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La méningite se propage

Il semble que l’on devrait se méfier grandement du pneumocoque. Cette bactérie est responsable du développement de la méningite, et elle toucherait de plus en plus de bébés.

On a par exemple constaté, en France, que si 85 % des enfants de moins de 2 ans avaient reçu un vaccin en 2008, les cas de méningites à pneumocoque n’ont pourtant pas diminué. Ils seraient en constante progression, au contraire, indique Le Figaro.

Quelques pistes de réponse sont envisagées, notamment celle de la surconsommation d’antibiotiques. On devra toutefois poursuivre l’investigation pour tirer une conclusion.

En ce moment, on évalue que 90 sortes de pneumocoques se transmettent entre les enfants et les bébés, mais certains demeurent des porteurs en bonne santé. Dans 10 % des cas, les pneumocoques peuvent pourtant s’infiltrer dans le sang, ce qui peut engendrer une pneumonie, et entraîner la mort.

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Grand-maman aura-t-elle la coqueluche?

Selon l’American Academy of Pediatrics, grand-papa et grand-maman devraient recevoir le vaccin contre la coqueluche. On verra si cette recommandation sera donnée de ce côté de la frontière.

C’est que d’après des experts, les grands-parents d’un bébé de moins de six mois pourraient lui transmettre la maladie. Cette recommandation avait déjà été donnée aux parents de jeunes enfants en 2005, lit-on sur Daily Dose.

En fait, maintenant, ce sont toutes les personnes de 65 ans et plus qui sont en relation avec un bébé qui devraient être vaccinées. Il s’agit du vaccin connu contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche (le Tdap).

Puisque les poupons ne reçoivent pas le premier vaccin de ce type avant deux mois, ils seraient exposés à certains risques en étant en contact avec des personnes non immunisées. Mentionnons d’ailleurs que les bébés n’ont une complète immunité contre la maladie qu’à partir de l’âge de six mois.

Cette nouvelle recommandation vient en grande partie de l’inquiétude quant à la hausse des cas reconnue au cours de la dernière année. Aux États-Unis seulement, 27 550 cas ont été diagnostiqués.

Ajoutons qu’il a été annoncé dernièrement, dans le cadre d’une étude, que l’immunité contre la coqueluche tend à diminuer trois ans après la vaccination, chez les jeunes enfants.

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Vaccins : êtes-vous à votre affaire?

Il semble que les parents manquent parfois d’organisation quant aux différents vaccins que leur enfant doit recevoir. Par exemple, selon ce que nous lisons dans Pediatrics, 1 parent sur 10 ne suivrait pas l’ordre requis dans le carnet de vaccination de son enfant, et ce, aux États-Unis seulement.

Selon les données d’enquête recueillies par l’University of Michigan, des parents seraient en fait portés à suivre leur propre suite de vaccins au lieu de celle recommandée par les instances de la santé.

Tous les enfants devraient recevoir leurs vaccins contre les maladies graves contagieuses, comme la rougeole, la varicelle, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, pour ne nommer que celles-là.

Dans le sondage ici présenté, qui portait au départ sur 748 parents, 28 % ont répondu que les moments de vaccination recommandés étaient les meilleurs à suivre. Et parmi ceux qui ont retardé cesdits moments, 55 % ont attendu que leur enfant soit plus vieux, et 17 % ont refusé tous les vaccins.

En plus d’avoir relevé que 10 % des parents suivaient leur propre organisation des vaccins, les chercheurs ont noté que parmi ceux qui respectaient les règles établies, une importante proportion serait encline à changer pour suivre sa propre organisation.

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Le vaccin de la coqueluche, inefficace?

Des chercheurs américains sèment le doute après avoir présenté les résultats de leur étude à l’Interscience Conference on Antimicrobial Agents and Chemotherapy. Il semble que le vaccin de la coqueluche, lequel est administré à tous les bébés, puis aux enfants, deviendrait moins efficace après trois ans.

