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Création de toutes pièces du premier hamburger génétique

Le clonage et la science des cellules souches ne connaissent pratiquement aucune limite. Mais de là à créer un hamburger synthétique, on croyait qu’il y avait un pas.

Or, selon plusieurs sources, dont Top Santé, un chercheur et son équipe ont pourtant réussi l’exploit de créer un hamburger de toutes pièces, surnommé en ce moment le « burger-éprouvette ».

Cette idée sortie tout droit d’un film de science-fiction est passée du rêve à la réalité pour ces chercheurs de l’Université de Maastricht, aux Pays-Bas. Ces derniers ont utilisé des cellules souches de vache, tout « simplement ».

Bien que la manœuvre soit décriée par plusieurs personnes, probablement avec raison, le directeur de cette recherche s’en défend.

« Aujourd’hui, nous utilisons 70 % de nos capacités agricoles à la production de viande. Il va falloir trouver des solutions de rechange. Si nous ne faisons rien, la viande va devenir un produit de luxe. La consommation de la viande bovine pourrait facilement conduire à la conversion d’une grande partie du reste des forêts de la planète en des pâturages stériles et entretenus d’ici la fin de ce siècle », explique avec certitude Mark Post, chef du projet.

Le hamburger doit être goûté la semaine prochaine, à Londres.

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Une hormone ajoutée à l’insu des consommateurs est retrouvée dans le lait

Radio-Canada rapporte des informations concernant le lait et ses produits dérivés qui pourraient inquiéter la population, à la suite du dépôt d’une étude de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA).

Selon l’Agence, on retrouve maintenant de la progestérone dans le lait, le beurre et les autres produits laitiers.

Il s’agit d’une hormone qui permet aux éleveurs de mieux contrôler la reproduction des vaches, en synchronisant le cycle de reproduction de ces bovidés.

En administrant de la progestérone aux bêtes, les agriculteurs peuvent ainsi choisir les moments de procréation, au lieu de laisser le hasard et la nature décider pour eux.

Un comportement qui risque fort d’en inquiéter plusieurs, malgré les conclusions de l’Agence canadienne d’inspection des aliments qui affirment que l’ajout de progestérone n’aura aucune incidence sur la santé des Québécois.

C’est après avoir consulté Santé Canada sur le dossier que les experts de l’ACIA concluent à l’absence de risques pour la population.

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Rapport alarmant concernant la salmonelle et les animaux d’élevage

Radio-Canada rapporte que des inspecteurs alimentaires canadiens s’inquiètent de la présence de la salmonelle dans les aliments servis aux animaux d’élevage au pays.

Malgré une politique qui ne tolère aucun pourcentage d’erreur en la matière, il est surprenant d’apprendre que 13 % de la nourriture d’animaux en élevage pourrait présenter des traces de salmonelle.

Évidemment, les spécialistes s’interrogent et s’inquiètent des risques de contamination chez l’humain.

L’histoire débute à Winnipeg, alors qu’une équipe de Radio-Canada est allée inspecter elle-même des sacs d’aliments pour animaux d’élevage. Ils ont ensuite laissé les sacs aux fins d’analyses au professeur Rick Holley, de l’Université du Manitoba.

Le professeur conclut que deux sacs (17 % du total) étaient bien contaminés par la salmonelle. Il rappelle que ce constat est alarmant, puisque la nourriture contaminée est d’abord ingérée par les animaux, puis éliminée dans ce qui deviendra plus tard de l’engrais pour les terres agricoles. Celles-ci produiront à leur tour des aliments consommés par la population.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) soutient ces conclusions et croit que des mesures doivent être mises en place immédiatement.

Il faut cependant rappeler que l’Agence a fait un excellent travail jusqu’à présent concernant la salmonelle et la sécurité civile.

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La vache Daisy produira du lait pour allergiques

La première vache génétiquement modifiée, Daisy, a pour mission de produire du lait spécialement destiné aux gens allergiques, annonce topsante.com.

