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Les pédiatres américains prennent position pour conserver le thimérosal dans les vaccins

La revue médicale Pediatrics a publié un bref communiqué de l’American Academy of Pediatrics (AAP), où les représentants de celle-ci affirment souhaiter conserver le thimérosal dans les vaccins destinés aux enfants. L’association de pédiatres soutient donc une proposition déjà émise par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le thimérosal est utilisé pour éviter le développement de bactéries et de champignons dans les vaccins. Toutefois, depuis les années 90, plusieurs parents ont soulevé des questions reliées à l’administration de mercure chez de jeunes enfants, à cause du potentiel de neurotoxicité et d’une association possible avec l’autisme.

La Federal Drug and Administration (FDA) a même déjà émis une analyse affirmant que l’effet cumulatif du mercure associé aux vaccins que les enfants reçoivent pourrait surpasser le niveau jugé sécuritaire. Aux États-Unis ainsi que dans la plupart des pays développés, le thimérosal a été retiré de la plupart des vaccins au début des années 2000.

Depuis ce temps toutefois, plusieurs études n’ont pas réussi à prouver qu’il existe bel et bien un risque, ce qui explique cette volte-face de l’AAP, qui semble uniquement basé sur des facteurs économiques.

« Le thimérosal rend possible l’utilisation de flacons multidoses, ce qui réduit le coût des vaccins ainsi que la demande sur une chaine de production déjà très sollicitée », ont écrit deux experts dans le communiqué, selon MedPageToday.

L’OMS avait quant à elle affirmé qu’il n’existait pas vraiment d’alternative au thimérosal, et que retirer celui-ci pourrait sérieusement compromettre les programmes d’immunisation.

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Un gout sucré soulage les bébés avant de recevoir des vaccins

Des chercheurs de la Jordanie ont analysé les données provenant de 14 études, pour un total de 1551 enfants âgés d’un mois à un an. La plupart de ces études comparaient l’effet d’une solution sucrée, donnée à l’enfant deux minutes avant le vaccin, et celui de l’eau.

Selon le calendrier d’immunisation classique, les bébés reçoivent jusqu’à 15 injections avant l’âge de 18 mois. La science a prouvé que les bébés ressentent la douleur, et les professionnels de la santé essaient souvent de soulager cette douleur à l’aide de médicaments, de crèmes, de la suce ou de techniques de distraction.

Une solution de plus en plus recommandée est de donner simplement un peu de solution sucrée au bébé à l’aide d’une seringue habituellement utilisée pour les médicaments liquides, juste avant d’administrer le vaccin.

Les chercheurs croient que le goût sucré pourrait aider en libérant des analgésiques naturels dans le corps humain.

« Même si on ne peut affirmer hors de tout doute que les solutions sucrées réduisent la douleur reliée à l’injection, les résultats sont pour le moins prometteurs », a noté l’auteur de l’analyse, Manal Kassab, cité par MedicalNewsToday.

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Le laser pourrait remplacer les aiguilles pour les vaccins

Selon la revue Optics Letters, des chercheurs sud-coréens ont créé un dispositif au laser capable de faire des injections de médicaments, ce qui permettrait éventuellement de ne plus avoir recours aux aiguilles, sauf pour les prises de sang ou l’acupuncture.
 
Le système est indolore et donne seulement l’impression d’avoir reçu un petit jet d’air.
 
Ce jet, à peine plus gros qu’un cheveu humain, peut prendre une vitesse de 30 mètres à la seconde.
 
Dans les traitements esthétiques pour la peau, on se sert déjà d’une technique similaire.
 
Bien que des essais sur les humains doivent maintenant être effectués, les premiers résultats ont permis d’injecter des substances à plusieurs millimètres sous la peau, et ce, sans causer de dommage à celle-ci.
 
Une nouvelle technique fort intéressante pour ceux qui ont la phobie des aiguilles.

