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Les troubles autistiques toujours en hausse

Une recherche publiée dans l’édition de janvier du journal Archives of General Psychiatry démontre que les cas d’autisme augmentent sans cesse depuis 2001, ce qui laisse entrevoir que l’abolition du thimérosal dans les vaccins serait sans effet. Cette substance a longtemps été associée aux troubles autistiques.

Selon certains scientifiques, l’exposition au thimérosal, à base de mercure, pouvait causer des troubles de socialisation, un des symptômes liés à l’autisme.

Pour les fins de cette étude, on a évalué la prévalence de l’autisme, égale à 0,3 cas pour 1 000 enfants âgés de 3 à 12 ans en 1993. Or, ce taux a augmenté à 1,3 cas pour 1 000 en 2003.

Cette découverte vient toutefois confirmer que cette maladie n’est pas causée par la vaccination chez les jeunes enfants. Selon le Dr Éric Fombonne, un spécialiste de l’autisme à l’Hôpital de Montréal pour enfants, ces résultats ne révèlent « aucune preuve d’empoisonnement au mercure dans l’autisme ».

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Un vaccin pour supporter Minou

Des scientifiques qui travaillent à l’Institut suisse de recherche sur les allergies et l’asthme sont sur le point d’effectuer des essais cliniques sur des humains aux prises avec l’allergie aux chats.

Depuis quatre ans, le vaccin miracle a été testé sur des souris qui ont réagi positivement à l’expérience.

Des molécules 100 fois plus efficaces que les extraits naturels utilisés actuellement dans la thérapie immunitaire ont servi à créer ce vaccin, dont il ne faut que trois traitements pour que l’allergie soit chose du passé.

En ce moment, il est possible de recevoir des injections afin de traiter les allergies aux félins, mais il en faut 20 à 30 injections pendant trois mois, puis à une injection mensuelle pendant trois à cinq ans pour en venir à bout.

Si le vaccin sur les humains est concluant, on peut envisager une commercialisation du remède en 2009 si les autorités gouvernementales acceptent sa mise en marché.

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Suspension d’une campagne de vaccination

Comme cinq cas de réactions allergiques dues au vaccin contre les oreillons ont été répertoriés, la province albertaine a choisi de suspendre pour une durée indéterminée sa campagne de vaccination auprès des jeunes adultes. Cette décision ne s’applique toutefois pas aux jeunes bambins de moins d’un an qui vont continuer de se faire vacciner contre cette maladie contagieuse.

Normalement, on compte un cas de réactions allergiques pour un million de vaccins administrés contre les oreillons.

Une enquête effectuée sur les doses de vaccins utilisées par le ministère de la Santé de l’Alberta sera effectuée par Santé Canada.

Depuis novembre dernier, les personnes âgées de 17 à 26 ans sont invitées à se faire vacciner contre les oreillons, compte tenu de la progression de la maladie infectieuse dans la province.

Selon le Dr Judy MacDonald, il semble que les adultes aient développé une immunité naturelle contre les oreillons, ce qui explique pourquoi cette tranche de la population n’est pas ciblée par la campagne de vaccination de l’Alberta.

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Le vaccin moins douloureux

Une équipe de chercheurs de l’Hôpital pour enfant de Toronto affirme que les enfants pleurent moins et cessent plus rapidement lorsque le vaccin est donné rapidement.

En ce moment, la méthode utilisée lors de la vaccination comprend l’étape de l’aspiration, c’est-à-dire que l’on remonte le piston de la seringue afin de s’assurer qu’un vaisseau sanguin n’a pas été touché. L’aspiration fait en sorte qu’il y a environ 10 secondes entre l’incération de l’aiguille dans la peau et l’administration comme telle du vaccin.

Selon le docteur Ipp, cette étape n’est pas nécessaire puisqu’il y a très peu de vaisseaux sanguins dans les zones où l’on administre les vaccins. Par conséquent, la méthode rapide permettrait de réduire cette opération de neuf secondes, ce qui fait moins souffrir les enfants.

Parmi les 113 bébés que les scientifiques ont observés, 82 % des enfants qui ont reçu un vaccin avec l’étape de l’aspiration ont pleuré. Lorsqu’on utilisait la méthode rapide, ce pourcentage passait à 43 %.

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Retard dans la vaccination contre la grippe

Statistique Canada dévoile que 25 % des Québécois ont été vaccinés contre la grippe, ce qui place la province en avant-dernière position, tout juste devant Terre-Neuve, qui obtient 22 %. La moyenne canadienne est de 34 %.

L’Ontario se classe en première place avec ses 42 % de la population qui est vaccinée grâce à un programme de vaccination universel.

