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Allaitement et vaccination : recommandations

Le vaccin Amaril, administré en prévention de la fièvre jaune, était jusqu’ici donné aux femmes qui allaitent. Or, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de lever le drapeau rouge, comme nous l’apprenons sur Mes Vaccins.net.

C’est que trois cas d’encéphalite vaccinale ont été diagnostiqués chez des bébés allaités, lesquels étaient âgés de 10 jours, 3 et 5 semaines. Les mères de ces poupons avaient été vaccinées avec Amaril de 8 à 30 jours avant.
 
On a donc pu faire un lien entre l’allaitement et le développement de l’encéphalite. L’OMS recommande donc aux femmes qui allaitent d’éviter le vaccin Amaril si leur enfant est âgé de moins de six mois.

Toutefois, si une femme doit se rendre dans une région du globe où la vaccination contre la fièvre jaune est nécessaire, elle devra se faire vacciner pour éviter d’être atteinte par l’épidémie. Elle devra alors arrêter l’allaitement les 15 jours suivant sa vaccination, si son enfant est âgé de moins de 6 mois.

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Grippe et grossesse : de nouvelles données

La grippe est l’une des causes majeures de l’hospitalisation des enfants et une maladie fréquente chez les femmes enceintes.

Il n’existe encore aucun vaccin destiné aux poupons de six mois et moins. D’autres avenues doivent donc être empruntées.

Une récente étude de l’École de médecine de Yale confirme une fois de plus l’efficacité de la vaccination durant la grossesse. Il semble en effet qu’elle éviterait l’hospitalisation des bébés de 6 mois et moins à 90 %.

Parue dans le Clinical Infectious Diseases, l’étude s’est échelonnée sur trois ans. Les chercheurs ont comparé les causes d’hospitalisation de très jeunes enfants à l’hôpital Yale-New Haven au Connecticut.

Ils ont pu confirmer que ceux qui n’avaient pas contracté l’influenza étaient nés d’une mère ayant reçu ledit vaccin dans une plus grande proportion.

La prévention de la grippe chez les poupons devra donc se faire en grande partie par la vaccination de la future mère et des proches du nouveau-né.

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La vaccination a un effet positif sur les bébés à naître

On peut lire aujourd’hui dans le Daily Mail qu’un bébé dont la mère a été vaccinée contre la grippe durant sa grossesse en serait ainsi immunisé.

Une étude américaine a démontré que les poupons seraient protégés de la grippe durant leurs six premiers mois de vie. De plus, cette vaccination prénatale réduirait aussi les hospitalisations liées au virus d’environ 40 %.

La directrice du projet, Angelia Eick du Armed Forces Health Surveillance Centre au Maryland, a observé avec son équipe 1 169 femmes. Elles ont toutes rempli un questionnaire et 160 d’entre elles ainsi que leur poupon ont subi des analyses sanguines.

Il en est ressorti que les bébés dont la mère avait été vaccinée avaient 41 % moins de chances d’être infectés. Le risque d’hospitalisation, quant à lui, chuterait de 39 %.

D’autre part, nous savons déjà que les femmes enceintes ont plus de risques de connaître des complications si elles sont infectées par le virus saisonnier.

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Vaccin contre le rotavirus pour tous les poupons

La Société canadienne de pédiatrie (SCP) affirme qu’une vaccination générale doit être faite chez les poupons contre le rotavirus. Ce virus est particulièrement dangereux pour les enfants de moins de deux ans.

Lorsqu’ils sont atteints, les bébés et les jeunes enfants ont de très fortes diarrhées qui peuvent durer de trois à huit jours. Le virus se propage rapidement, puisqu’il se transmet par les jouets et entre les personnes.

Le rotavirus ne peut être traité par des antibiotiques. Ainsi, près de 14 % des enfants doivent être amenés chez le médecin, voire à l’hôpital.

Le Dr Robert Bortolussi, du comité des maladies infectieuses de la SCP, constate que de 500 à 600 enfants sont hospitalisés chaque année au Canada à cause du rotavirus.

Deux vaccins sont en ce moment proposés au pays et ils peuvent être administrés lors des vaccinations déjà établies.

Près d’un million d’enfants décèdent chaque année des suites du rotavirus, surtout dans les pays en voie de développement.

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Recul de la vaccination au Québec

L’Institut de la santé publique du Québec (INSPQ) affirme que les bébés québécois sont de moins en moins vaccinés.
 
En effet, la vaccination connaîtrait un recul dans la province. Le quart des bébés sont en retard sur leur calendrier ou ne reçoivent pas les doses recommandées.
 
Selon une étude effectuée auprès de nombreux parents d’enfants de moins de deux ans, les dates ou les doses des vaccins ne sont pas respectées. Pourtant, ce moyen préventif permet d’éviter de nombreuses maladies comme la méningite, la rougeole, la rubéole, les oreillons ou encore la polio.
 
« La protection de ces enfants n’est pas optimale pendant plusieurs mois, qui peuvent s’avérer critiques. Certaines maladies comme les infections à pneumocoque et à méningocoque circulent toujours et touchent particulièrement les enfants en bas âge », disent les spécialistes.
 
