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Une exposition immersive sur Van Gogh aura lieu à Montréal TRÈS bientôt!

Vous connaissez sûrement déjà notre amour pour l’espace montréalais OASIS immersion, n’est-ce pas?! Eh bien, vous n’avez certainement pas fini d’en entendre parler puisque la plus importante destination immersive permanente au pays a collaboré avec le studio de création Normal Studio et le producteur d’ici Paquin Entertainment Group afin de présenter une toute nouvelle expo à couper le souffle!

Dès le 29 avril prochain, vous pourrez donc admirer l’oeuvre magistrale de Van Gogh de manière immersive! Ouioui, vous entrerez dans un parcours lumineux et coloré qui mettra à l’honneur plus de 225 tableaux, croquis et esquisses du peintre hollandais. « VAN GOGH – Distorsion établit un parallèle entre la reconnaissance de l’artiste, la postérité de son œuvre et l’espoir d’un futur plus harmonieux, tel un legs aux générations futures. »

Y’a sincèrement aucun moyen qu’on s’arrête de sauter de joie à l’idée de perdre complètement la notion du temps et du monde extérieur pendant les 65 minutes qu’on déambulera dans les trois galeries d’OASIS immersion. C’est à l’aide de 105 projecteurs laser et de 119 haut-parleurs avec système audio ambiophonique que les murs et les planchers se transformeront en un univers éclaté qui risque de vous chambouler.

Si vous souhaitez vivre cette expérience sensorielle absolument émouvante, vous devriez mettre la main rightttt nowwww sur les billets en prévente juste ici.

Vous allez ca-po-ter!!!

VAN GOGH – Distorsion

OASIS immersion

301 rue Saint-Antoine Ouest, Montréal

À partir du 28 avril 2022

Mercredi 17h00 – 22h00
Jeudi 10h00 – 22h00
Vendredi 10h00 – 23h00
Samedi 09h00 – 23h00
Dimanche 09h00 – 21h00

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Actualité

Coronavirus: Un chef d’oeuvre de Van Gogh volé

L’oeuvre appelée «Le jardin du presbytère de Nuenen au printemps» serait d’une valeur de plus de six millions de dollars (US).

La toile réalisée par le maître en 1884 était exposée au musée Singer situé à Laren en banlieue d’Amsterdam aux Pays-Bas.

Comme la plupart des musées dans le monde, l’établissement était fermé depuis le 13 mars pour combattre la propagation de la pandémie de COVID-19.

Selon les policiers, les voleurs auraient commis leur larcin autour de 3h15, dans la nuit de dimanche à lundi (29 au 30 mars). Ils auraient brisé une fenêtre pour pénétrer dans le musée.

«Le jardin du presbytère de Nuenen au printemps» avait été prêté par le musée de Groningue dans le cadre d’une exposition dédiée à l’art néerlandais.

L’oeuvre de Van Gogh fut réalisée à Nuenen, à l’époque où le peintre habitait chez ses parents

Elle décrit le jardin où ils habitaient et où son père était pasteur. On y voit d’ailleurs les ruines d’une vieille église.

Les autorités ont annoncé que la toile avait maintenant été placée dans la base de données d’Interpol des oeuvres d’art volées.

Photo : musée de Groningue

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Van Gogh/Artaud à Orsay : le peintre et son double

Intitulée Van Gogh, le suicidé de la société, l’exposition présente 45 tableaux et sept dessins du peintre d’origine hollandaise. « Un exploit », déclare à l’AFP Guy Cogeval, le président d’Orsay, qui a obtenu de nombreux prêts.

Pendant longtemps, la légende autour de Van Gogh (1853-1890) a pris le pas sur l’art, réduisant ses toiles à l’expression d’une folie en germe ou en crise.

Après la Seconde Guerre mondiale, le galeriste parisien Pierre Loeb suggère à Artaud (1896-1948) d’écrire « sur un autre fou », Van Gogh, raconte Isabelle Cahn, commissaire de l’exposition. Pour le faire réagir, il lui envoie un extrait du livre Du démon de Van Gogh écrit par un psychiatre François-Joachim Beer, qui décortique les troubles mentaux du peintre.

L’écrivain, qui a subi 58 séances d’électrochocs entre 1943 et 1945 à l’hôpital de Rodez et dont un psychiatre aurait voulu « redresser la poésie », voit rouge. Il écrit d’un jet sur un cahier d’écolier le début de son livre Van Gogh, le suicidé de la société.

« Non, Van Gogh n’était pas fou, mais ses peintures étaient des feux grégeois, des bombes atomiques, dont l’angle de vision, à côté de toutes les autres peintures qui sévissaient à cette époque, eût été capable de déranger gravement le conformisme larvaire de la bourgeoisie » et des politiques d’alors, fustige le poète. Pour écrire son petit livre, il a visité l’exposition Van Gogh qui se tient à l’Orangerie début 1947 et s’est fait lire à voix haute les lettres du peintre à son frère Théo.

Pour Artaud, Van Gogh était d’« une terrible sensibilité ». Plusieurs autoportraits du peintre permettent au visiteur de se confronter à « sa figure ensorcelante de boucher ». « C’est le regard d’une personne qui se scrute sans complaisance, avec une lucidité extrême », relève Mme Cahn, conservatrice en chef à Orsay.

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Grande exposition canadienne sur Van Gogh

Pour la première fois en plus de 25 ans, une grande exposition canadienne sera accordée à Vincent Van Gogh. Se tenant au Musée national des beaux-arts à Ottawa, elle constituera la seule présentation des oeuvres dans tout le pays.

