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Jim Carrey vivement opposé aux vaccins

L’acteur canadien Jim Carrey s’est encore une fois opposé publiquement à la vaccination obligatoire à la suite de l’adoption cette semaine, par l’état de la Californie, d’une loi menant à une vaccination plus étendue chez les enfants.

Sur son compte Twitter, Carrey a affirmé que les vaccins imposés par la Californie sont composés de neurotoxines et de mercure, hautement dangereux pour la santé humaine.

Il faut rappeler que l’acteur et son ex-conjointe Jenny McCarthy sont farouchement opposés à la vaccination depuis des années. Le fils de McCarthy est atteint d’autisme et l’ancienne playmate croit, comme une partie de la population, qu’il existe un lien entre la vaccination et l’autisme.

Carrey, même s’il a qualifié le projet de loi de «fasciste» et «à la solde des entreprises», affirme pour sa part ne pas être anti-vaccin. Il dit plutôt vouloir empêcher que les vaccins obligatoires soient faits à base de mercure et de neurotoxines.

Peu de personnalités ont réagi aux commentaires de Carrey cette semaine, alors que les commentaires des internautes sont très nombreux sur les réseaux sociaux.

On qualifie l’acteur d’«irresponsable» la plupart du temps.

Photo : Facebook

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Pour éviter la coqueluche, faites vite vacciner vos enfants!

Selon la publication du HealthDay News, le vaccin communément appelé DCT (diphtérie, coqueluche, tétanos) ainsi que tout rappel de celui-ci doit absolument être administré aux enfants. La raison est fort simple, il y a une recrudescence de la coqueluche depuis quelques années.

« Les enfants qui ne sont pas immunisés à l’intérieur des délais prescrits sont beaucoup plus à risque de contracter la coqueluche », affirme le chercheur principal de l’Institute for Health Research de Denver, Jason Glanz.

Selon les établissements de santé reconnus, le DCT est recommandé à 2, 4 et 6 mois. Ensuite, il faut un autre rappel entre 15 et 18 mois, puis finalement entre 4 et 6 ans.

Les données ont été récoltées entre 2004 et 2008. Dans 47 % des cas de coqueluche, il s’agissait d’enfants dont la vaccination adéquate n’était pas à jour.

Bien que les enfants plus vieux ainsi que les adultes soient à risque, ce sont les bébés et les jeunes enfants qui sont les plus vulnérables. D’autant plus que les vaccins semblent être moins efficaces depuis quelques années, alors selon Glanz, il est important de les immuniser.

En 2012, aux États-Unis seulement, 41 000 cas de coqueluche ont été répertoriés, le plus haut taux depuis 1959. De ceux-ci, 18 décès ont été déclarés, principalement des nourrissons.

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Étude sur l’aluminium dans les vaccins

On apprend sur Le Figaro que le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) en France révèle dans un récent rapport que l’adjuvant de certains vaccins, qui contient de l’aluminium, ne serait aucunement lié aux divers troubles dont la population s’est plainte, dont des problèmes musculaires et cognitifs.

Les injections visées sont celles du vaccin diphtérie-tétanos-polio, celui contre les hépatites A et B et le papillomavirus. Malgré que l’adjuvant soit utilisé depuis plus de 80 ans, le HCSP a tout de même mis sur pied une équipe consultative qui s’est penchée sur la question.

En conclusion, elle a recommandé la poursuite des vaccinations comme prévu au calendrier et rappelle les dangers potentiels pour la santé globale qu’une baisse de la couverture vaccinale pourrait avoir.

Dans ce rapport, on peut lire : « Le HCSP estime que les données scientifiques disponibles à ce jour ne permettent pas de remettre en cause la sécurité des vaccins contenant de l’aluminium, au regard de leur balance bénéfices/risques ».

Bien que considérées comme infondées, les inquiétudes des patients n’arrivent pas de nulle part. Plusieurs études passées ont déjà suggéré la toxicité de l’adjuvant aluminique.

Entre autres, il avait été prouvé que les cellules immunitaires véhiculant l’aluminium pouvaient migrer dans le cerveau de souris et y rester. Or, l’aluminium est toxique pour les cellules cérébrales.

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Le vaccin contre la varicelle offre une protection à long terme

Le vaccin contre la varicelle est apparu pour la 1re fois en 1995 aux États-Unis. Ce vaccin a presque éradiqué la maladie; auparavant, plus de 90 % des enfants et jeunes l’attrapaient avant l’âge de 20 ans.