Il semblerait que 75 % des enfants de 15 à 17 mois sont à jour dans leur carnet de vaccination. Ce taux passe à 77,6 % chez les 24 à 26 mois. Un recul de 2,2 % depuis 2006.
 
« Le point majeur à améliorer ne consiste pas à persuader les parents du bien-fondé de la vaccination, mais plutôt à les sensibiliser pour que cette vaccination se fasse dans les délais prescrits », ajoutent les chercheurs.
 
En fait, l’efficacité des vaccins est considérablement augmentée s’ils sont donnés rapidement.
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La vaccination pour la grippe A (H1N1) débute

Jamais on n’aura autant incité la population à recevoir un vaccin que celui de la grippe A (H1N1), dont la campagne débute aujourd’hui (26 octobre).

Bien que les priorités diffèrent d’une province à l’autre, le Québec a choisi de commencer avec les travailleurs de la santé et ceux des services d’urgences comme les policiers, pompiers, ambulanciers et chauffeurs d’autobus.

De plus, les personnes malades hospitalisées ou hébergées en établissement pourront aussi recevoir le vaccin cette semaine au Québec. Ensuite, les personnes à risques et la population en général suivront.

Les femmes enceintes devraient toutefois attendre le vaccin sans adjuvant qui n’est pas encore homologué par Santé Canada.

On s’attend à des pénuries. Au Québec seulement 400 000 doses du vaccin sont disponibles cette semaine. Le gouvernement prévoit envoyer 3 millions de doses par semaine aux provinces.

On tente encore de convaincre les gens de se faire vacciner, car l’objectif est d’avoir 75 à 80 % de la population protégée contre le virus. On rappelle donc que la pandémie pourrait toucher jusqu’à 35 % de la population et faire jusqu’à 8 000 morts si cela devenait critique.

Pour toutes informations, consultez le site Internet de Pandémie Québec.

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Inciter les pays en développement à la vaccination

Une vaste étude vient de se terminer dans une douzaine de pays pour savoir pourquoi plusieurs enfants dans les pays en développement ne sont toujours pas vaccinés.

Le taux de vaccination est même plus faible que ce à quoi on s’attendait. Des millions d’enfants sont privés de vaccins chaque année et cela entraîne des milliers de décès qui auraient pu être évités.

Des articles publiés dans l’International Health and Human Right mentionnent que les chercheurs ont constaté qu’au Pakistan par exemple, le fait de discuter avec les gens des avantages et des coûts de la vaccination de leurs enfants augmentait le taux d’immunisation.

On constate que des interventions ciblées et peu coûteuses peuvent améliorer significativement le taux de vaccination des enfants dans les pays visés. Il s’agit de bien informer les gens.

L’étude avait commencé en septembre 2003 dans douze pays avec six équipes de chercheurs.

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Vaccination massive au Canada contre la grippe A (H1N1)

La ministre de la Santé, Leona Aglukkaq, a confirmé que le gouvernement canadien prendra des mesures exceptionnelles dans les prochains mois afin de faire face au fléau de la grippe A (H1N1).

« Un vaccin sera prêt à temps pour que les provinces et les territoires entreprennent leur campagne de vaccination à la fin de l’automne », a déclaré la ministre.

Les femmes enceintes, plus susceptibles de souffrir de complications graves ou de mourir, ainsi que les travailleurs de la santé seront du premier groupe vacciné.

Au Canada, le nombre de cas de grippe A (H1N1) est stable avec quelque 10 000 cas recensés jusqu’à maintenant. 58 personnes sont mortes de cette grippe, dont 20 au Québec.

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Le vaccin contre la grippe A (H1N1) pour tous?

Margaret Chan, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), déplore que les pays riches aient priorité au vaccin contre l’influenza A (H1N1) au détriment des pays défavorisés.

Les doses du vaccin, lequel ne sera offert qu’à l’automne prochain, seront achetées par les plus offrants, mais Mme Chan croit que cette inégalité est déplorable, d’autant plus que « tous les pays vont avoir besoin du vaccin ».

Dès la semaine prochaine, plusieurs scientifiques se donnent rendez-vous à Toronto afin d’établir un programme visant une meilleure équité dans la distribution du fameux traitement.

Au Canada, une certaine hiérarchie existe déjà et précise que le personnel en milieu hospitalier, souvent en contact avec le virus, a priorité pour être vacciné contre la grippe A. Viennent ensuite les groupes plus à risque comme les femmes enceintes et les personnes atteintes de maladie chronique.

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Oui au vaccin contre la coqueluche

Selon une étude, dont les résultats complets sont publiés dans la revue Pediatrics, le meilleur moyen de prévenir les cas de coqueluche demeure toujours le vaccin, bien que sa protection ait diminué depuis les années 1990.

L’incidence de contracter la maladie infectieuse est multiplié par 23 lorsque les enfants n’ont pas été vaccinés, selon des chercheurs associés au Kaiser Permanente Colorado’s Institute for Health Research.

Ces derniers ont travaillé avec 751 enfants pour en arriver à ces conclusions. Lors des travaux, 156 d’entre eux ont contracté la maladie infectieuse, dont 12 % n’avaient pas été vaccinés contre la coqueluche.

Soulignons que chaque année, il y a entre 50 et 70 millions de diagnostics de coqueluche à l’échelle internationale, selon l’Organisation mondiale de la santé.