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Coqueluche : les adultes responsables de la transmission aux nourrissons

Selon Top Santé, les adultes comme les enfants peuvent attraper la coqueluche, bien qu’elle soit moins agressive chez l’adulte.

À l’heure actuelle, on rapporte que cette maladie, pour laquelle les bébés reçoivent plusieurs vaccins, est la première cause de décès chez les nourrissons de moins de 3 mois.

Avant 6 mois, l’organisme du bébé n’est pas encore suffisamment protégé contre la coqueluche, ce qui le rend vulnérable à la contagion de l’adulte. Ce dernier, d’ailleurs, ne se fait pas vacciner, ce qui accentue les cas de contraction de la maladie.

On recommande la vaccination chez les parents et autres proches qui côtoieront régulièrement l’enfant avant ses 6 mois. Ce dernier reçoit ses deux premières doses à 2 puis 4 mois. Ensuite, les rappels s’effectuent avant 1 an, puis en première année du primaire.

Le dernier vaccin contre la coqueluche a habituellement lieu en première année du secondaire.

Pour la femme qui allaite, il n’y a aucune contre-indication. Elle peut recevoir le vaccin.

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Le vaccin du pneumocoque pour enfant combat bien plus que ce virus

C’est une excellente nouvelle, rapporte Medical News Today, surtout que l’efficacité du PCV13, qui remplace le PCV7, a diminué les cas de pneumocoque de 62 % depuis son émission en 2010.

Cette infection peut se présenter sous de nombreuses formes, jusqu’à la pneumonie et la méningite.

Le vaccin PCV13 est recommandé pour tous les enfants de moins de 5 ans, et les 4 doses sont habituellement données à 2, 4 et 6 mois, puis la dernière entre 12 et 15 mois.

La merveille de cette barrière protectrice, c’est qu’elle se dresse également contre toute infection qui, désormais, résiste aux antibiotiques.

« Nous sommes à risque d’un monde post-antibiotique. Il est possible que cette médication miracle ne fonctionne plus, mais ce vaccin fait partie de la solution », explique l’une des scientifiques, Sara Tomczyk.

Le PCV13 a permis au projet gouvernemental américain Healthy People 2020 d’atteindre son objectif de réduction de pneumocoque infantile 9 ans avant l’échéance.

On devait réduire les cas à 6 par 100 000 enfants, et les résultats démontrent désormais qu’ils sont 3,5 sur 100 000 à contracter le pneumocoque.

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2,5 millions de bébés pourraient être sauvés chaque année

Le système immunitaire des nourrissons et jeunes enfants représente une préoccupation de premier niveau pour Anil Jain, un professeur de la Michigan State University.

Celui-ci développe à l’heure actuelle une méthode de reconnaissance par empreintes digitales pour suivre leur calendrier de vaccination. Il espère ainsi sauver des vies.

Pour le moment, ce sont les parents qui doivent s’assurer, à l’aide du carnet de santé format papier, de la mise à jour des vaccins. Dans les pays en voie de développement, Jain affirme que cette méthode est totalement inefficace.

« Les documents papier se perdent ou sont détruits facilement », affirme Anil Jain. « Notre étude initiale a démontré que les empreintes des nourrissons et jeunes enfants ont un grand potentiel. »

Les tests ont commencé. Le système de reconnaissance des empreintes devra être perfectionné, considérant que celles des bébés sont plus difficilement identifiables. Mais lorsque ce sera fait, les spécialistes de la santé n’auront qu’à numériser celles-ci pour connaître l’historique de vaccination et les prochaines dates à fixer.

De plus, Medical News Today rapporte que ces données serviront aux registres civils et au gouvernement, notamment pour le suivi de l’éducation.

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Accepteriez-vous un vaccin intra-utérin pour votre bébé?

Des scientifiques français ont découvert que le système immunitaire du bébé est fonctionnel même pendant la gestation.

C’est Top Santé qui rapporte cette percée en médecine, développée par des experts de l’INSERM, en collaboration avec l’institut Pasteur et l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris.

Dans la revue spécialisée Science Translational Medicine, on découvre que les lymphocytes T (type de globules blancs) sont en mesure de répondre à la vaccination. En effet, ceux-ci représentent une barrière physique contre les agents pathogènes.

