Catégories
Uncategorized

Contrer le tétanos durant la grossesse

Un comité américain, l’ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices), recommande que les femmes reçoivent le vaccin Tdap durant leur grossesse, non pas après leur accouchement.

Cet avis s’adresse aux femmes qui n’auraient toujours pas été vaccinées. L’administration du Tdap devrait alors se faire à la fin du deuxième trimestre de grossesse, voire durant le troisième (c’est-à-dire à compter de la vingtième semaine).

Selon ce que nous lisons sur Medpage Today, la raison en serait une meilleure protection contre la coqueluche pour le nouveau-né. Les jeunes enfants, surtout ceux de moins de trois mois, sont particulièrement vulnérables à ce virus.

Le Tdap est un vaccin courant. Il protège de trois maladies à la fois, soit le tétanos, la diphtérie et la coqueluche. Habituellement, les enfants le reçoivent en 5 doses : à 2 mois, 4 mois, 6 mois, entre 15 et 18 mois, puis entre 4 et 6 ans.

Alors, si un bébé est protégé de ces maladies graves à partir de deux mois – on pense surtout à la coqueluche, rappelons-nous –, il n’en est pas protégé dès sa naissance. Vacciner sa maman serait donc la solution.

Catégories
Uncategorized

N’hésitez plus à faire vacciner votre enfant

On craint encore les dangers du vaccin contre la grippe chez les enfants qui souffrent d’une allergie aux œufs. Or, de nouvelles recommandations de l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) soutiennent que tous les enfants peuvent recevoir un tel vaccin, mais selon certaines mesures préventives.

Toujours selon les conclusions de ce comité, le vaccin antigrippal inactif, le VTI, devra être administré aux personnes allergiques au lieu du vaccin actif, le LAIV. De plus, toute personne allergique devra être vaccinée dans un centre de santé et devra demeurer en observation durant 30 minutes.

Un accord a été voté en ce sens par l’ACIP en regard à plusieurs recherches sur le sujet, apprenons-nous sur Medpage Today. On retient que sur 17 études, aucun des plus de 2 600 patients allergiques aux œufs – dont 200 ayant des réactions allergiques sévères – n’avait eu de réaction à la suite d’un vaccin contre la grippe.

Rappelons pour terminer que l’allergie citée touche environ 1 % des enfants et qu’elle se développe avant l’entrée à l’école.

Catégories
Uncategorized

Le vaccin contre le cancer du col de l’utérus est un succès

Depuis leur arrivée, il y a environ trois ans, les vaccins contre le cancer du sol de l’utérus seraient très efficaces.

Une étude australienne, rendue publique par Futura-Sciences, mentionne que depuis trois ans, il y a une nette amélioration, soit une réduction de 38 %, de l’incidence des lésions précancéreuses de haut grade chez les jeunes filles de 18 ans.

Les dépistages plus précoces sont aussi à l’origine de cette nette amélioration.

Récemment, une équipe de l’Université de Manchester a découvert qu’un médicament couramment utilisé contre le VIH pourrait être très efficace pour prévenir le cancer du col de l’utérus, causé par le virus du papillome humain (VPH).

En effet, l’antiviral lopinavir aurait démontré de bons résultats. On souhaite maintenant passer à des essais cliniques pour confirmer les premières données obtenues en laboratoire.

« Nous avons découvert que le lopinavir tue de manière sélective les cellules infectées par le VPH, tout en préservant globalement les cellules saines. C’est une constatation très importante, car ces cellules ne sont pas cancéreuses, mais sont très proches de cellules présentes dans une infection précancéreuse du col de l’utérus. Le lopinavir tue ces cellules infectées par le VPH en réactivant un système antiviral bien connu », expliquait le Dr Ian Hampson.

Catégories
Uncategorized

Bientôt un vaccin pour combattre le cancer de la prostate?

Des chercheurs britanniques ont mis au point un vaccin qui cible les tumeurs du cancer de la prostate avec un taux de réussite de 80 %.
 
Ce vaccin ne présenterait pas d’effets secondaires et laisserait les tissus sains intacts.
 
Pour le moment, les tests ont été réalisés en laboratoire, notamment sur des souris, mais on espère pouvoir faire quelques essais sur des humains d’ici quelques années.
 
Les chercheurs croient également que le vaccin ne serait pas seulement efficace contre le cancer de la prostate à un stade avancé, mais également pour d’autres cancers mortels comme ceux du sein, des poumons et du pancréas.
 
Contrairement aux autres vaccins donnés à titre préventif, celui-ci est administré une fois que la maladie est déclarée.
 
Le Daily Mail rapporte que des avancées pour des vaccins similaires ont été faites en ce qui concerne le mélanome, la forme la plus agressive de cancer de la peau.

Ce vaccin est une forme de thérapie génétique et il stimule le système immunitaire.

Catégories
Uncategorized

Vaccins : l’inquiétude demeure chez les parents

La sécurité des vaccins et les risques qu’ils encourent demeurent dans l’esprit des parents, même si tous font immuniser leurs enfants contre des maladies infantiles.

C’est ce que l’on retire d’un récent sondage effectué auprès de 376 foyers américains. Selon les résultats parus dans Health Affairs, seulement 23 % des parents font entièrement confiance aux vaccins.
 
Bien que ceux qui en sont moins certains ne remettent aucunement en cause l’immunisation des jeunes enfants, on remarque quelques tendances quant aux réticences qu’ils peuvent avoir.
 
Les risques liés aux ingrédients des vaccins semblent donc concerner plusieurs parents. Ceux-ci considèrent aussi que les enfants en reçoivent un trop grand nombre durant leurs deux premières années de vie et lors d’une même visite médicale.
 
