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Les personnes âgées bénéficient peu du vaccin contre la pneumonie

Le vaccin contre la pneumonie a été testé dans les années 70 sur des jeunes en bonne santé. Aujourd’hui, les médecins ontariens affirment que ce vaccin est très peu efficace sur les personnes âgées. Pourtant, les 65 ans et plus sont les personnes ciblées par les campagnes de vaccination.
 
« C’est un vaccin qui est recommandé plutôt chez les gens âgés, les 65 ans et plus, et d’autres personnes présentant des facteurs de risques, mais on sait qu’avec l’âge, la réponse immunitaire au vaccin diminue aussi », indique la Dre Jennie Johnstone.
 
La Dre Johnstone et son équipe de l’Université McMaster ont suivi 2 950 patients admis à l’hôpital d’Edmonton pour une pneumonie. Le tiers avait une moyenne d’âge de 68 ans et avait reçu le vaccin contre le pneumocoque à l’origine de la maladie.
 
En cinq ans, environ 50 % des patients sont décédés des suites de la pneumonie, qu’ils aient ou non reçu le vaccin.
 
Pour l’instant, les données sont réellement insuffisantes pour remettre en question les campagnes de vaccination. Faute de trouver un meilleur traitement ou un meilleur vaccin, il est recommandé que les personnes de plus de 65 ans continuent de se faire vacciner contre la pneumonie.
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Un vaccin contre la fièvre Ebola?

Un vaccin contre la fièvre hémorragique Ebola est testé en ce moment sur des singes aux États-Unis, à l’École de médecine de l’Université de Boston.
 
Au départ, les singes ont reçu la souche la plus mortelle de la maladie afin de pouvoir tester l’efficacité du vaccin. Trois singes ont ensuite reçu quatre doses de traitement pendant plusieurs jours. Finalement, un des singes est décédé.
 
Ensuite, on a fait le même test sur quatre autres singes, mais en leur administrant sept doses du traitement pendant plusieurs jours. Finalement, les sept primates ont survécu et cela marque un progrès intéressant. Selon les chercheurs, il reste un long chemin à parcourir, mais il s’agit d’un nouvel espoir.
 
Les scientifiques ont eu recours à de petites particules génétiques pour ne pas avoir de répliques virales durant leurs expériences.
 
Le virus Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 au Zaïre. Depuis, on a recensé 1 850 cas, dont 1 200 décès. Il s’agit d’une fièvre hémorragique qui affecte les humains et les grands singes du Gabon.
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Vers un vaccin contre le cancer du sein?

Voici sans doute un des plus grands espoirs pour la lutte contre le cancer du sein. Des chercheurs américains ont testé un vaccin contre la maladie sur des souris et les résultats sont spectaculaires.
 
Selon la revue Nature Medicine, les chercheurs du Cleveland Clinic Lerner Research Institute affirment que des doses uniques données à des souris ont montré que, pour la très grande majorité, les résultats étaient favorables dans la prévention de la maladie. De plus, cela permettait également de freiner la croissance des tumeurs existantes.
 
« Nous croyons que ce vaccin pourra un jour être utilisé pour prévenir le cancer du sein chez les femmes adultes de la même manière que les vaccins empêchent de nombreuses maladies infantiles. Si cela marche aussi bien sur les humains que cela fonctionne sur les souris, ce sera monumental. Nous pourrions éliminer le cancer du sein », mentionne l’immunologue Vincent Tuohy.
 
Le médicament injecté permet au système immunitaire d’attaquer une protéine particulière des cellules cancéreuses du sein et des tissus mammaires. Des tests sur les humains pourraient se faire dès l’année prochaine.
  
Si le tout s’avère concluant, le vaccin serait éventuellement donné aux femmes de 40 ans et plus. Pour les plus jeunes qui sont à risque, cela pourrait aussi être une option.
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On encourage les fanatiques du soccer à se faire vacciner avant la Coupe du monde

S’il n’existe aucun vaccin contre la fièvre du soccer, il en existe un contre la rougeole et un autre contre la gastro-entérite. Selon une étude qui vient d’être publiée dans l’American Journal of Tropical Medicine and Hygiene, ceux-ci sont fortement recommandés pour les centaines de milliers d’amateurs de football qui prendront bientôt la direction de l’Afrique du Sud pour aller encourager leur club, l’un des 31 à s’être qualifiés pour le grand tournoi mondial qui n’a lieu qu’une fois tous les quatre ans.

