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Plus de téléréalité pour les Dubois

Après une journée complète de négociations sans arriver à une entente, il semble que la téléréalité mettant en vedette la famille Dubois sera suspendue, et ce, jusqu’à nouvel ordre, rapporte Canoe.

Ces négociations, entre les dirigeants de V, la maison de production Trio Orange ainsi que Claude Dubois et son avocate, Michèle Parizeau, se seraient passées derrière des portes closes, sans aucune caméra.

Des rumeurs avaient circulé voulant que cette saga judiciaire soit présentée lors de l’émission de la semaine prochaine, mais Claude Dubois a nié ces spéculations.

Le chanteur, qui semble déçu de la situation, a déclaré : « Voyons… c’est ridicule. Tout ce que je peux dire, c’est qu’ils auraient pu diffuser tout simplement l’émission que nous avions acceptée Chrystal et moi. Le contrat est clair, nous avons un droit de regard complet sur le contenu. »

Lundi dernier (20 septembre), le juge de la Cour supérieure Paul G. Chaput a pris le parti de Dubois en reconnaissant son droit de regard dans la production de ce docu-feuilleton.

Dubois affirme : « Je n’aime pas les tribunaux, vous le savez, je crois, mais je me bats pour mes droits et ceux des miens dans cette histoire. »

Soulignons que le réseau V n’est pas satisfait du matériel que Dubois et les producteurs de Trio Orange ont fourni et qu’il souhaite du contenu plus divertissant.

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Est-ce le début de la fin entre Claude Dubois et V?

Branle-bas de combat en fin de journée hier (21 septembre) alors que Claude Dubois, insatisfait du montage du deuxième épisode de Dubois en réalité, a demandé une injonction afin d’empêcher la diffusion de l’émission à V. 1 h avant la diffusion, le juge a tranché en faveur du chanteur et V s’est vu contraint de présenter une émission de Rire et Délire.
 
« On nous a présenté l’épisode 2 et on l’a refusé. On a demandé à la production de retravailler l’épisode, ce qui a été fait durant le week-end », mentionne le porte-parole de V, Tim Ringuette, au Journal de Montréal. Le diffuseur trouvait que l’émission n’était pas assez divertissante.
 
Ainsi, dans le nouveau montage, les jurons du chanteur n’étaient pas censurés, ce qui a déplu au principal intéressé. Dubois a donc demandé que des changements soient apportés, ce qu’on lui a refusé. Il a alors porté l’affaire devant les tribunaux.
 
Même après la diffusion du premier épisode la semaine dernière (14 septembre), le chanteur avait laissé entrevoir un mécontentement lors d’un entretien avec le Journal. « Dès le début de ce projet, j’ai signé un contrat où j’ai un droit de regard total sur le contenu. Je veux savoir ce qu’ils ont fait de nous. Jusqu’où vont-ils? Je ne veux pas être trahi. C’est clair. La première émission, ce fut un peu le choc. Trop sensationnaliste à mon goût. J’ai laissé passer pour la première, mais ça n’arrivera plus par la suite. J’ai mis des normes dès le départ et ils sont dans l’obligation de les respecter. »
 
Hier soir dans un communiqué, le coprésident et chef de la direction de V, Maxime Rémillard, disait : « Ce n’est pas Monsieur Dubois qui viendra dicter ce que nous diffuserons sur nos ondes. Nous avons respecté le contrat qui stipule un droit de regard et non un contrôle absolu sur le produit fini. D’ailleurs, le juge n’a pas voulu statuer sur la portée exacte d’un droit de regard. »
 
Ainsi, au moment d’écrire ces lignes, des discussions sont en cours sur l’avenir de l’émission Dubois en réalité. On ignore si cet incident mettra un terme définitif ou non à la présentation.