Finalement, les parents ne sont pas à l’aise avec la douleur physique que doit subir l’enfant lors de l’injection.

Quant aux inquiétudes provenant de certaines études sur un lien entre les vaccins et l’autisme ou les problèmes d’apprentissage, elles semblent toujours planer, et ce, malgré la réfutation de ces hypothèses.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle forme de grippe touchant les bébés

Une combinaison de la grippe H1N1 et de la grippe H3N2 présagerait une épidémie chez les bébés. On apprend en effet sur Canoe qu’un cas d’une forme de grippe encore inconnue jusqu’ici a été diagnostiqué chez un jeune enfant.

Les parents du bébé de 16 mois l’ont amené à un hôpital de Toronto, alors que le petit souffrait de douleurs à l’estomac et à la poitrine. Des analyses ont par la suite été effectuées. Les médecins ont pu conclure à un nouveau virus, celui-ci étant un mélange entre la grippe saisonnière et la H1N1.
 
Les événements passés liés à la grippe H1N1 sèment bien évidemment beaucoup d’inquiétude. De plus, nous savons que les enfants en bas âge sont particulièrement vulnérables à ce virus. On se demande si une propagation épidémique surviendra au Canada.

Toutefois, les médecins somment le public ne pas céder à la panique. Les vaccins actuels demeurent efficaces pour contrer cette nouvelle forme de grippe.

Catégories
Uncategorized

Impact d’un vaccin sur la santé du nouveau-né

On a constaté, après les vagues de vaccination des sept dernières années, que les bébés de moins de six mois avaient eu moins tendance à être hospitalisés en raison de la grippe.

Des chercheurs de l’Université de Wake Forest, en Caroline du Nord, concluent donc que le vaccin contre l’influenza pourrait effectivement protéger le futur enfant lorsqu’une femme enceinte le reçoit.
 
Comme nous le constatons dans cette recherche parue dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, les nouveau-nés pourraient être protégés contre la grippe avant leur naissance par voie de transport depuis leur mère.
 
Rappelons que les bébés de six mois et moins ne peuvent pas recevoir ce vaccin. De plus, ils accusent le plus haut taux d’hospitalisation chez les enfants.

Les chercheurs recommandent donc fortement le vaccin contre l’influenza durant la grossesse. Des recherches précédentes avaient déjà abordé cette possibilité de transfert de vaccin entre la mère et son bébé.

Catégories
Uncategorized

Surprise dans la prévention de la prématurité

Un lien insoupçonné entre la prévention de la grippe et l’accouchement vient d’être établi. Il semble que le vaccin contre l’influenza serait aussi efficace pour prévenir différents problèmes liés à la naissance.

Ainsi, ledit vaccin diminuerait les risques de prématurité et de petite taille du bébé. Des chercheurs de l’École de santé publique Rollins de l’Université Emory à Atlanta se sont basés sur 4 168 mères et leur bébé pour établir ces liens. Toutes les naissances ont eu lieu entre le 1er juin 2004 et le 30 septembre 2006.
 
Il semble donc que les bébés nés durant la saison de la grippe et dont la mère avait reçu le vaccin naissaient moins de façon prématurée que ceux dont la mère n’avait pas été vaccinée. Le ratio en a été de 0,60.
 
Toutefois, il s’agit ici d’une corrélation. On ne pourrait prétendre à une conséquence de la vaccination pour l’instant. D’autres études sur le même sujet devront suivre pour démystifier ces premières observations.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans PloS Medicine.

Catégories
Uncategorized

Avis quant au retour d’un virus

On lit sur Nurse.com que nos voisins du sud ont observé une hausse marquée des cas de rougeole cette année.

Les U.S. Centers for Disease Control and Prevention rapportent 118 cas répartis dans 23 États. De nombreuses personnes atteintes n’avaient pas été vaccinées.
 
Il s’agit de la plus forte présence de ce virus depuis 1966. Rappelons que la rougeole avait été éradiquée vers la fin des années 90, aux États-Unis, à la suite de campagnes de vaccination massives. Le phénomène s’était étendu au reste de l’Amérique au cours des années 2000.
 
Or, le grand nombre de voyageurs semble responsable du retour de la maladie. Les autorités prônent donc encore le vaccin, tant que la rougeole demeurera endémique à travers le monde.

Rappelons finalement que la rougeole est une maladie assez grave. On estime que 90 % des personnes exposées au virus en seront infectées. Le vaccin est conseillé aux enfants de 12 à 15 mois, avec un rappel lorsqu’ils ont de 4 à 6 ans.

Catégories
Uncategorized

Allaitement et vaccination : recommandations

Le vaccin Amaril, administré en prévention de la fièvre jaune, était jusqu’ici donné aux femmes qui allaitent. Or, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de lever le drapeau rouge, comme nous l’apprenons sur Mes Vaccins.net.

C’est que trois cas d’encéphalite vaccinale ont été diagnostiqués chez des bébés allaités, lesquels étaient âgés de 10 jours, 3 et 5 semaines. Les mères de ces poupons avaient été vaccinées avec Amaril de 8 à 30 jours avant.
 
On a donc pu faire un lien entre l’allaitement et le développement de l’encéphalite. L’OMS recommande donc aux femmes qui allaitent d’éviter le vaccin Amaril si leur enfant est âgé de moins de six mois.

Toutefois, si une femme doit se rendre dans une région du globe où la vaccination contre la fièvre jaune est nécessaire, elle devra se faire vacciner pour éviter d’être atteinte par l’épidémie. Elle devra alors arrêter l’allaitement les 15 jours suivant sa vaccination, si son enfant est âgé de moins de 6 mois.