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Vaccin H1N1 : pas de risques pour les femmes enceintes

Une nouvelle étude danoise, qui a suivi près de 53 000 femmes enceintes, souligne que les futures mères qui ont reçu le vaccin contre le virus H1N1 n’ont eu aucun risque accru de malformations congénitales graves pour leur bébé ou de problèmes de grossesse.

« Nous avons comparé les sujets vaccinés avec les grossesses non vaccinées par rapport à un certain nombre d’événements indésirables, des malformations congénitales importantes, des naissances prématurées et des problèmes de croissance foetale. Aucun de ces effets indésirables n’était plus fréquent chez les femmes vaccinées contre le H1N1 ».

« Nous concluons que le vaccin contre le virus H1N1 ne représente pas un risque accru d’effets indésirables », a déclaré le Dr Anders Hviid, chercheur principal au Statens Serum Institut à Copenhague. Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of American Medical Association.

Le premier cas de grippe H1N1 a été diagnostiqué aux États-Unis en avril 2009. Cette nouvelle grippe a été déclarée pandémie de grippe à la mi-juin de la même année. En décembre 2009, le vaccin était largement offert, et les femmes enceintes étaient parmi les groupes prioritaires.

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Bientôt un vaccin contre l’obésité

(Relaxnews) – Un nouveau vaccin contre l’obésité a enregistré des résultats prometteurs sur des rats de laboratoire. Ce nouvel outil, qui pourrait s’avérer « révolutionnaire » selon les scientifiques, contribue à stimuler le système immunitaire pour s’en prendre à une hormone qui ralentit le métabolisme et encourage la prise de poids.

L’étude a été publiée dans la revue Journal of Animal Science and Biotechnology. Des tests en laboratoire ont montré qu’à peine quatre jours après l’injection du vaccin, les rats obèses enregistraient une perte de 10 % de leur masse corporelle.

Les chercheurs ont testé deux versions légèrement différentes du vaccin, et toutes deux confirmaient cette perte de 10 % à la suite d’une piqure de rappel, 22 jours plus tard.

Pour juguler l’obésité, ce nouveau vaccin recourt à une forme modifiée de somatostatine, une hormone peptidique. Chez les souris, mais aussi chez l’homme, la somatostatine inhibe l’action de l’hormone de croissance et permet la perte de poids.

Même si, pour cette étude, les cobayes ont reçu de fortes doses du vaccin, une autre étude, dont a récemment parlé le Telegraph anglais, a montré l’efficacité de ce vaccin à moins forte dose. Avant de tester ce vaccin sur des sujets humains, les chercheurs vont mener une batterie de tests sur des cochons et des chiens obèses.

Par ailleurs, l’agence sanitaire américaine a récemment autorisé la mise sur le marché du Lorcaserin, le premier traitement contre l’obésité à être commercialisé depuis plus de dix ans. Ce médicament est distribué par Belviq et fabriqué par le laboratoire Arena Pharmaceuticals.

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Un simple vaccin contre l’obésité?

Publiée hier (9 juillet) dans la dernière édition du Journal of Animal Science and Biotechnology, l’étude n’en est qu’à ses balbutiements.

Elle es présentement effectuée sur des souris, mais les résultats sont déjà probants. 

Il s’agit en fait d’un vaccin à base de somatostatine JH17 et JH18 modifiés, une hormone peptidique. Cela amène notre organisme à produire des anticorps contre la somatostatine, sans pour autant affecter les hormones de croissance. 

Conséquence? Le métabolisme augmente sa dépense énergétique et la maintien, ce qui mène à la perte de poids. 

Pour le moment, les résultats obtenus suite à l’injection sur des souris obèses ont été concluants.  Une perte de 10% du poids corporel était déjà enregistrée 4 jours après la première injection.  

Pendant les 6 semaines de traitement, les souris évaluées poursuivaient un régime hypercalorique, mais au terme de la recherche, la perte de 10% avait été maintenue. 

Keith Haffer, principal responsable de la percée de ce vaccin, rappel que la recherche doit être poursuivie afin de connaître les conséquences à long terme de l’utilisation d’un tel vaccin. 

D’autre part, il s’agit avant tout d’une solution contre l’obésité chronique, de plus en plus répandue à travers le monde, ce qui éliminerait la médication et les chirurgies normalement employées pour stabiliser la situation.

Il n’est donc pas question de l’utiliser pour une perte de poids superficielle.