Toujours selon l’étude du journal médical qui a été menée sur une période de 13 ans, les voyageurs qui se rendront dans ce pays de l’extrême pointe sud de l’Afrique risquent d’être touchés par la rougeole et les diarrhées aiguës. On les invite donc à se faire vacciner sans faute avant d’entrer au pays, même si cette mesure n’est pas obligatoire. Toutefois, pour les conscientiser à l’importance de cette précaution, l’étude rappelle aux voyageurs que depuis le début de l’année 2009, pas moins de 9 500 cas de rougeole ont été signalés au pays.

L’étude recommande aussi aux voyageurs de faire attention aux piqûres de moustiques ainsi qu’aux morsures de tiques qui sont assez fréquentes en Afrique du Sud, pays hôte de la Coupe du monde de la FIFA 2010 entre le 11 juin et 11 juillet prochain.

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Les bébés de plus en plus vaccinés contre l’hépatite B

Il semble que les parents auraient un regain de confiance envers le vaccin contre l’hépatite B. En 2007, 42 % des enfants avaient reçu les trois doses recommandées à deux ans, comparativement à 34,5 % en 2004.
 
Bien que les médecins trouvent les résultats de l’étude encourageants, ils sont encore insuffisants selon eux, rapporte le Bulletin épidémiologique hebdomadaire.
 
Depuis une dizaine d’années, on recommande le vaccin pour l’hépatite B, donné en trois doses, pour tous les bébés.
 
Depuis 1990, un débat existe toutefois sur les possibles effets secondaires du vaccin, notamment qu’il augmenterait le risque de développer la sclérose en plaques. Encore aujourd’hui, des études se contredisent, mais les médecins insistent sur le fait que la vaccination est sécuritaire et efficace.
 
La majorité du temps, l’hépatite B ne provoque pas de symptômes ou sinon très peu. Dans 5 % des cas, elle peut par contre devenir une infection chronique et mener à une cirrhose ou même un cancer du foie.
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Du sucre pour atténuer la douleur des vaccins pour les bébés

Des chercheurs de Toronto, de l’Australie et du Brésil ont analysé 14 études où on avait donné au hasard une solution sucrée, de l’eau ou rien du tout à des bébés de 1 à 12 mois qui allaient recevoir un vaccin.
 
Sur un total de 1600 injections données, on remarque que dans 13 des études, les bébés ayant reçu du sucre ont pleuré moins et moins longtemps que les autres.
 
Selon les Archives of Disease in Chilhood, les chercheurs ont également noté que les bébés qui ont bu la solution sucrée avaient un indice de douleur moins élevé. Sur les bébés, l’indice de la douleur est mesuré par les expressions faciales, les mouvements aux bras et aux jambes, la respiration et les battements de cœur.
 
Selon les scientifiques, faire boire une demi-cuillère à thé d’une solution sucrée à des bébés de moins d’un an est suffisant pour atténuer la douleur. On recommande donc aux médecins d’envisager cette solution non seulement pour la vaccination des tout-petits, mais aussi pour d’autres interventions douloureuses.
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Nouveaux essais cliniques pour un vaccin contre l’Alzheimer

Un vaccin contre l’Alzheimer continue son processus de développement en Europe. On entre maintenant en deuxième phase des essais cliniques et le vaccin sera testé sur 420 personnes atteintes de la maladie.
En phase 1, il y a cinq mois, le vaccin a été jugé sécuritaire et bien toléré.
 
Le vaccin appelé AD02 a été créé en Autriche par la compagnie Affisis, mais sa licence appartient à GlaxoSmithKline.
 
Les premiers résultats devraient être connus en 2012.
 
L’AD02 combat la formation de plaques au cerveau, ce qui bloque les signaux nerveux. C’est ce qui est à l’origine de la maladie dégénérative. Le vaccin doit permettre la production d’anticorps qui s’attaquent à la protéine qui provoque la formation des plaques.
 
