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Les BPA touchent plus les petites filles

Des chercheurs américains et canadiens viennent de démontrer une fois de plus que l’exposition aux BPA durant la grossesse comporte des risques importants.

Cette fois, on ajoute que cette exposition dans l’utérus est liée à des problèmes de comportement et émotifs chez les enfants d’âge préscolaire. Cette répercussion serait d’autant plus marquée chez les petites filles, lit-on dans Pediatrics.

La présente étude a regroupé 244 mères et leurs enfants. Des corrélations ont été établies selon des échantillons d’urine des mères durant la grossesse et à l’accouchement, puis de celles des enfants lorsqu’ils ont eu un, deux et trois ans, ainsi que des réponses à un sondage quant au comportement des enfants à trois ans.

On remet donc encore en cause l’emploi de ces substances chimiques dans la fabrication des produits de consommation. Rappelons que les BPA se trouvent notamment dans les contenants en plastique, dans certains scellants dentaires et dans le papier thermique.

Les chercheurs ajoutent que si une plus faible exposition à ces substances est souhaitée, on ne saurait encore établir concrètement si cette réduction aurait un impact évident.

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Première greffe réussie d’un utérus

L’intervention chirurgicale réalisée à l’hôpital universitaire Akdeniz, en Turquie, a été pratiquée sur une femme née sans utérus.

5000 femmes dans le monde, comme Derya Sert, 21 ans, sont nées sans utérus.

L’organe a été prélevé sur une donneuse décédée. Selon l’avis des médecins, cela a facilité la transplantation, car plus de tissus et des vaisseaux sanguins ont pu être utilisés.

Une première tentative de transplantation à partir d’une donneuse vivante avait eu lieu en Arabie Saoudite en 2009, sans succès.

La jeune femme, qui rêve de devenir maman, devra patienter six mois encore avant que des médecins tentent de lui implanter des embryons. Elle pourrait ainsi voir son rêve devenir réalité.

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Reconnaître la grossesse ectopique

Les conséquences d’une grossesse ectopique peuvent être graves. Le fœtus ne pouvant pas se développer normalement et survivre lorsqu’elle survient, la mère peut se retrouver en danger.

En résumé, la grossesse ectopique signifie que l’ovule n’est pas fécondé dans l’utérus, car il n’a pu parcourir son chemin normal depuis les ovaires. La forme la plus courante de ce type de grossesse est celle qui prend source dans les trompes de Fallope, lisons-nous sur Medic Magic.

Il est important d’en reconnaître les premiers signes afin que l’on puisse être en mesure de vivre une grossesse complète par la suite. Les symptômes hâtifs ressemblent à ceux d’une grossesse courante, soit de ne pas avoir ses menstruations, de souffrir de douleurs aux seins, d’avoir la nausée et d’être fatiguée.

Toutefois, si ces autres symptômes s’ajoutent, il vaut mieux consulter un médecin le plus rapidement possible : saignements, crampes ciblées sur un seul côté et douleurs au bas du ventre.

Dans le cas d’une douleur aigüe et soutenue au niveau du bassin, de l’abdomen, voire à l’épaule et au cou, et d’étourdissements, il faut à ce moment se rendre aux urgences, car on pourrait vivre une rupture des trompes de Fallope, celle-ci due à une grossesse ectopique.

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Les causes de l’infertilité

Afin de mieux comprendre l’infertilité féminine, Sher Institutes of Reproductive Medicine présente les cinq raisons principales qui peuvent l’entraîner.

On parle tout d’abord des dommages aux trompes de Fallope. Souvent causés par une maladie transmise sexuellement (la chlamydia ou la gonorrhée, par exemple), ils viennent à empêcher l’ovule de joindre les spermatozoïdes.

L’endométriose, un trouble touchant l’utérus, peut quant à elle endommager les trompes et les ovaires. Ces derniers demeurent justement une troisième raison principale de l’infertilité. S’ils sont endommagés ou dans une position incorrecte, entre autres, cela peut empêcher le cours normal de l’ovulation.

Le cycle de l’ovulation peut aussi affecter le déclenchement d’une grossesse et le succès de celle-ci. L’un des facteurs d’une telle irrégularité est l’âge de la femme; on a déjà remarqué une baisse de sa fertilité à partir de l’âge de 35 ans.

L’utérus représente finalement le cinquième élément déclencheur, dans le cas où il est de forme et de taille anormales. L’exemple classique est celui du ventre en forme de T, ce qui fait que l’utérus et la cavité utérine sont nettement plus petits que la normale.

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Un bon conseil pour tomber enceinte

Une étude des Pays-Bas viendrait d’appuyer la pensée selon laquelle le café diminuerait la fertilité féminine, apprend-on sur Medic Magic. Il semble en effet que la consommation de cette boisson réduirait les chances de grossesse.

La caféine aurait un effet néfaste sur l’oviducte, lequel est responsable du transport des ovules depuis les ovaires jusqu’à l’utérus. Boire plusieurs cafés par jour pourrait donc réduire les chances d’une femme de tomber enceinte.
 
Cette recherche a porté sur 9 000 femmes. Celles qui ont pris plus de quatre tasses de café par jour ont vu leurs chances de vivre une grossesse réduites du quart.
 
Bien que cela ne soit pas la première fois qu’un lien est fait entre la caféine et la fertilité, on ne saurait encore en expliquer clairement les causes.

En effet, ce qui se produit réellement à l’oviducte, aux ovaires et à l’utérus, quand on boit trop de café, n’a pas été jusqu’ici élucidé par les scientifiques.

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La transplantation d’utérus donne des résultats

Comme nous pouvons le lire sur Daily Mail, il semble que la transplantation de l’utérus pourrait devenir possible chez l’humain.