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Un simple vaccin contre l’obésité?

Publiée hier (9 juillet) dans la dernière édition du Journal of Animal Science and Biotechnology, l’étude n’en est qu’à ses balbutiements.

Elle es présentement effectuée sur des souris, mais les résultats sont déjà probants. 

Il s’agit en fait d’un vaccin à base de somatostatine JH17 et JH18 modifiés, une hormone peptidique. Cela amène notre organisme à produire des anticorps contre la somatostatine, sans pour autant affecter les hormones de croissance. 

Conséquence? Le métabolisme augmente sa dépense énergétique et la maintien, ce qui mène à la perte de poids. 

Pour le moment, les résultats obtenus suite à l’injection sur des souris obèses ont été concluants.  Une perte de 10% du poids corporel était déjà enregistrée 4 jours après la première injection.  

Pendant les 6 semaines de traitement, les souris évaluées poursuivaient un régime hypercalorique, mais au terme de la recherche, la perte de 10% avait été maintenue. 

Keith Haffer, principal responsable de la percée de ce vaccin, rappel que la recherche doit être poursuivie afin de connaître les conséquences à long terme de l’utilisation d’un tel vaccin. 

D’autre part, il s’agit avant tout d’une solution contre l’obésité chronique, de plus en plus répandue à travers le monde, ce qui éliminerait la médication et les chirurgies normalement employées pour stabiliser la situation.

Il n’est donc pas question de l’utiliser pour une perte de poids superficielle.

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Un vaccin prometteur contre la maladie d’Alzheimer

Depuis des années, les chercheurs tentent de mettre au point un vaccin contre la maladie d’Alzheimer.
 
Jusqu’à présent, les résultats ont été plutôt décevants, surtout en raison des nombreux effets secondaires indésirables qu’ils causaient. Pour la première fois, on semble voir la lumière au bout du tunnel.
 
Selon The Lancet Neurology, le vaccin actif CAD106 a obtenu un véritable succès sans causer d’effets indésirables sur les humains.
 
Ce vaccin cible la protéine bêta-amyloïde et a déclenché une réponse immunitaire sur 80 % des patients.
 
Rappelons qu’une des théories de la maladie d’Alzheimer est que la protéine en question cause une accumulation sous forme de plaques. En ce moment, il n’existe aucun remède contre la maladie, on peut seulement réduire les symptômes.
 
Des essais cliniques plus importants doivent maintenant être faits avec le vaccin ACD106 afin de confirmer les premiers résultats.
 
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Bientôt un vaccin contre le Parkinson?

La société de biotechnologie autrichienne Affiris a annoncé le début des premiers essais cliniques d’un vaccin pour vaincre la maladie de Parkinson. Il s’agit d’une grande première mondiale.
 
Pour le moment, 32 patients recevront ce vaccin.
 
Le vaccin, nommé PD01A, s’attaque à la protéine alpha-synucléine qui est liée au développement et à la progression de la maladie.
 
Le Parkinson se développe lorsqu’il y a une accumulation de dépôts de cette protéine dans le cerveau. En réduisant ces dépôts, il pourrait y avoir des effets très bénéfiques pour les malades.
 
En fait, le vaccin éduque le système immunitaire afin qu’il produise des anticorps contre la protéine.
 
« Le vaccin offre pour la première fois la perspective d’un traitement des causes de la maladie de Parkinson et non pas seulement de ses symptômes », précise Affiris dans un communiqué.
 
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Trop d’enfants n’ont pas leurs vaccins de base

« En aidant les pays à introduire des vaccins puissants qui protègent les enfants, nous pourrons avoir un impact sur la vie de millions de personnes », a déclaré le Dr Seth Berkley, PDG de l’Alliance GAVI, lors de la 65e édition de l’Assemblée mondiale de la santé qui s’est tenue le 28 mai, alors que les ministres de la Santé de 194 pays se sont rencontrés.

D’ici 2020, l’OMS désire contrôler des décès évitables en adoptant le plan d’action mondial pour la vaccination (GVAP). Ce dernier sera adapté dans diverses régions à travers le monde selon les cultures et sera mis en œuvre, peu importe le statut socio-économique.

L’accès équitable aux vaccins sera donc attribué à un plus grand nombre d’enfants, mais aussi à plus de femmes en âge de procréer.