Rappelons que ce n’est pas la première fois que l’on tente de faire approuver un vaccin contre l’Alzheimer. En 2001, des tests avaient été interrompus aux États-Unis et en Europe en raison de graves effets secondaires d’un premier vaccin. Puis, en 2005, c’était au tour de la Suède de tenter l’expérience, en vain.
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L’épidémie de rougeole continue de sévir en France

Depuis le 1er janvier 2008, la France fait face à une épidémie de rougeole, surtout chez les enfants de moins d’un an. Depuis cette date, 2 800 cas ont été signalés. En 2009, 1 600 personnes avaient été contaminées et déjà depuis le 1er janvier dernier, on a enregistré 650 cas.
 
Selon l’Institut de veille sanitaire (InVS), le virus s’intensifie cette année.
 
Les personnes les plus touchées sont les bébés de moins d’un an, mais le virus touche également les adolescents et les jeunes adultes. Des foyers du virus sont déclarés surtout en milieu scolaire, en garderie et même chez les personnes qui voyagent.
 
« Cette situation reflète probablement une meilleure déclaration des cas, mais elle témoigne surtout de la diffusion du virus et d’une augmentation du nombre de foyers de cas groupés. Ces foyers épidémiques sont la conséquence d’un niveau insuffisant et hétérogène de la couverture vaccinale en France, l’accumulation progressive de sujets non immunisés conduisant à des poches de sujets réceptifs au virus », explique l’InVS.
 
La vaccination devient donc une priorité désormais en France. Des campagnes de vaccination auront lieu dès le 23 avril.
 
En 2005, on a mis en place un plan pour enrayer la maladie en France. L’objectif premier de ce plan était que 95 % des enfants de 2 ans soient vaccinés contre la rougeole.
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Un vaccin contre la turista

Sanofi Pasteur et le Centre de recherches médicales de la marine américaine ont annoncé une entente de partenariat afin de mettre au point un vaccin contre la diarrhée à Escherichia coli entérotoxinogène (ETEC) du voyageur, communément appelée la turista.
 
Le vaccin serait développé à base d’adhésine et pourrait voir le jour si les recherches qui seront entamées bientôt s’avèrent positives.
 
« Ce projet de plusieurs années va constituer une base solide pour aborder le développement clinique. De plus, nous sommes convaincus que ce vaccin va permettre de diminuer le nombre et la sévérité des toxi-infections alimentaires dues à l’ETEC; il pourrait aussi contribuer à réduire le risque de survenue du syndrome du côlon irritable postinfectieux », indique le président-directeur général de Sanofi Pasteur, Wayne Pisano.
 
L’ETEC peut provoquer une grave déshydratation et un choc si la maladie n’est pas soignée rapidement. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’il y a 210 millions de cas de diarrhées par année qui sont causées par l’ETEC.
 
Les toxi-infections, dont la diarrhée du voyageur, affectent environ 40 à 60 % des 80 millions de personnes qui voyagent dans les pays en développement chaque année.
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Le vaccin contre la grippe saisonnière augmentait les risques de H1N1

Des épidémiologistes de la Colombie-Britannique soutiennent que les personnes qui ont été vaccinées contre la grippe saisonnière étaient plus exposées au virus H1N1 que les autres.
 
Toutefois, les auteurs des études demeurent prudents et ajoutent qu’il est encore trop tôt pour établir un lien clair. D’autres études sont nécessaires pour valider ou invalider les présentes données.
 
Selon la revue PLoS Medicine, au printemps 2009, la Dre Danuta Skowronski et ses collègues du Centre de contrôle des maladies ont remarqué que plusieurs élèves d’une école présentaient des symptômes de la grippe H1N1. Or, il s’avère que la majorité d’entre eux avaient été vaccinés contre la grippe saisonnière.
 
Afin de vérifier le tout, 2 700 personnes ont été recrutées en Colombie-Britannique, en Alberta, en Ontario et au Québec pour participer à quatre études. Les quatre donnent des résultats similaires et confirment que ceux vaccinés contre la grippe saisonnière étaient protégés contre cette dernière, mais avaient 68 % plus de risques d’être contaminés par la H1N1. Toutefois, les risques d’hospitalisation ne changeaient pas.