L’objectif de la vaccination intra-utérine serait de renforcer prématurément la réponse immunitaire contre les maladies infantiles les plus fréquentes dans l’enfance et pour lesquelles les jeunes reçoivent des vaccins.

Entre autres, on parle de la tuberculose, la coqueluche, l’hépatite B et le vaccin DTP contre la diphtérie, le tétanos et la polio.

Les experts croient qu’ainsi, ils réduiraient le taux de mortalité infantile.

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Vaccin nasal plutôt que traditionnel pour les enfants

Le vaccin de la grippe est de plus en plus recommandé par les médecins. Or, si les adultes détestent cette injection, c’est pire encore pour les enfants. Désormais, il existe une alternative sous forme de vaporisateur nasal.

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis ont émis un rapport de l’ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices). Dr Mare Siegel, professeur en médecine, approuve via HealthDay cette nouvelle forme de protection.

« Les enfants n’aiment pas les injections, alors le vaporisateur représente une parfaite alternative. » Les chercheurs ont obtenu une excellente réponse immunitaire chez les enfants. Cependant, ce vaccin ne serait pas approprié pour ceux qui souffrent d’asthme ou d’une autre difficulté respiratoire.

On rapporte que malgré la « nouveauté » du vaporisateur auprès des utilisateurs, celui-ci a été approuvé en 2003 et est déjà utilisé en Europe. Il est produit par AstraZeneca et est plus dispendieux que les doses par injection.

À Miami, Dre Gloria Riefkohl, pédiatre, affirme qu’elle recommande le vaporisateur nasal chez les 0 à 21 ans qui sont en santé.

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VPH : Pas de troisième dose du vaccin pour les jeunes du Québec

Alors qu’une campagne de vaccination et de sensibilisation contre le VPH bat son plein dans nos écoles, on apprend que les élèves de troisième secondaire qui devaient recevoir une troisième dose du vaccin pourront finalement s’en passer.

Le Devoir rapporte en effet l’abandon de la troisième phase de vaccination par le ministère de la Santé du Québec, après que celui-ci soit maintenant convaincu que les deux premières phases de vaccination s’avèrent suffisantes pour promettre une protection maximale contre le VPH.

Le ministère fait également valoir des raisons financières et mentionne que la population préfère de loin deux phases de vaccination seulement.

Une étude sera toutefois lancée afin de vérifier l’efficacité réelle d’une troisième dose du vaccin, une analyse qui sera effectuée auprès de 4000 jeunes filles.

« Le but de l’étude est de s’assurer que les deux doses vont donner la protection attendue. On sait, grâce au niveau des anticorps, que la réponse immunitaire au vaccin est très bonne chez les plus jeunes de 9-10 ans, même meilleure que chez les filles de plus de 16 ans. Mais la question qui reste en suspens, c’est la durée de la protection. On va avoir la seule étude qui pourra apporter une réponse à cette question », résume la Dre Marie-Hélène Mayrand, qui dirigera l’étude en question.

Le VPH serait responsable de 70 % des cas de cancer de l’utérus chez les jeunes Québécoises. On recense 325 nouveaux cas annuellement, et 80 décès.

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Le fardeau du virus respiratoire syncytial chez les prématurés de 32 à 35 semaines

Les résultats de la recherche de la division Medimmune Speciality Care de AstraZeneca sont publiés dans la revue spécialisée Pediatric Infections Disease.

Comme le rapporte Medical News Today, les spécialistes espèrent surtout sensibiliser le corps médical. « Nous espérons que cette étude donnera lieu à une conversation à propos des meilleures méthodes pour identifier les nourrissons à haut risque de développer la maladie VRS.

L’étude a mis en lumière les occurrences 3 fois plus élevées de VRS chez les bébés prématurés entre 32 et 35 semaines que chez les nourrissons à terme. Cette maladie requiert une assistance médicale dans les 6 mois suivant la naissance et 16 % nécessite des soins intensifs, alors que 11 % ont besoin d’une respiration mécaniquement assistée.