Dominique Breton, porte-parole du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), reconnaît que le Québec est en dessous de la moyenne canadienne, mais affirme que les campagnes de vaccination ciblées semblent bien fonctionner auprès de certaines clientèles visées. « Au Québec, le taux de vaccination des 65 ans et plus est de 60 %, alors qu’il est de 71 % au Canada. »

Chaque année au Québec, entre 1 000 à 1 500 décès surviennent à la suite des complications de l’influenza. La grippe, c’est également 10 000 séjours à l’hôpital et la vaccination demeure encore le meilleur moyen de prévention contre la maladie.

Environ 2,1 millions de doses de vaccins contre l’influenza ont été achetées par le MSSS en 2007, soit 10 000 de plus que l’année précédente.

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Vaincre la cigarette par un vaccin

Des essais effectués sur le vaccin NicVAX, de Nabi Biopharmaceuticals, montrent des résultats encourageants.

Environ 15 % des sujets ayant reçu plusieurs doses ont réussi à abandonner leur mauvaise habitude après un an.

Les résultats présentés au congrès de l’American Heart Association démontrent que l’efficacité du vaccin est comparable à celle d’autres méthodes proposées pour cesser de fumer.

Le vaccin aurait comme effet d’enlever le plaisir de fumer à un fumeur, en bloquant l’accès de la nicotine au cerveau. Les experts croient qu’ainsi, il serait plus facile d’abandonner le tabagisme.

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Vaccination contre la grippe

La campagne de vaccination contre l’influenza débutera en cette première fin de semaine de novembre. 

Lancée par le ministère de la Santé et des Services sociaux, la campagne vise principalement la protection des individus à risques, soit les personnes de plus de 60 ans ou ayant entre six mois et deux ans, les malades chroniques ainsi que les femmes enceintes.

Les travailleurs en garderie et ceux du réseau de la santé sont aussi invités à se faire vacciner contre l’influenza.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux a prévu plus de deux millions de doses de vaccin prêtes à être administrées aux Québécois le désirant.

Selon la porte-parole du Ministère, Mme Dominique Breton, la grippe est une maladie qu’on doit prendre au sérieux, car elle cause plus de 1 000 décès chaque année au Québec. C’est donc le devoir de chacun de se protéger tout en protégeant son entourage, en recevant le vaccin, soit dans un CLSC ou en clinique privée.

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Se protéger de la grippe

L’asthme serait aggravé par la grippe chez les gens qui en sont atteints, c’est pourquoi la vaccination leur serait  conseillée.

Selon le docteur Paul Leophonte, pneumologue à Toulouse, l’asthme affecte à différents degrés plus de trois millions de Français. Le Conseil supérieur d’hygiène publique suggère le vaccin antigrippe afin que la situation des asthmatiques ne soit pas aggravée par la grippe.

Outre les asthmatiques, les personnes âgées ou fragilisées par la maladie sont ciblées par la suggestion faite par le Conseil, car la grippe pourrait entraîner de graves conséquences sur leur santé.

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Un vaccin sans aiguille

Les responsables américains de la santé ont approuvé récemment le vaporisateur nasal Flumist, un vaccin contre l’influenza destiné aux enfants de deux à six ans.

Selon le docteur Jesse Goodman, chef du FDA’s Center for Biologics Evaluation and Research, l’approbation de ce type de vaccin offrira l’option aux parents et aux médecins, de choisir un vaccin moins douloureux pour les petits parfois craintifs à la vue d’une aiguille.

Selon la FDA, les enfants de moins de deux ans ne devraient pas recevoir cette sorte de vaccin en raison du risque de difficulté respiratoire qu’il pourrait entraîner.

Chez les deux à six ans, les effets secondaires possibles du vaporisateur nasal Flumist sont un nez qui coule, une légère fièvre ou encore un nez congestionné.

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Recrudescence de la fièvre typhoïde en Grande-Bretagne

Selon la Health Protection Agency, de la Grande-Bretagne, il y a une augmentation de 69 % des cas de fièvre typhoïde depuis quelques années. Dans la majorité des cas signalés, la maladie a été contractée à l’étranger.

La fièvre typhoïde est causée par une bactérie qui contamine les gens par l’eau ou la nourriture, et n’est soignée que par antibiotiques.

Selon le docteur Jane Zuckerman, directrice du Center for Travel Medicine at the Royal Free Hospital de Londres, l’ignorance du public envers les risques qu’il court est très inquiétante.

En Grande-Bretagne, de plus en plus de cas de fièvre typhoïde contractée à l’étranger par des gens non vaccinés sont signalés. Plus des deux tiers des gens ne sont pas au courant de l’existence d’un vaccin contre cette maladie.