Dans le cadre de l’étude, des chercheurs ont effectué un suivi pendant 14 ans auprès de 7585 enfants qui avaient reçu le vaccin durant leur 2e année de vie.

Pendant toute la durée de cette période, les enfants vaccinés étaient de 9 à 10 fois moins à risque d’attraper la varicelle ou encore le zona, une autre infection provenant du même virus.

14 ans après la vaccination, seulement 1505 cas ont été rapportés, mais la majorité de ceux-ci étaient légers, comparativement à une infection sévère pour la plupart des enfants avant la vaccination.

Les chercheurs rapportent qu’en 2006, une deuxième dose du vaccin a été offerte, ce qui a mené à une réduction encore plus grande du nombre de cas par la suite. Cette 2e dose, habituellement administrée entre l’âge de 4 et de 6 ans, rendrait ainsi l’immunisation encore plus efficace, selon MedicalNewsToday.

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Le risque d’autisme n’est pas lié aux vaccins

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 256 enfants avec un trouble dans le spectre de l’autisme (TSA), et 752 enfants qui n’avaient pas reçu ce diagnostic.

En particulier, les vaccins reçus par chaque enfant ont été examinés, ainsi que leur exposition à des antigènes (la substance contenue dans les vaccins qui permet au corps de développer une réponse immunitaire) sur le plan cumulatif et dans une même journée.

Cette exposition était la même entre les deux groupes d’enfants. L’exposition à des antigènes était similaire, même lorsque des sous-catégories de TSA ont été considérées.

Les chercheurs affirment que même si le nombre de vaccins que reçoivent les enfants de 2 ans et moins est plus grand qu’à la fin des années 90, le niveau d’antigènes d’aujourd’hui est infime comparé à celui de l’époque.

Les causes de l’autisme sont donc autres, disent les chercheurs, expliquant que « la possibilité que la stimulation immunologique due aux vaccins durant les deux premières années de vie soit reliée au développement d’un TSA n’est pas vraiment supportée par ce que l’on sait sur la neurobiologie de ce trouble », selon ce que rapporte ScienceDaily.

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Le norovirus est la cause la plus importante de gastroentérite chez les enfants

Des chercheurs américains ont analysé les données provenant de 1295 enfants de 5 ans et moins, qui avaient reçu un traitement pour une gastroentérite sévère en 2009 et 2010. La cause de leur infection dans 21 % des cas était le norovirus, comparativement à 12 % des cas pour le rotavirus.

Le taux de rotavirus a beaucoup diminué durant la période étudiée, passant de 19 % au début de 2009 à 2 % à la fin de 2010. Cette baisse est attribuable à un nouveau vaccin contre ce virus, que reçoivent de plus en plus d’enfants.

Pour leur analyse publiée dans le New England Journal of Medicine, les chercheurs ont estimé que ces infections au norovirus ont été responsables de 14 000 hospitalisations d’enfants et de 281 000 visites à l’urgence, générant des coûts de 273 millions $ chaque année aux États-Unis.

« Étant donné le déclin substantiel des gastroentérites liées au rotavirus, et étant donné les avancées scientifiques récentes pour la recherche sur un vaccin potentiel pour le norovirus, il est primordial de mesurer le fardeau relié à la gastroentérite causée par le norovirus sur le système de santé », ont remarqué les auteurs, cités par Med Page Today.

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Le vaccin contre la varicelle sauve des vies

L’Australie a introduit la vaccination de masse des enfants contre la varicelle en 2006. Avant cette date, le pays faisait face à 240 000 cas de la maladie chaque année, ainsi qu’à 1500 hospitalisations et jusqu’à 16 décès.

Depuis que les enfants sont vaccinés, le nombre d’hospitalisations dues à la maladie a diminué de 68 %, et aucun décès n’a été rapporté. De plus, les chercheurs ont remarqué que 80 % des enfants qui doivent toujours être hospitalisés pour la varicelle n’avaient pas reçu le vaccin.

« Ces résultats supportent fortement l’impact du vaccin contre la varicelle, et l’importance de vacciner tous les enfants. Un niveau d’immunisation encore plus grande contre la maladie aurait prévenu la plupart des cas sévères, dont certains nécessitent un séjour hospitalier en soins intensifs. Nous pouvons maintenant affirmer que ceci peut être prévenu », a écrit l’auteure de l’étude, la professeure Helen Marshall, selon ce que rapporte EurekAlert!.

