Catégories
Uncategorized

Nouvelles recommandations de vaccination contre la grippe pour les enfants

À l’approche de la saison froide, les CDC (Centers for Disease Control) ont émis les recommandations de vaccination contre la grippe pour les enfants.

Selon Medscape, tous les vaccins contre la grippe offerts durant la prochaine saison de cette maladie contiennent trois antigènes inactifs, soit deux souches de l’influenza de type A et une souche de l’influenza de type B. Deux de ces trois antigènes ont été légèrement modifiés depuis l’année dernière, à la suite de données sur les souches de grippes qui circulent maintenant à travers le monde.

Le vaccin peut être administré aux bébés dès l’âge de 6 mois, et aux enfants jusqu’à l’âge de 8 ans (les enfants plus âgés reçoivent la dose pour adultes).

Les parents doivent considérer si leur enfant a déjà reçu un vaccin contre la grippe saisonnière depuis juillet 2010. Si l’enfant a bel et bien reçu deux doses ou plus depuis, une seule dose du vaccin contre la grippe est requise pour la saison 2012-2013, afin que l’enfant obtienne une protection complète.

Toutefois, si l’enfant n’a pas reçu au mois deux doses de vaccin depuis ce temps, ou si l’historique d’immunisation ne permet pas de le vérifier, il est recommandé pour l’enfant de recevoir deux doses du vaccin contre la grippe saisonnière pour 2012-2013. Ces deux doses doivent être administrées à au moins quatre semaines d’intervalle pour assurer leur efficacité.

Les enfants qui ont une allergie légère aux œufs peuvent tout de même recevoir le vaccin, tandis que ceux qui souffrent plutôt d’une allergie sévère devraient prendre d’autres dispositions.

Un vaccin intranasal est également proposé pour les enfants de plus de 2 ans en bonne santé. Finalement, les CDC rappellent aux parents l’importance de suivre les conseils de leur médecin de famille ou autre professionnel de la santé.

Catégories
Uncategorized

Toutes les femmes enceintes britanniques seront vaccinées contre la coqueluche, alors que le pays fait face à une épidémie

Le gouvernement du Royaume-Uni a pris la décision d’offrir le vaccin contre la coqueluche à toutes les femmes enceintes, dans le but de protéger les nouveau-nés contre la maladie.

La Grande-Bretagne vit maintenant sa pire épidémie de coqueluche en 20 ans. Cette maladie est rarement sérieuse pour les adultes qui la contractent, mais peut être fatale pour les bébés.

Toutes les femmes enceintes de 28 à 38 semaines pourront recevoir le vaccin de leur médecin de famille, ce qui devrait contribuer à transférer des anticorps contre la maladie à leur foetus à travers le placenta.

Les nouveau-nés reçoivent ce vaccin à 8 semaines; il est impossible de les immuniser avant parce que leur organisme n’est pas assez mature. Or, les nourrissons de deux mois et moins sont particulièrement vulnérables à la coqueluche, et les 9 bébés décédés à cause de cette épidémie avaient tous moins de 8 semaines.

Le Département de la Santé du Royaume-Uni précise qu’il s’agit d’une mesure temporaire, qui cessera lorsque l’épidémie sera terminée.

Catégories
Uncategorized

Le vaccin contre le papillomavirus humain est généralement sécuritaire

À la suite d’une analyse de données concernant 189 629 jeunes filles et femmes âgées de 9 à 26 ans ayant reçu le vaccin contre le papillomavirus humain, des chercheurs ont conclu que celui-ci pouvait être considéré comme « sécuritaire » et faire partie d’une intervention clinique de routine.

Les auteurs ont toutefois noté que le vaccin était possiblement lié à un risque plus élevé d’éprouver des problèmes mineurs, soit un évanouissement le jour de l’immunisation (probabilité 6 fois plus importante) ainsi qu’une infection de la peau dans les deux semaines qui suivent (probabilité 1,8 fois plus importante).

L’étude, menée par Merck, a été réalisée à partir de la mise en marché du vaccin en 2006 et jusqu’en 2008, à la demande des autorités en santé américaines.

Les données sont parues dans la revue médicale Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Catégories
Uncategorized

Le retour de la saison de la grippe

« La seule prévision avec la grippe, c’est qu’elle est imprévisible », déclaraient candidement des membres de l’agence de santé américaine.