C’est à partir de données portant sur 15 000 enfants californiens que les chercheurs ont remarqué ce fait quelque peu alarmant. C’est une épidémie de coqueluche qui a éveillé les soupçons. En 2010, elle a touché plus de 8 000 personnes, et 11 poupons en sont morts.

Les enfants de plus de 12 ans et de moins de 8 ans ont semblé mieux protégés contre la coqueluche. La faille entre 8 et 12 ans correspond à une période de plus de 3 ans entre les rappels de vaccin.

De plus, il s’est avéré que les enfants se trouvant dans la tranche d’âge la plus vulnérable étaient 20 fois plus enclins à contracter le virus que les autres. On appelle tout de même au calme devant ces premiers résultats.

En effet, le Dr David Witt, directeur de la recherche, rappelle que le vaccin constitue quand même une excellente protection contre la coqueluche, et ce, durant les deux à trois premières années. Qui plus est, il aide à diminuer les symptômes de la maladie chez ceux qui l’auraient quand même contractée.

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Un vaccin protègerait même les autres

Les personnes non vaccinées contre le rotavirus, qu’elles soient des enfants ou des adultes, auraient quand même une protection par les enfants qui le sont. C’est la conclusion d’une étude des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) parue dans le Journal of Infectious Diseases.

Rappelons que le rotavirus est responsable des gastroentérites infantiles. Chez les enfants, il représente un facteur important de diarrhée sévère.

On estime que chaque année, aux États-Unis seulement, de 58 000 à 70 000 hospitalisations y étaient dues avant l’arrivée du vaccin. Depuis 2006, la vaccination de routine a été entamée chez les enfants de 5 ans et moins, ce qui a entraîné une baisse majeure desdites hospitalisations.

En analysant les entrées à l’hôpital de 2000 à 2008 pour le rotavirus ou une diarrhée sévère chez les enfants et les adultes non vaccinés, on a pu remarquer une amélioration dans tous les groupes, surtout chez les 5 à 24 ans.

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A-t-on encore peur des vaccins?

L’Institute of Medicine (OMI) des États-Unis vient de démontrer, après avoir passé en revue plus de 1 000 études sur le sujet, que les vaccins ne sont liés en rien à l’apparition de l’autisme ou du diabète de type 1 chez les enfants.

Cela en réconfortera plus d’un, car de nombreuses rumeurs avaient couru sur le sujet. Les experts ajoutent même que s’il y a des problèmes de santé (au nombre de 14) existant en raison d’un vaccin, ils demeurent très rares, comme nous le lisons sur Medical News Today.

Parmi les vaccins les plus courants, on compte celui contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. On le connaît d’ailleurs sous le nom du vaccin RRO. Si quelques femmes et enfants peuvent en ressentir de la douleur, on ne compte que de rares cas de convulsions à la suite de fièvre.

Quant à celui prévenant contre la varicelle, un autre exemple de vaccin courant, on a relevé de rares cas de pneumonie, de méningites et d’hépatite, entre autres. Des boutons de varicelle peuvent aussi apparaître si le patient a un faible système immunitaire.

On conclut qu’en général, les vaccins peuvent affaiblir ou causer une inflammation à la hauteur de l’épaule. Le plus important est que le RRO n’entraînera pas le diabète ni l’autisme et que celui contre l’influenza n’augmente pas les symptômes de l’asthme.

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Les bébés protégés contre la grippe par n’importe quelle méthode

Les enfants de moins de trois ans reçoivent les mêmes anticorps protecteurs contre la grippe saisonnière indépendamment du fait que les deux doses soient injectées par aiguille, inhalées par vaporisateur nasal ou qu’elles soient administrées par ces deux méthodes dans n’importe quel ordre, selon des chercheurs financés par des instituts nationaux de la santé.

 

Les médecins donnent généralement ces deux types de vaccins contre la grippe. Le but de cette étude était de déterminer si ces deux méthodes fonctionnaient bien, rapporte le site Medicalnewstoday.