Pour l’instant, ce type d’intervention a été réalisé sur des animaux et les résultats sont jusqu’ici probants. Des expérimentations ont été faites sur des rats, des chèvres et des truies, entre autres.
 
Dès l’an prochain, cette transplantation pourrait être pratiquée chez l’humain. De plus, elle pourrait être réalisée dans 1 hôpital sur 10 dans le monde éventuellement.
 
En 2000, un premier essai avait été fait sur une femme, mais un rejet était survenu après 4 mois. Le problème majeur réside dans la compatibilité avec le sang.
 
Cela représente beaucoup d’espoir pour les femmes encore en âge d’avoir des enfants qui ont dû se faire retirer leur utérus pour des raisons de santé.

Après une ou deux grossesses, la femme pourrait ensuite se faire enlever l’utérus transplanté.

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L’utérus en cause pour une FIV réussie

Les femmes qui souhaitent tomber enceintes par fécondation in vitro (FIV) seront heureuses d’apprendre une nouvelle donnée quant au succès de cette procédure.

Des chercheurs américains viennent en effet de statuer qu’un utérus en bonne santé est plus important qu’un ovule en bon état pour qu’un bébé naisse avec un poids normal et à terme.

On a pu tirer cette nouvelle conclusion après avoir passé en revue trois ans de recherches scientifiques sur la fécondation in vitro. Ces dernières regroupaient 300 000 FIV ayant mené à plus de 70 000 naissances.

Les chercheurs ont comparé le poids à la naissance et le temps de gestation chez des bébés nés d’une procédure courante de FIV, d’une fécondation in vitro avec donneur d’ovule et d’une FIV avec mère porteuse.

Ainsi, tandis que la possibilité de réussir une grossesse est liée à la qualité de l’embryon, le poids à la naissance et le temps de gestation seraient dus à l’état de l’utérus.

De plus, l’influence sur le poids et la durée de gestation était plus apparente dans les cas de FIV courante, c’est-à-dire lorsque les patientes portaient un embryon créé avec leur propre ovule. Cette influence baissait quand l’ovule provenait d’un donneur et il baissait encore dans les cas de mère porteuse.

Il semble donc que l’utérus constitue un facteur déterminant. On a aussi pu conclure, dans le cadre de cette étude, que l’infertilité masculine n’influençait pas le poids à la naissance ni le temps de gestation.

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Oméga-3 et grossesse : prévenir la dépression

Une récente recherche parue dans Nature Neurscience a démontré qu’une trop faible quantité d’oméga-3 dans le cerveau influence négativement la transmission nerveuse, et ce, dès le moment où le fœtus se trouve dans le ventre de sa mère.

On a en effet pu remarquer chez des souris qu’une telle carence affaiblissait le fonctionnement des neurones reliés aux comportements anxieux et dépressifs.

Les oméga-3, des acides gras, jouent un rôle essentiel dans le développement du cerveau depuis le passage dans l’utérus jusqu’à l’adolescence.

Dans la présente expérience ayant porté sur des souris, on a pu statuer que la carence en oméga-3 influence deux parties du cerveau, soit le cortex préfrontal et le noyau accumbens. Ces parties sont responsables de la régulation émotionnelle et de la motivation, entre autres.

Rappelons finalement que les oméga-3 ne sont pas fabriqués par le corps et doivent être fournis par l’alimentation. Leur déficit est courant dans les pays industrialisés. On recommande de varier l’alimentation plutôt que de prendre des gélules.

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L’exercice physique diminue les risques de cancer de l’endomètre

Les femmes actives ont moins de risques d’avoir un cancer de l’endomètre, aussi connu sous le nom de cancer de l’utérus.
 
L’étude présentée lors de la Conférence internationale de la prévention du cancer de l’Association américaine de recherche sur le cancer regroupait 668 femmes avec un cancer de l’endomètre et 665 femmes en bonne santé.
 
En général, on a remarqué que les femmes qui faisaient de l’exercice physique avaient 34 % moins de risques de développer la maladie, et ce, peu importe leur poids.
 
Toutefois, en tenant compte du poids, les données changent. Ainsi, les femmes actives sans surplus de poids ont 73 % moins de risques d’avoir ce cancer, contre 38 % des femmes actives avec un surplus de poids.
 
Les femmes inactives de poids normal avaient tout de même 55 % moins de risques de développer le cancer que celles en surplus de poids.
 
Pour cette étude, les femmes actives faisaient au moins 150 minutes d’exercices par semaine et les femmes en surplus de poids avaient un indice de masse corporelle de 25 et plus.
 
Le cancer de l’endomètre est le cancer gynécologique le plus répandu et le 4e en incidence pour les femmes après ceux du sein, du poumon et du côlon. Ce type de cancer survient habituellement après la ménopause.
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Le processus d’apprentissage des langues débute dans l’utérus

Si les parents souhaitent que leur enfant soit bilingue, ils devraient commencer les leçons bien plus tôt qu’ils ne le croient.
 
Selon une étude menée par Janet Werker, professeure de psychologie de l’Université de la Colombie-Britannique, le processus de bilinguisme débute alors que le bébé est encore dans l’utérus de la mère.
 
La revue Psychological Science, qui rapporte les résultats de cette étude, dit que l’origine de l’apprentissage de deux langues est si profonde qu’elle débute avant la naissance.
 
Les chercheurs affirment également que dès les premiers jours de leur vie, les bébés sont déjà capables de distinguer deux langues différentes.
 
Pour cette recherche, on a étudié la réaction de jeunes bébés alors qu’ils suçaient une tétine reliée à un ordinateur. Par exemple, les bébés dont les mères ne parlaient que le français exerçaient plus de succion lorsqu’ils entendaient des mots en français. Les bébés dont les mères étaient bilingues démontraient un intérêt égal pour les deux langues.