Encore une fois, les autorités en matière de santé nationale pressent les gens à se faire vacciner contre l’influenza, à l’aube de la prochaine saison hivernale, selon nlm.nih.gov.

L’an dernier, on enregistrait une année très calme en matière de virus de la grippe, une des moins violentes depuis longtemps. Ceci n’est malheureusement en aucun cas un indicateur pour l’année qui nous concerne, les prédictions pour le virus étant complexes à déterminer.

Après tout, il n’y a que deux ans que le H1N1 frappait à travers le monde, notent les spécialistes. Le Dr Howard Koh, assistant-secrétaire du U.S. Department of Health and Human Services, affirme que « les dernières années démontrent que l’influenza est très imprévisible ».

Il ajoute : « Même dans les saisons les plus calmes, plusieurs cas de grippes s’avèrent mortels », notant au passage plusieurs cas pédiatriques.

Il suggère donc, comme la majorité de ses confrères, une vaccination préventive. Par ailleurs, on note que le vaccin de cette année protègerait contre deux nouvelles souches du virus, en plus de celles de l’an passé.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle percée médicale dans la lutte contre le cancer

Radio-Canada nous apprend que des chercheurs d’Ottawa sont très encouragés par leur découverte. Ils travaillent sur un vaccin qui freine la prolifération des cellules cancéreuses et qui pourrait aussi, dans certains cas, supprimer totalement la maladie.
 
C’est le virus VSV qui permet ce processus. Il est sans danger pour l’homme, mais il parvient à détruire les cellules cancéreuses, en plus de donner un coup de pouce au système immunitaire.
 
Pour le moment, les premiers résultats obtenus sur des souris sont encourageants, mais les essais cliniques ne commenceront que d’ici trois ans. Le vaccin pourrait être offert uniquement dans 15 ans.
 
« Ce qu’on peut vraiment faire, c’est freiner la propagation du cancer. On a vu dans plusieurs modèles que les souris qui avaient des traitements contrôles, leurs poumons étaient complètement remplis de tumeurs. Et celles qui ont été traitées avec le vaccin, quatre des cinq qu’on a regardées, il n’y avait rien qu’on pouvait voir », indique Chantal Lemay, docteure en biologie moléculaire à l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa.
 
Catégories
Uncategorized

La lutte contre le VIH avance d’un autre pas

La revue Nature révèle que le vaccin anti-VIH RV144 serait efficace contre certains virus du VIH qui ont deux empreintes génétiques dans la zone de l’enveloppe externe du VIH, la région ENV-2. Ceci rendrait le virus plus sensible au nouveau vaccin.
 
« C’est la première fois que nous observons sur le virus une pression au niveau génétique liée à un vaccin contre le VIH », explique la Pr Morgane Rolland, auteure principale des travaux.
 
En fait, on constate une réponse immunitaire sur les deux zones en question.
 
« Ces résultats confirment à la fois le résultat de l’essai RV144 et l’étude précédente, publiée dans le New England Medical Journal en avril dernier, montrant que des anticorps dirigés vers la région V1V2 peuvent réduire le risque d’infection. L’ensemble de ces travaux suggère que la région Env-V2 pourrait être une cible essentielle pour de futurs vaccins contre le VIH », ajoute le coauteur de l’étude, Jérôme Kim.
 
Les chercheurs ont examiné les séquences du génome du VIH de 110 personnes pour parvenir à ce résultat.
 
Pour le moment, les virus qui déjouent les vaccins ont une empreinte génétique qui fait en sorte de tromper le système immunitaire.
 
« Cette étude est un signe optimiste pour la recherche vaccinale VIH et représente des progrès substantiels dans la compréhension des contraintes de développement d’un vaccin plus efficace contre le VIH qui finira par mettre fin à cette pandémie », conclut la Pr Rolland.

Catégories
Uncategorized

Un espoir contre la dengue

La dengue menace près de 3 milliards de personnes dans le monde. La maladie, transmise par un moustique, ne peut être traitée efficacement encore, mais des travaux menés en Thaïlande sèment un nouvel espoir contre la maladie.
 
Un vaccin offrirait une protection contre deux des trois sérotypes du virus et serait sécuritaire.
 
« La complexité de l’infection par le virus de la dengue a entravé la recherche de vaccins pendant des décennies. C’est la première fois en 50 ans de recherche que nous avons un vaccin qui protège un grand groupe d’enfants de la maladie. Mieux encore, le vaccin répond aux contraintes les plus exigeantes de sécurité », déclare le Dr Scott Halstead à la revue The Lancet.
 