 

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Les vaccins que bébé devrait avoir

D’abord, le premier vaccin que bébé devrait avoir est celui le protégeant contre l’hépatite B, dont la première dose lui est donnée avant que maman quitte l’hôpital après l’accouchement. Peu d’effets secondaires seront observés. Le bébé pourrait être irritable et avoir brièvement mal au bras.

Le second vaccin est celui contre le rotavirus, la cause la plus commune de la diarrhée et des vomissements. On le lui administre entre l’âge de deux et quatre mois, mais il pourrait avoir besoin d’une dose supplémentaire.

Ensuite, le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche est recommandé. L’enfant peut avoir des rougeurs, de la fièvre et perdre l’appétit durant les deux jours suivants le vaccin.

Puis, on recommande des injections telles que le vaccin Hib (contre l’Haemophilus Influenzae de Type B), le vaccin antipneumocoque conjugué, le vaccin antipoliomyélitique inactivé, le vaccin antigrippal inactivé, le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, le vaccin contre l’hépatite A et celui contre la varicelle.

Rappelons toutefois qu’à l’heure actuelle, le vaccin contre la varicelle et le zona demeure déconseillé pour les bébés de moins de 12 mois. La seule protection possible des enfants de cet âge reste donc d’éviter l’exposition au virus.

Dès que l’enfant atteint cet âge, il est recommandé de le faire vacciner. On a remarqué une baisse de la prévalence de la varicelle de 90 %, chez les enfants qui en ont bénéficié.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Des solutions prometteuses pour la crise de mortalité infantile au Nigeria

Ces nouvelles solutions pour le programme d’immunisation du Nigeria offriraient le meilleur espoir de faciliter l’accès à la vaccination dans les régions les plus éloignées du Nigeria et mettraient ainsi un frein à la vague de mortalité infantile qui sévit au pays.

Entre autres, les experts suggèrent l’établissement d’un fonds gouvernemental pour le programme d’immunisation, des contrats de transports et d’entretient des véhicules qui assurent la livraison des vaccins des réfrigérateurs de l’État jusqu’aux cliniques communautaires, des moyens de transport réfrigérés afin de garder les vaccins à une bonne température ou encore un transfert de fonds conditionnel pour encourager les parents à faire vacciner leurs enfants.

« Le gouvernement du Nigeria a fait des progrès majeurs dans le secteur de l’immunisation de routine durant les trois dernières années, mais les plus belles promesses d’immunisation et de ses bénéfices économiques ne seront pas totalement réalisables jusqu’à ce que les vaccins se rendent à tous les enfants nigériens », dit le directeur général de l’IVAC, Orin Levine.

Rappelons que de récentes projections du Decade of Vaccines Economics ont montré qu’en distribuant des vaccins contre cinq des principales maladies affectant les enfants, le Nigeria pourrait sauver plus de 600 000 vies, en plus d’ajouter à son économie 17 milliards de dollars.

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Des vaccins qui ne provoquent pas de convulsions chez les enfants

La revue Pediatrics publie une nouvelle étude mentionnant que si la dose du vaccin contre la rougeole ou la varicelle est administrée à un enfant âgé de 4 à 6 ans, il n’y a aucun risque accru qu’il fasse des convulsions fébriles durant les six semaines suivant la vaccination.

S’il y a convulsions fébriles — ce qui est plutôt rare pour un enfant de cet âge, mais qui peut se produire fréquemment chez un bébé de 18 mois qui a reçu les vaccins –, elles seront liées à de la fièvre et seront brèves. Elles ne pourront pas conduire à la mort ni à des lésions cérébrales ou à des troubles épileptiques.

En d’autres termes, le vaccin contre la rougeole ou la varicelle est sécuritaire pour les enfants de 4 à 6 ans, affirment les spécialistes.

Pour en arriver à cette conclusion, le Kaiser Permanente Vaccine Study Center a examiné les données de près de 87 000 enfants âgés de 4 à 6 ans ayant reçu le ou les vaccins, dans la même journée ou séparément.

