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Le vaccin contre le VPH-16 est efficace à long terme

Le vaccin à pseudoparticules virales, administré pour contrer le virus du papillome humain (VPH) de type 16, offre une protection efficace moyenne de huit ans et demi, parfois même neuf ans et demi, selon une récente étude.

Ce vaccin est une composante du vaccin Gardasil donné aux jeunes femmes de 9 à 26 ans pour prévenir le cancer du col de l’utérus, de la vulve et du vagin, les lésions précancéreuses associées et les verrues génitales.

Selon une autre étude sur les femmes qui n’avaient jamais été exposées aux 14 types de VPH les plus courants, on a démontré que le vaccin Gardasil avait permis de réduire considérablement le nombre de tests Pap anormaux, de 17 à 45 % selon l’anomalie. En plus, on note une réduction des demandes de colposcopies de 20 %, des biopsies du col de l’utérus de 22 % et des opérations et autres traitements de 42 %.

Au Canada seulement, près de 400 000 tests Pap se révèlent anormaux chaque année. Le VPH-16 est celui qui est le plus susceptible de causer le cancer du col de l’utérus.

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Un vaccin prometteur contre le cancer

La société Dendreon affirme que le vaccin Provenge qu’elle a mis au point augmente considérablement les chances de survie des hommes souffrant d’un cancer de la prostate.

512 participants atteints de la maladie à un stade avancé ont participé à ces essais cliniques.

Provenge n’est pas considéré comme un vaccin traditionnel puisqu’il agit sur le système immunitaire afin de lutter contre la tumeur. Ainsi, les patients qui ont été vaccinés vivent quatre mois et demi plus longtemps que les sujets ayant reçu le placebo. De plus, le taux de survie est de 34 % pour Prevenge, comparativement à 11 % pour les patients non traités au vaccin.

Tous les détails de cette recherche seront dévoilés le mois prochain lors d’un congrès organisé par l’American Urological Association.

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Un vaccin pour vaincre le diabète

Le Dr Johnny Ludvigsson et son équipe de l’Université de Linköping, en Suède, ont développé un vaccin qui modifie la réaction du système immunitaire des personnes qui sont aux prises avec le diabète de type 1, ou de type sucré, dû à un gène et qui n’est pas héréditaire.

« Avec un simple vaccin, qui est sans effet secondaire, ça semble désormais possible de mieux contrôler la sécrétion d’insuline chez le diabétique », a noté le Dr Ludvigsson.

Le diabète de type sucré est une maladie auto-immune dans 90 % des cas qui se caractérise par une auto-destruction du système immunitaire, alors que les cellules chargées de produire de l’insuline sont attaquées par l’organisme.

L’insuline est une hormone qui permet l’utilisation du glucose, en coordination avec le glucagon, lui aussi sécrété par les îlots de Langerhans du pancréas.

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Le documentaire qui propage la controverse

Malgré sa sortie en salles prévue le 30 janvier prochain, le documentaire Silence, on vaccine, réalisé par Lina B. Moreco, relance déjà le débat entourant le lien entre la vaccination chez les jeunes enfants et l’autisme, nous apprend Radio-Canada.

Pour l’occasion, Mme Moreco a interrogé des parents, dont les enfants souffrent de ce trouble envahissant du développement, qui sont convaincus que ce sont les vaccins qui ont causé la maladie.

Ce point de vue n’est toutefois pas partagé par les autorités de la santé, qui continuent de faire de vastes campagnes de vaccination chez les bambins.

Le Dr Horacio Arruda, directeur de la Protection de la santé publique au ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, a réagi en voyant ce documentaire : « Ce qui est dit dans ce film-là, ce sont des hypothèses soulevées depuis plus de dix ans et depuis, il y a plus d’une vingtaine d’études épidémiologiques avec beaucoup de patients dans plusieurs pays qui ont complètement éliminé ces hypothèses.

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Étude clinique pour un traitement de l’Alzheimer

Le Dr N. P. Vasavan Nair et son équipe de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas à Montréal vont effectuer des essais cliniques pour un médicament innovateur qui pourrait traiter les patients atteints, de façon modérée, de la maladie d’Alzheimer.

« La plupart des thérapies actuelles concernant l’Alzheimer traitent les symptômes qui lui sont associés, mais non la maladie en tant que telle. Notre objectif consiste à déterminer si ce médicament de recherche peut aider à contrôler la progression de l’Alzheimer », a indiqué le chercheur.

2 050 patients participeront à cette étude visant à analyser si le médicament élimine la protéine bêta-amyloïde qui cause les dommages au cerveau.