Pour le moment, seul le sérotype 2 échappe à la vaccination, et d’autres recherches sont en cours pour comprendre pourquoi.
 
Chaque année, 220 millions de personnes souffrent de cette infection, et deux millions d’enfants développent une forme sévère de la maladie.
 
Catégories
Uncategorized

Le vaccin contre l’hépatite A efficace pendant dix ans

L’étude a démontré que le transfert d’anticorps de la mère contre l’hépatite A ne nuisait pas à l’efficacité du vaccin chez l’enfant.

« Ces découvertes soutiennent les recommandations du Comité consultatif des pratiques d’immunisation du Center for Disease Control pour l’administration de routine de deux doses d’hépatite A inactivées à tous les enfants Américains à partir de l’âge de un an », explique l’épidémiologiste et auteur de la recherche, le docteur Umid Sharapov.

Les experts soulignent qu’une dose supplémentaire pourrait toutefois être nécessaire à l’adolescence pour maintenir la protection contre la maladie.

La World Health Organizaton estime que plus de 1,4 million de cas d’hépatite A sont recensés dans le monde chaque année. La maladie affecte le foie et est souvent plus présente dans les milieux insalubres où sont consommés des aliments et des breuvages contaminés.

Rappelons que les patients atteints de la maladie récupèrent en général sans médication au bout de quatre à six semaines, selon Santé Canada.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Hépatite B : la couverture vaccinale en nette amélioration chez les nourrissons

(Relaxnews) – Alors que la Journée mondiale contre l’hépatite se tient le samedi 28 juillet, la Direction générale de la santé (DGS) annonce que la couverture vaccinale contre l’hépatite B ne cesse de s’améliorer chez les nourrissons.

Plus de huit nourrissons sur dix (81 %) avaient reçu une dose de vaccin contre l’hépatite B à l’âge de six mois en 2010, contre seulement 31 % trois ans auparavant. Ces progrès s’expliquent notamment par la mise en oeuvre du remboursement du vaccin combiné hexavalent intervenue en France en 2008.

Autre nouvelle rassurante : les Français ont de plus en plus recours aux tests de dépistage. Pour le virus de l’hépatite B, le nombre de tests est passé de 1,19 à 1,96 million entre 2000 et 2010, alors que pour celui de l’hépatite C, il a quasiment doublé, passant de 960 000 à 1,86 million.

Malgré ces avancées notables, la DGS rappelle que la moitié des personnes atteintes par l’un de ces deux virus ne savent pas qu’elles sont infectées. L’autorité sanitaire indique que les efforts doivent être portés sur la vaccination, le dépistage et la sensibilisation, notamment auprès des personnes à risque (détenus, usagers de drogues, personnes tatouées ou personnes ayant des rapports sexuels avec des partenaires multiples).

Environ 280 000 Français sont infectés par le virus de l’hépatite B, et 232 000 par celui de l’hépatite C.

Catégories
Uncategorized

Un vaccin pourrait se révéler efficace contre la dengue

(Relaxnews) – Sanofi Pasteur annonce que son vaccin contre la dengue a prouvé son efficacité lors d’une étude clinique menée en Thaïlande auprès de 4000 enfants.

La division vaccins du groupe Sanofi fait savoir aujourd’hui (25 juillet) que son candidat vaccin tétravalent contre la dengue est capable de protéger la population contre trois des quatre virus de la dengue circulant en Thaïlande.

De nouvelles analyses sont maintenant réalisées pour savoir pourquoi le vaccin n’est pas efficace contre la quatrième forme du virus.

L’essai clinique conduit en Thaïlande auprès de quelque 4000 enfants âgés de 4 à 11 ans a également montré un bon profil de tolérance du vaccin.

« Les résultats de ce premier essai d’efficacité avec le candidat vaccin de Sanofi Pasteur représentent une étape majeure dans la quête pour mettre au point un vaccin humain, sûr et efficace, contre la dengue. Il s’agit également d’un développement important pour la santé publique mondiale, car il n’existe en ce moment aucun traitement ni prévention spécifiques contre la dengue », précise Michel De Wilde, vice-président exécutif recherche et développement de Sanofi Pasteur.

La dengue est une maladie infectieuse transmise par les moustiques qui touche essentiellement l’Amérique latine et l’Asie. Près de 230 millions de personnes sont infectées par la maladie chaque année.