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Réactions allergiques : les vaccins sont rarement la cause

En 13 mois d’observation, seuls 15 cas ont été rapportés par les pédiatres irlandais et britanniques. Sept d’entre eux répondaient aux critères d’anaphylaxie, selon les chercheurs de l’University Hospital NHS Foundation Trust de Southampton, au Royaume-Uni.

Sur ces sept cas, aucun n’était lié au calendrier de vaccination systématique des nourrissons et des jeunes enfants, malgré l’administration de 5,5 millions de doses de vaccins de routine.

Pour le domaine de la santé, ce sont des données très rassurantes, confirment les spécialistes.

L’anaphylaxie, une réaction allergique rapide pouvant causer la mort, peut se traduire par des éruptions cutanées, muqueuses, maladies cardiovasculaires, troubles respiratoires et gastriques.

Un traitement qui comprend l’insémination d’adrénaline par voie intramusculaire donne un rétablissement complet à ces réactions, sans aucune conséquence à long terme.

Même si quelques cas sont observés, les spécialistes suggèrent de ne pas prolonger le temps d’observation après la vaccination pour tous les enfants (20 minutes). Cependant, pour les enfants à risque élevé de réaction, par exemple ceux ayant des antécédents d’anaphylaxie idiopathique, 60 minutes en clinique pour observation pourraient être appropriées.

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Bientôt des vaccins en pharmacie?

Les pharmaciens du Québec aimeraient pour offrir les vaccins à leurs clients dans leur commerce.
 
Ainsi, l’Ordre des pharmaciens du Québec demande à ce que la loi soit modifiée, car bien que les membres de l’Ordre aient les compétences requises pour administrer les vaccins, ils n’ont pas le droit de le faire.
 
C’est un service que les clients demandent et une étude réalisée par l’Institut national de la santé publique du Québec mentionne que de plus en plus de pharmaciens administrent les vaccins dans leur commerce pour répondre à la demande. On souhaite que ce service soit réellement accessible d’ici cinq ans.
 
En ce moment, seules quelques pharmacies offrent les services d’une infirmière sur place pour se faire vacciner, mais cela est encore trop peu répandu et peu de gens savent que cela existe.
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Aucun lien entre les vaccins et l’autisme

Une nouvelle étude gouvernementale confirme qu’il n’y a pas de lien entre le thimérosal, un conservateur à base de mercure trouvé dans de nombreux vaccins, et le risque accru d’autisme chez l’enfant.
 
Selon la revue Pediatrics, les enfants exposés au thimérosal ne sont pas plus susceptibles que les autres de devenir autistes.
 
Voilà qui devrait rassurer les parents. L’inquiétude avait été soulevée il y a une dizaine d’années et depuis, un vif débat a été alimenté au cœur du milieu scientifique.
 
Les parents avaient alors abandonné la vaccination de leurs enfants, notamment pour les maladies comme la rougeole, les oreillons et la rubéole.
 
La grande majorité des scientifiques considèrent que l’autisme est un trouble du développement qui est génétique et non provoqué par un vaccin ou tout autre composant.
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Les vaccins à la seringue seront bientôt remplacés

Des chercheurs américains viennent de mettre au point un premier timbre vaccinal. Il s’agit d’un vaccin qui est libéré par un timbre que l’on applique sur la peau. Au contact de celle-ci, le médicament est libéré par des dizaines de microaiguilles, rapporte le Nature Science.
 
C’est le professeur Mark Prausnitz et ses collègues du Georgia Institute of Technology qui sont parvenus à cette innovation qui pourrait voir le jour d’ici 2015.
 
Des tests sur des souris ont démontré que celles qui avaient été vaccinées par le timbre avaient reçu la même protection contre la grippe et avaient aussi bien combattu l’infection que les souris ayant reçu une injection.
 
De plus, sur le long terme, le timbre vaccinal s’est avéré plus efficace. Ce dernier comporte également des avantages non négligeables : il ne nécessite aucune formation médicale pour être appliqué, donc les gens pourront se donner eux-mêmes le vaccin, il se conserve mieux que les injections et n’est pas douloureux.