L’étude a été réalisée dans les unités d’évaluation des vaccins et des traitements (VTEUs) et financée par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID). L’étude s’est déroulée au cours de la période 2005-2006, puis en 2006-2007, pendant les saisons de la grippe saisonnière. Au total, 53 enfants âgés de 6 à 35 mois ont participé à cette enquête.

« Les complications graves de la grippe saisonnière peuvent être dévastatrices pour les jeunes enfants », a notamment souligné Anthony S. Fauci, directeur du NIAID.

La vaccination contre la grippe pour les jeunes enfants est une combinaison de deux doses. La première est conçue pour produire une réponse immunitaire favorable, et la deuxième dose stimule en fait cette réponse immunitaire.

Sharron Goodyear / FreeDigitalPhotos.net
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Un vaccin contre l’hépatite C ?

Nous pourrions éventuellement avoir un premier vaccin contre l’hépatite C, maladie qui conduit bien souvent à des insuffisances hépatiques et des cancers du foie.
 
Selon le Science Translational Medicine, des chercheurs européens du CNRS et de l’Inserm ont élaboré une nouvelle stratégie dans le développement d’un vaccin.
 
Non seulement cela permettrait un vaccin contre l’hépatite C, mais aussi à l’avenir des vaccins contre d’autres infections, notamment le VIH et la dengue.
 
Leur technique consiste à utiliser des pseudo-particules virales qui sont identiques aux particules virales, exception faite qu’elles ne sont pas dangereuses.
 
Des souris et des macaques qui ont reçu ce type de vaccin ont développé des anticorps capables de neutraliser l’hépatite C, ce qui permet de grands espoirs.
 
« Ces résultats sont importants pour la mise au point d’un vaccin préventif contre le virus de l’hépatite C. Plus généralement, ils sont applicables au développement de stratégies similaires pour des vaccins contre d’autres infections, comme le VIH, la dengue, le Virus respiratoire syncytial (RSV) », concluent les chercheurs.
 
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Moins de morts par la varicelle

Selon Pediatrics, le nombre de cas de mortalité liés au virus de la varicelle a chuté radicalement depuis que l’on vaccine les enfants. Depuis le début du programme de vaccination, en 1995, le nombre de morts aurait baissé de 97 % chez les enfants et les adolescents.

Les données sur le sujet, de 1990 à 2007, ont été analysées afin d’en arriver à ce constat. Par le fait même, on a remarqué que durant la période avant la vaccination, de trois à quatre millions de cas étaient diagnostiqués.

Chaque année, on comptait environ 105 morts dues à la varicelle; la moitié de celles-ci étaient d’enfants. Ces derniers comptaient aussi de 11 000 à 12 000 hospitalisations en raison de complications sévères.

On recommande finalement aux adultes de recevoir aussi le vaccin, car ces derniers courraient 20 fois plus de risques de mourir de la varicelle que les enfants. Pour la même période d’analyse, le nombre de décès chez les adultes de moins de 50 ans a chuté de 96 % à la suite du programme de vaccination.

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Bientôt un nouveau vaccin contre la méningite

Des chercheurs italiens, dirigés par le Dr Rino Rappuoli, sont parvenus à créer un vaccin qui protègerait contre 300 souches de méningocoques B qui peuvent causer la méningite.
 
La méningite peut aussi être causée par le méningocoque A, C et Y, mais le B est le plus répandu et surtout le plus difficile à traiter. Il provoque des lésions cérébrales, ce qui fait que le patient garde des séquelles auditives ou mentales. Dans certains cas, cela peut même entraîner la mort.
 
L’équipe du Dr Rappuoli a d’abord créé 54 substances immunogènes qui déclenchent une réponse immunitaire. Après avoir fait des tests sur des souris, huit des ces substances ont été retenues, mais une, la G1 s’est montrée particulièrement efficace, rapporte le magazine Science.
 
Pour le moment, nous ignorons quand le vaccin pourrait être disponible, des tests sur des humains sont à prévoir.