tasses de café par jour pour prévenir le cancer de l’utérus

Le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention dévoile les résultats d’une vaste étude effectuée sur 70 000 femmes pendant 26 ans.
 
Les femmes qui buvaient quatre tasses de café quotidiennement depuis des années avaient 25 % moins de risques de développer un cancer de l’endomètre, la forme la plus fréquente du cancer de l’utérus.
 
Que ce soit un café régulier ou décaféiné, les effets étaient les mêmes. Toutefois, les chercheurs n’ont remarqué aucun effet en ce qui concerne la consommation de thé.
 
On croit que le café réduit le taux d’hormone qui alimente le cancer. Par contre, l’ajout de sucre ou de crème peut annuler les effets bénéfiques, de même que le tabagisme.
 
Rappelons que les facteurs de risque pour le cancer de l’utérus sont l’âge, le poids et les antécédents familiaux. Si la mère a souffert de ce type de cancer, les risques sont accrus.
 
Faire plus d’exercices et maintenir un poids santé sont les moyens les plus efficaces de réduire les risques de maladie.
 
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Augmenter le succès des FIV

Les fécondations in vitro pourraient être plus efficaces si l’on augmentait l’expression de certains gènes. Des chercheurs du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center ont présenté leurs résultats sur ce sujet dans Developmental Cell.

Il semble que certains gènes du développement, dont on accroîtrait l’expression dans l’utérus, feraient en sorte que plus de FIV se concluraient en une grossesse.

À l’heure actuelle, le taux de grossesse à la suite d’une fécondation in vitro par injection d’embryon est plutôt faible, soit environ 30 %.

Précisément, ce serait les gènes Msx1 et Msx2 qui assureraient l’utérus d’être en phase réceptive, une condition nécessaire au succès de la FIV.

Expliquons au passage que ces gènes jouent un rôle essentiel dans la formation des organes au cours du développement fœtal.