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Essai concluant pour un traitement du cancer de la peau

Une équipe de scientifiques de l’Université Queensland, en Australie, a réussi à mener à terme les essais cliniques d’un vaccin contre le cancer de la peau administré à des souris.

La prochaine étape sera de faire les tests sur des humains dès l’an prochain. S’ils sont concluants, les chercheurs espèrent que leur traitement sera disponible d’ici 10 ans.

Malgré tout l’espoir que suscite ce vaccin, le Dr Ian Frazer affirme qu’il ne pourra pas traiter tous les types de cancers de la peau. La prévention contre les rayons UV demeure le meilleur moyen de se protéger contre ce type de cancer, qui est en constante progression depuis les 30 dernières années.

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Vaccin prometteur pour le cancer du sein

Une équipe d’oncologues de l’Université Wayne State sont en train de développer un vaccin contre le cancer du sein, qui consiste à introduire un gène qui détruit les cellules cancéreuses.

Ce gène attaque la tumeur causée par un excès de la protéine HER2, qui compte pour 20 à 30 % des cas de ce type de cancer.

Si les essais cliniques de ce traitement sont positifs, les chercheurs ont espoir qu’il puisse être utilisé pour traiter d’autres types de cancers, comme celui des ovaires et le cancer colorectal, où l’on observe une grande quantité de la protéine HER2.

Au Canada, le cancer du sein est celui qui est le plus souvent diagnostiqué chez les femmes. En 2008, on estime à 22 400 le nombre de Canadiennes qui recevront un diagnostic de cancer du sein et à 5 300 le nombre de celles qui en mourront.

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Étude contradictoire concernant les vaccins et l’autisme

Une équipe de scientifiques, de l’Université Columbia à New York et des Centres fédéraux américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), vient contredire la recherche du Dr Andrew Wakefield, du Royal Free Hospital en Grande-Bretagne, qui voulait que les vaccins contre la rougeole, la rubéole et les oreillons puissent augmenter le risque d’autisme chez les enfants.

Selon les auteurs, les résultats démontrent qu’il n’y a pas de lien entre l’autisme et les vaccins.

Cette découverte risque de débouter un groupe de parents d’enfants autistes qui souhaite faire entendre sa cause à une cour fédérale aux États-Unis.

Le refus de nombreux parents de faire vacciner leurs enfants contre les infections infantiles a causé une augmentation des cas de rougeole dans plusieurs pays occidentaux.

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Un vaccin contre le zona

Merck Frosst Canada a reçu le feu vert de Santé Canada afin de commercialiser au pays le Zostavax, le premier vaccin pour la prévention du zona chez les personnes de 60 ans et plus, reconnu pour réactiver le virus responsable de la varicelle.

Dès 2009, le traitement sera offert dans les pharmacies au pays.

Cette maladie s’accompagne souvent de démangeaisons cutanées et d’éruptions de vésicules qui causent chez 50 % des gens de plus de 60 ans une douleur invalidante, appelée névralgie postzostérienne.

D’autres symptômes, comme la fatigue, la perte de vision, les troubles du sommeil et la dépression peuvent aussi être observés chez les patients aux prises avec le zona.

Les essais cliniques du nouveau médicament démontrent que le Zostavax réduit l’incidence de zona de 60 % chez les personnes âgées de 60 à 69 ans et de 51 % dans tous les groupes d’âge, comparativement au placebo. Le vaccin est aussi efficace dans 73 % des cas afin d’atténuer la douleur.

Parmi les effets secondaires, on note une rougeur, une douleur, une enflure, des démangeaisons, une chaleur et une ecchymose au point d’injection.

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Le tabac n’est pas que nocif

Des chercheurs de l’école de médecine de l’Université Stanford en Californie travaillent en ce moment sur un vaccin expérimental à base de plant de nicotiana, afin de traiter la maladie de Hodgkin, une affection qui touche les ganglions, le tissu lymphatique et le système immunitaire.

Ce traitement consiste à injecter une protéine dans l’organisme humain afin de le protéger contre ses propres cellules cancéreuses.

« Ce serait un traitement contre le cancer, sans les effets secondaires indésirables » promet le Dr Ron Levy, le chercheur à la tête de ces expérimentations.

Des tests cliniques ont été effectués sur 16 personnes atteintes de la maladie et 70 % d’entre elles ont bien répondu au traitement et leur système immunitaire a réagi au vaccin.

S’il semble sans danger, le vaccin devra être au coeur d’autres tests cliniques afin d’évaluer son efficacité à long terme.