Les cas de virus respiratoire syncytial chez ces enfants prématurés représentent 75 % de toutes les admissions à l’urgence concernant cette détresse pulmonaire.

Dr Eric Simões de l’Université du Colorado aimerait que ces informations encouragent les médecins à prendre les mesures préventives nécessaires, c’est-à-dire donner le vaccin aux prématurés.

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Le métapneumovirus bientôt maîtrisé

Radio-Canada rapporte les plus récents développements dans le dossier du métapneumovirus, qui aurait fait jusqu’ici au moins neuf victimes chez des personnes âgées résidant en centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), notamment du côté de Drummondville.

Il s’agit d’une bonne nouvelle malgré les circonstances, puisque les autorités confirment la mise en place d’un groupe de scientifiques et de chercheurs dédiés à mettre au point un vaccin contre le virus. Le groupe serait d’ailleurs déjà sur la bonne voie, et il serait permis d’espérer un vaccin d’ici les cinq prochaines années.

« Notre groupe a été le premier à rapporter la présence de ce virus en Amérique, en 2001. On travaille déjà depuis plusieurs années sur la mise au point d’un vaccin. Il n’en existe pas à l’heure actuelle. On a des résultats intéressants chez l’animal et là, on vient d’avoir un bon coup de pouce avec une subvention de 12 millions de dollars avec des collègues de McGill et de Sherbrooke », explique Guy Boivin, microbiologiste-infectiologue au CHUQ.

Le métapneumovirus est de type aviaire et provoque chez les patients qui le contractent de sévères complications respiratoires, qui peuvent s’avérer fatales pour les personnes plus âgées.

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Des chercheurs s’accrochent au virus de la variole

S’il est étonnant de prime abord d’apprendre que des chercheurs refusent de se défaire du virus de la variole et militent pour la survie des échantillons restants, la démarche est toutefois empreinte de logique.

C’est par l’entremise d’une lettre publiée dans le magazine Plos Pathogens qu’un comité international de chercheurs a exprimé ses craintes face à la volonté de plusieurs décideurs de détruire définitivement les derniers échantillons de variole, une maladie éradiquée depuis 1980.

Le raisonnement de ce regroupement de spécialistes est simple : pour éviter un retour de la maladie et assurer la possibilité d’un nouveau traitement, les échantillons restants doivent survivre. Les craintes des chercheurs se situent notamment en ce qui concerne une possible attaque biologique intentionnelle, ou encore à la suite du réchauffement climatique, qui pourrait « dégeler » certaines formes de ce virus virulent.

On attend donc maintenant le verdict concernant le sort de ces dangereux mais précieux échantillons, qui devrait tomber au cours des prochains mois, rapporte Top Santé.

 

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Un vaccin contre le VIH aurait franchi la phase d’essai clinique

On apprend via DailyGeekShow qu’un vaccin contre le VIH en serait finalement à l’étape des essais cliniques, après avoir franchi avec succès les étapes précédentes.

C’est la compagnie française Biosantech qui serait à l’origine du vaccin, les travaux s’étant amorcés il y a déjà trois ans. On apprend que l’approbation de la phase d’essai clinique du vaccin de Biosantech aurait eu lieu en septembre dernier, ce qui constituerait une première.

Présentement destiné aux personnes testées positives au VIH et déjà en traitement (trithérapie), on souhaite du côté des autorités françaises pouvoir administrer le vaccin un jour en traitement préventif.

S’attaquant à la protéine TAT, celle-là même qui nuit au système immunitaire en le privant de ses capacités de défense, le vaccin permettrait d’enrayer le besoin de trithérapie et les symptômes qui l’accompagne.

« On peut envisager plusieurs possibilités selon les résultats que nous allons obtenir. Soit le vaccin permettra de se passer temporairement voire définitivement de trithérapie, soit on peut s’en servir comme d’un antirétroviral en plus. Tout dépend de ce qui va se passer avec l’interruption de traitement », explique le Dr Mareuil, qui travaille sur le dossier chez Biosantech.

Bref, tous les espoirs sont maintenant permis, même si la prudence est de mise devant un fléau qui semble capable de s’adapter et de muter pour assurer sa survie.