Le thème de l’exposition Van Gogh. De près portera en particulier sur les vues en plan rapproché de la nature. Les expérimentations du peintre quant à la profondeur de champ seront aussi mises en évidence.

Van Gogh. De près regroupera 45 toiles de l’artiste. Elle se tiendra du 23 mai au 3 septembre 2012. On prévoit déjà de très nombreux visiteurs.

Cette exposition est organisée en collaboration avec le Philadelphia Museum of Art. Pour en savoir plus, on visite le www.beaux-arts.ca.

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Van Gogh s’en vient au Canada

Ottawa et le Musée des beaux-arts du Canada s’apprêtent à recevoir l’un des plus importants évènements de leur histoire l’année prochaine avec l’exposition Van Gogh, de près.

Celle-ci présentera une cinquantaine des tableaux de l’un des artistes les plus connus du monde entier, Vincent Van Gogh, dont les toiles sont souvent évaluées à plusieurs dizaines de millions de dollars.

Ça fait plus de 20 ans qu’un musée canadien a présenté une exposition majeure sur l’artiste néerlandais.

Van Gogh, de près explorera de nouvelles pistes pour comprendre la façon dont l’artiste représente la nature, en particulier son usage innovateur du plan rapproché.

Parmi la cinquantaine de toiles du grand maître qui seront exposées, plusieurs d’entre elles ont rarement été vues lors d’un événement public comme celui-ci.

L’exposition Van Gogh, de près se terminera le 3 septembre 2012.

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Prenez le train pour voir les impressionnistes

Comme chaque année, plusieurs dizaines de milliers de Québécois s’envoleront vers l’Europe, dont l’une des destinations phares est Paris, capitale française et culturelle de la France. Ces derniers seront heureux d’apprendre que la SNCF, la Société Nationale des Chemins de Fer, vient de mettre sur rail un train tout spécial qui, chaque samedi, dimanche et jour férié, se rendra en moins de 30 minutes au pays des peintres impressionnistes.

Ce nouveau trajet est en vigueur depuis le 3 avril et se poursuivra jusqu’au 1er novembre prochain. Du départ de Paris, le train se rend à Auvers-sur-Oise dans le département du Val-d’Oise et la région Île-de-France. C’est dans cette région que des peintres comme Vincent Van Gogh, Paul Cézanne, Jean-Baptiste Corot et Camille Pissarro sont venus chercher une certaine part de leur inspiration.

L’un des tableaux les plus connus de Cézanne est celui de la maison du docteur Gachet, maison où lui et Camille Pissarro ont habité durant leur séjour dans la région. Van Gogh aussi y a peint certains de ses tableaux les plus connus, comme celui de l’église d’Auvers-sur-Oise. En dix semaines, Van Gogh, qui était soigné par le docteur Gachet à sa sortie d’asile, a peint près d’une centaine de toiles avant de mourir en 1890. Il est enterré à Auvers-sur-Oise à côté de son frère, Théo.

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Les Grands Maîtres du Musée d’Orsay en balade

Canberra, Tokyo et San Francisco, trois villes qui ont l’océan Pacifique en commun, peuvent maintenant ajouter les Grands Maîtres de la peinture et certaines de leurs oeuvres appartenant au Musée d’Orsay à Paris comme autre point commun. Chacune des villes, tour à tour, recevra la visite d’une exposition ambulante de certaines des toiles de Van Gogh, Seurat, Monet, Degas, Sisley, Pissaro et Cézanne pour n’en nommer que quelques-uns.

Cette rare visite de plusieurs des oeuvres qui font justement la réputation du Musée d’Orsay est possible à cause des rénovations que le musée parisien a entreprises et qui devraient durer environ 2 ans. N’eût été de ces travaux, jamais une telle collection n’aurait pu sortir de Paris.

Pour Canberra en Australie, l’exposition se tient à l’Australian National Gallery jusqu’au 5 avril et la galerie s’attend à établir des records d’achalandage. Le président du Musée d’Orsay, Guy Cogeval, qui a vu les tableaux accrochés en Australie est vraiment surpris de l’effet des couleurs sous un nouvel éclairage dernier cri, avouant avoir eu une révélation pour certains des tableaux qu’il avait vus des centaines de fois à Orsay.

L’exposition Masterpieces from Paris compte 112 oeuvres et se dirigera ensuite vers Tokyo.

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Une partie de l’incroyable correspondance de Van Gogh exposée à Londres

Vincent Van Gogh, peintre qui n’a vendu qu’une toile à un prix dérisoire de son vivant et qui, aujourd’hui, est celui dont la valeur de ses œuvres peut atteindre des sommets astronomiques, sera le sujet d’une exposition tout à fait particulière à Londres. On a en effet pris soin de le laisser expliquer lui-même certaines de ses visions créatives.

En utilisant une quarantaine des 819 lettres encore existantes de la correspondance de Van Gogh, principalement entre lui et son frère Théo qui était son soutien, la galerie londonienne du Royal Academy of Arts a monté une exposition où la correspondance parle justement des tableaux exposés.

Vincent Van Gogh, qui s’est suicidé à l’âge de 37 ans, en proie à une folie qui l’avait d’ailleurs mené à se couper une oreille, correspondait énormément avec les gens. Il s’exprimait d’une façon extrêmement concise, précise et, que ce soit en néerlandais ou dans un français impeccable, joignait souvent des croquis ou des annotations de couleurs à ses missives.

Les gens ne doivent pas s’attendre à voir une foule des toiles renommées de l’artiste, mais celles qui sont présentées sont accompagnées d’une correspondance riche qui saura intéresser les curieux.

L’exposition The Real Van Gogh: The Artist and His Letters se termine le 18 avril prochain.