« Le plan favorise la coordination et la synergie entre la vaccination de l’enfance à l’adolescence et durant la période de fertilité », affirme la docteure Flavia Bustreo, sous-directrice générale pour la famille, la santé maternelle et infantile à l’OMS.

Le GVAP, déjà approuvé par l’Assemblée mondiale de la santé, visera le renforcement de la couverture vaccinale, le contrôle des maladies évitables par vaccination avec l’éradication de la poliomyélite en priorité, l’introduction de nouveaux vaccins et le renforcement de la recherche pour une nouvelle génération de vaccins et de technologies vaccinales, relate le site SantéLog.

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Les bienfaits surprenants du vaccin H1N1 sur les bébés

Alors que plusieurs femmes enceintes sont souvent méfiantes à l’idée de prendre un médicament ou de se faire injecter un produit, voilà qu’une étude réalisée auprès de 55 570 enfants venus au monde durant l’épidémie de grippe en 2009 révèle qu’un vaccin n’a pas nécessairement d’effets dramatiques et peut même être bénéfique.

En effet, des chercheurs de l’Ottawa Hospital Research Institute, du CHEO Research Institute et de l’Université d’Ottawa ont découvert que les femmes vaccinées contre le virus grippal avaient trois fois moins de chance d’avoir un enfant mort-né (- 34 %).

Il a également été prouvé que ce vaccin réduisait de 28 % le risque des femmes d’accoucher avant 32 semaines de grossesse, et de 19 % les chances que leur bébé ait un faible poids à la naissance.

Il est ressorti qu’en plus de ses bienfaits qui donnaient droit aux bébés d’être immunisés contre certains problèmes (poids, prématurité, etc.), le vaccin contre la grippe H1N1 n’a pas démontré d’effets négatifs ou indésirables chez la mère ou chez l’enfant.

Parue dans l’American Journal of Public Health, l’étude des chercheurs s’est basée sur les données des naissances de l’Ontario (BORN).

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Un vaccin contre les récidives du cancer du sein

Des études cliniques avec le vaccin AE37 se sont avérées fort prometteuses pour réduire les risques de récidives du cancer du sein chez les femmes ayant des antécédents.
 
Il y aurait eu une excellente réponse chez les femmes ayant un niveau variable de l’expression du HER2, une oncoprotéine que l’on retrouve dans 75 à 80 % des cas de cancer du sein et qui favorise la croissance des tumeurs.
 
Les résultats de l’Université du Texas, présentés lors du Congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology, démontrent que le taux de récidive serait réduit de 43 %.
De plus, le vaccin serait bien toléré, et on noterait des effets secondaires tolérables.
 
En fait, le vaccin éduquerait le système immunitaire à reconnaître le HER2 comme un envahisseur.
 
« En vaccinant les femmes qui ont eu un cancer du sein, nous incitons le système immunitaire à reconnaître immédiatement les cellules cancéreuses récurrentes et à déclencher une attaque », explique la Dre Elizabeth Mittendorf.
 
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Un pas de plus vers un vaccin universel contre la grippe

Depuis plusieurs années maintenant, les chercheurs tentent de trouver un moyen de créer un vaccin universel qui protègerait contre toutes les souches de grippe. Des Canadiens de l’Université de la Colombie-Britannique viennent de faire un pas de plus vers la réalisation d’un tel projet.
 
La nouvelle recherche démontre que le vaccin de 2009 contre la grippe H1N1 produit des anticorps qui protègent contre plusieurs virus de la grippe, dont la H5N1 et la grippe aviaire.
 
Le virus de la grippe comporte une protéine nommée hémagglutinine ou HA. « Cette protéine est comme une fleur avec une tête et une tige. Le virus de la grippe se lie aux cellules humaines par l’intermédiaire de la tête de HA, un peu comme une prise et une fiche », explique le professeur John Schrader.
 
Les vaccins actuels s’attaquent seulement à la tête de la HA, et comme le virus de la grippe change rapidement, les changements sont aussi faits sur la HA. Donc, chaque année, un nouveau vaccin doit être créé.
 
Par contre, avec celui contre la H1N1, le fonctionnement est différent et il s’attaque à la tige. « Plutôt que d’attaquer la tête variable de HA, les anticorps ont attaqué la tige de HA pour neutraliser le virus. Or, la tige de HA est nécessaire pour que le virus puisse pénétrer dans la cellule. »
 
Voilà donc une avancée importante pour la création d’un vaccin universel.