Elle a même ajouté que « non seulement une seule dose de vaccin sauve des vies, mais elle a également le potentiel de mener à des économies se chiffrant dans les millions pour le système de santé ».

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Pediatric Infectious Disease Journal.

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Les enfants qui avaient reçu le vaccin contre la grippe H1N1 sont plus susceptibles de faire de la narcolepsie

La pandémie de grippe H1N1 a donné lieu au développement d’un vaccin particulier, qui a été administré en masse aux populations occidentales. En Grande-Bretagne particulièrement, 37 % des enfants âgés de 2 à 15 ans avaient reçu ce vaccin en mars 2010.

Dès août 2010 toutefois, les autorités en santé publique de Finlande et de Suède ont rapporté que chez les enfants, le vaccin semblait augmenter le risque de faire de la narcolepsie, un trouble de sommeil neurologique où le corps n’est pas capable de réguler correctement les cycles de sommeil et de veille, menant souvent à l’endormissement à des endroits ou des moments inopportuns.

Une étude finlandaise publiée en 2012 a confirmé que ces enfants avaient un risque 13 fois plus élevé de développer le trouble que ceux qui n’avaient pas reçu le vaccin.

Dans le cadre de l’étude présente, des chercheurs britanniques ont analysé les données provenant de 245 enfants présentant des troubles de sommeil apparus à partir de 2008, incluant 75 petits souffrant de narcolepsie.

Même après avoir ajusté les données pour tenir compte de différents facteurs, ils ont fait le même constat que celui avancé par les études scandinaves. Avoir reçu le vaccin était associé à un risque 14 fois plus élevé de développer de la narcolepsie, selon ce que rapporte Science Daily.

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Les femmes enceintes devraient recevoir de nouveaux vaccins

Le CDC vient de publier ses nouvelles recommandations officielles dans le journal médical Morbidity and Mortality Weekly Report.

Les experts de l’organisme suggèrent ainsi fortement que les femmes enceintes reçoivent un vaccin contre le tétanos, la diphtérie, et la coqueluche.

Ces recommandations visent à mieux protéger les bébés contre la coqueluche, qui connaît une recrudescence sans précédent depuis les dernières années. Ainsi, plus de 41 000 cas de coqueluche ont été répertoriés aux États-Unis en 2012, un nombre record.

L’infection a malheureusement causé la mort de 14 bébés de moins d’un an; ceux-ci sont particulièrement vulnérables à la maladie.

Le vaccin peut être administré à n’importe quel moment de la grossesse, mais de préférence entre la 27e et la 36e semaine de gestation. Les experts ont basé leur décision sur le fait que des études montrent que les anticorps contre la coqueluche se transmettent de la mère au bébé à travers le placenta.

Ce vaccin devrait être répété à chaque grossesse, et ce, même si les mères ont déjà été immunisées auparavant, tel que rapporté par Med Page Today.

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De plus de plus d’enfants ne reçoivent pas leurs vaccins

Des chercheurs ont analysé les données de 137 855 enfants qui n’avaient pas reçu tous leurs vaccins à temps, puis les ont jumelés avec des enfants dont la vaccination s’était faite selon l’horaire prévu. Environ 13 % de ceux-ci avaient manqué certains vaccins à cause d’un choix délibéré de leurs parents.

Les enfants qui n’avaient pas reçu tous leurs vaccins avaient un taux d’hospitalisation et de visites à l’urgence beaucoup plus élevé que les autres, et l’utilisation des soins de santé était directement proportionnelle au nombre de vaccins non reçus.

Cette statistique ne s’appliquait toutefois pas au sous-groupe des enfants dont les parents refusaient délibérément les vaccins, qui avaient un taux d’utilisation des soins de santé plus bas.

« Cette large étude suggère qu’il y a vraiment une tendance grandissante des enfants qui n’ont pas reçu tous leurs vaccins ou ne les ont pas reçus à temps. Nos analyses montrent aussi que cette population d’enfants fait une utilisation différente des soins de santé, dont la magnitude augmente à mesure que le taux de vaccination baisse ».

Les résultats ont été publiés dans la revue médicale JAMA.