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Gwyneth Paltrow experte en vagin

L’actrice Gwyneth Paltrow fait parler d’elle avec la publication d’un message portant sur les parties génitales de la femme sur son site Internet de bien-être Goop.

La vedette de 42 ans, nouvelle gourou du mieux-être depuis qu’elle a lancé Goop en 2008, parle des bienfaits d’un nouveau traitement intime pour les femmes. Selon l’actrice, un établissement de Santa Monica en Californie propose à ses clientes des traitements de type spa pour le vagin.

Gwyneth Paltrow explique : « Le vrai ticket doré ici s’appelle le Mugworth V-Stream. Vous vous assoyez essentiellement sur un mini-trône, et une combinaison de rayons infrarouges et un jet à base d’armoise nettoie votre utérus et tout le reste.»

Selon l’actrice, il y a des bienfaits à ce traitement : « Cela vous donne de l’énergie. Ce n’est pas qu’une douche, cela balance le niveau des hormones féminines.»

À la suite de cette publication, des médecins se sont opposés aux conclusions de l’actrice. Alors que certains crient aux charlatans, pour d’autres, il semble que les effets escomptés seraient d’une très courte durée.

Photo : BANG/BIG 

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Gwyneth Paltrow experte en vagin

L’actrice Gwyneth Paltrow fait parler d’elle avec la publication d’un message portant sur les parties génitales de la femme sur son site Internet de bien-être Goop.

La vedette de 42 ans, nouvelle gourou du mieux-être depuis qu’elle a lancé Goop en 2008, parle des bienfaits d’un nouveau traitement intime pour les femmes. Selon l’actrice, un établissement de Santa Monica en Californie propose à ses clientes des traitements de type spa pour le vagin.

Gwyneth Paltrow explique : « Le vrai ticket doré ici s’appelle le Mugworth V-Stream. Vous vous assoyez essentiellement sur un mini-trône, et une combinaison de rayons infrarouges et un jet à base d’armoise nettoie votre utérus et tout le reste.»

Selon l’actrice, il y a des bienfaits à ce traitement : « Cela vous donne de l’énergie. Ce n’est pas qu’une douche, cela balance le niveau des hormones féminines.»

À la suite de cette publication, des médecins se sont opposés aux conclusions de l’actrice. Alors que certains crient aux charlatans, pour d’autres, il semble que les effets escomptés seraient d’une très courte durée.

Photo : BANG/BIG 

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Accouchement : avec ou sans étriers?

De nos jours, les grossesses multiples et les chances que le canal vaginal soit élargi à maintes reprises sont devenues choses rares. Voilà pourquoi la Dre Marlene Corton, auteure principale de l’étude et professeure au centre médical Corton de l’Université du Texas Southwestern, déclare que les étriers sont aujourd’hui devenus, dans la plupart des cas, obsolètes.

La spécialiste explique à Reuters que « les femmes qui ont des grossesses sans complications et qui souhaitent accoucher dans une position confortable sur le lit devraient être autorisées à le faire. Dans les cas simples d’ailleurs, les bébés ne courent pas plus de risques pour leur sécurité sans l’utilisation d’étriers ».

Dre Corton ajoute que le maintien des pieds et des genoux soulevés lors de l’accouchement met une pression supplémentaire sur le périnée et conduit souvent à un plus grand risque de déchirure.

Toutefois, parmi les 214 femmes qui accouchaient pour la première fois et qui ont été choisies aléatoirement dans le cadre de l’étude, il n’a pas été démontré que celles qui avaient utilisé les étriers subissaient plus de déchirures que celles qui n’y avaient pas eu recours.

Marie-Hastings Tolsma, professeure infirmière et sage-femme à l’Université du Colorado à Denver, conseille même aux femmes de donner naissance sur le côté pour réduire la probabilité de lacérations, lors du premier accouchement.

À ce propos, Dre Corton a l’intention de poursuivre ses études pour déterminer les meilleures positions d’accouchement pour prévenir les blessures vaginales.

 
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La chirurgie du vagin peut être dangereuse

Avec le nombre croissant de femmes ayant recours à la chirurgie du vagin, les médecins rappellent les dangers de cette intervention.

Selon les chercheurs de l’University College de Londres, aucune étude ne s’est réellement penchée sur les effets à long terme de la labiaplastie qui consiste à réduire les lèvres. Cette intervention est irréversible et souvent pratiquée uniquement pour des raisons esthétiques.

Autrefois, c’était surtout les mannequins de renom qui avaient recours à l’intervention. Dans les dernières années, on assiste toutefois à une augmentation de ce type de chirurgie. 1 118 femmes ont eu une labiaplastie en 2008-2009 contre 669 en 2007-2008 et 404 en 2006-2007.

Selon les chercheurs, cette chirurgie pourrait endommager les organes génitaux féminins. On demande des recherches approfondies sur les effets à long terme, notamment sur la fonction sexuelle.

Plusieurs rapports ne font mention que de la satisfaction des clientes face à l’apparence, mais tous mentionnent qu’il doit y avoir plus de suivi sur les effets physiques comme la gêne ou une diminution des sensations.

Les psychologues expliquent l’augmentation d’une telle chirurgie par la pression sociale exercée sur les femmes et la publicité qui prône une apparence prépubère pour toutes les femmes.

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Le mystère sur le point G enfin résolu

Une étude menée par des chercheurs de l’Université de l’Aquila permet d’en comprendre davantage sur le point G, qui a été découvert dans les années 1950 par le sexologue allemand Ernest Gräfenberg.

Selon la Dre Emmanuele Jannini et son équipe, les femmes qui sont pourvues de tissu plus épais dans la région de la paroi antérieure entre l’urètre et le vagin ont des orgasmes plus intenses que celles dont le tissu est plus mince.

Le groupe de participantes se composait de neuf femmes ayant des orgasmes vaginaux et onze qui n’en ressentaient pas.

La technique des ultrasons a ensuite été utilisée afin de déterminer l’existence du point G chez les sujets. La Dre Jannini est formelle : les femmes qui n’ont aucune apparence visible de point G ne peuvent pas avoir d’orgasme vaginal.

D’autres experts remettent toutefois en cause cette recherche de la Dre Jannini et prétendent que l’épaisseur de la partie antérieure du vagin est uniquement en lien avec la taille du clitoris.