Les chercheurs veulent depuis longtemps créer une source de lait qui conviendrait aux intolérants, mais au lieu de tenter d’enrayer la protéine responsable des allergies, ils ont créé une vache génétiquement modifiée.

Ainsi, Daisy, un produit néo-zélandais, a été créée par les mêmes principes qui avaient permis à Dolly, la célèbre brebis clonée, de voir le jour. Pour y parvenir, les scientifiques ont modifié une cellule de vache dite normale pour y ajouter une molécule capable de bloquer la protéine bêta-lactoglobuline.

Ensuite, ils ont introduit le noyau de la cellule dans un ovule de vache, dont le noyau initial avait préalablement été retiré. L’ovule, en gestation dans une vache porteuse, a finalement donné naissance à Daisy, l’amie des allergiques.

Beaucoup de progrès sont à prévoir dans ce domaine (clonage, modifications génétiques), puisque plus de cent ovules auraient été nécessaires pour en arriver à une seule vache. Il faut comprendre que cette technologie, qui semble parfois tout droit sortie d’un livre de science-fiction, n’est qu’à ses débuts.

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La ferme et les vaches diminuent le risque d’allergie et d’asthme chez l’enfant

Bien que le lien entre la vie sur une ferme, le contact avec plus de bactéries et le risque moins élevé de développer des problèmes d’allergies et d’asthme ne soit pas totalement clair, une étude de l’Université de Munich a réussi à démontrer que ce mode de vie rural pouvait avoir ses bénéfices.
 
« Le système immunitaire des enfants semble se développer plus normalement dans ce genre d’environnement », a déclaré le Dr James Gern de l’École de médecine de l’Université du Wisconsin à Madison, qui ne participait pas à cette recherche.
 
Pour approfondir les connaissances des spécialistes sur l’effet de la vie sur une ferme, 80 000 parents d’enfants ayant grandi en campagne en Allemagne, en Suisse et en Autriche ont répondu à un sondage.
 
Parmi ceux-ci, plus de 9600 des enfants avaient été élevés sur une ferme, 18 000 avaient visité les fermes d’autres personnes et 52 000 n’avaient jamais séjourné sur une ferme.
 
Il est ressorti que 11 % des enfants vivant sur la ferme avaient développé des problèmes d’asthme, contre 16 % chez ceux qui y avaient déjà séjourné et 18 % chez ceux qui n’avaient jamais fréquenté ce genre de lieu.
 
En ce qui a trait au rhume des foins et aux allergies, les résultats ont donné 5 % contre 11 et 15 % dans les catégories respectives.
 
De plus, les enfants qui étaient élevés sur des fermes laitières, en contact avec des vaches et qui buvaient le lait pur, couraient 21 à 26 % moins de risques d’être atteints de ce genre de maladies, comparativement aux autres enfants sur d’autres types de fermes ou en ville.
 
Les conclusions publiées dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology démontrent également que l’eczéma est moins fréquent chez les apprentis fermiers.
 
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Du lait maternel… de vache

Des scientifiques de l’Argentine ont annoncé qu’ils avaient réussi le clonage de la première vache ayant deux gènes humains, nous apprend Le Parisien.

Cette découverte pourrait avoir des répercussions majeures quant à l’alimentation des bébés. C’est que les gènes en question contiennent les protéines que l’on retrouve habituellement dans le lait maternel, soit le lysozyme et la lactoferrine.
 
Si cette dernière protéine se retrouve dans le lait de plusieurs mammifères, le lysozyme l’est en très faible quantité dans le lait de vache habituel. Il y en a pourtant une grande quantité dans le lait maternel humain durant la première semaine de lactation.
 
Le lait produit par Rosita, la jeune vache clonée, permettrait aux bébés d’être protégés contre des maladies et d’absorber plus de fer. Reste à savoir si tout changera quant à l’allaitement.

Pour l’instant, on doit prouver que les protéines mentionnées se retrouvent bien dans le lait de Rosita. C’est ce que nous saurons dans un peu moins d’un an, à la suite d’une simulation de grossesse de la jeune vache clonée.