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Une variante génétique vulnérable aux viandes transformées

De nombreuses études ont confirmé certains dangers pour la santé liés à la consommation de viandes transformées. On sait maintenant qu’il est important de limiter l’achat et la consommation de ces produits usinés, même s’ils se retrouvent souvent partout et dans un grand nombre d’options au supermarché.

Cependant, certaines personnes mangent littéralement ce qu’elles veulent au cours de leur vie et ne semblent pas trop en souffrir.

Une nouvelle étude jette un peu de lumière sur ce phénomène, rapporte MedicalNewsToday, alors que des chercheurs de la Cancer Research Center’s Public Health Sciences Division viennent de lier une variante génétique à une vulnérabilité accrue aux viandes transformées.

Cette vulnérabilité fait augmenter les risques de cancer colorectal chez les consommateurs de viandes transformées, s’accordent pour dire les spécialistes.

La variante rs4143094 serait observable chez au moins une personne sur trois, selon la Dre Jane Figueiredo, qui présente l’étude.

« Nos résultats, si reproduits dans d’autres études, pourraient procurer une meilleure compréhension de la biologie du carcinogène colorectal. La possibilité que des variantes génétiques puissent modifier le risque individuel d’une maladie basé sur le régime alimentaire n’a pas encore été étudiée de façon concrète, mais représente une information importante dans le développement de certaines maladies », explique Dre Figueiredo.

Une étude intéressante qui pave la voie à de nouvelles découvertes, en somme. Les résultats ont été publiés dans la revue PLOS Genetics.

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Des chercheurs découvrent le « gène du couple »

Des chercheurs californiens affirment avoir fait une découverte qui permet d’expliquer pourquoi certaines personnes semblent plus douées pour vivre en couple, mais surtout en harmonie.

Si l’on se fie aux conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), il semble que cela ait bien peu à voir avec le compromis ou encore la volonté, mais plutôt avec notre bagage génétique.

En effet, les chercheurs de l’Université de la Californie et de Berkeley, en collaboration avec l’Université Northwestern, tracent un parallèle entre le bonheur en amour et un gène appelé 5-HTTLPR. Ce dernier serait la clé d’un mariage heureux, selon la longueur de ses variantes.

Les chercheurs ont remarqué que les couples qui présentent des variantes plus courtes de ce gène semblent plus malheureux en amour que ceux qui présentent des variantes plus longues, une logique qui semble implacable pour Robert W. Levenson, un psychologue qui dirige l’étude.

« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne. Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique. Deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche, les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives », explique Levenson, dans des propos également rapportés par Top Santé.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Emotion.

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Des différences dans les gènes de non-fumeuses atteintes du cancer

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait des percées importantes en matière de génétique et de cancer, alors que ceux-ci auraient trouvé des variantes dans les gènes de patientes atteintes du cancer du poumon.

Plus précisément, ces récentes découvertes ont été remarquées chez des patientes non-fumeuses atteintes de ce type de cancer.

On parle donc de différences génétiques observées dans trois régions, spécialement chez les femmes asiatiques, qui s’appliqueraient dans plusieurs cas de cancers du côté des non-fumeurs.

Ainsi, les chercheurs sont en train de confirmer la « provenance » du cancer du poumon chez ces femmes, un mystère pour celles qui n’ont jamais touché une cigarette de leur vie.

Après avoir compilé les données de 14 études sur le sujet, incluant les dossiers de pas moins de 14 000 patientes asiatiques (6600 atteintes du cancer du poumon, et 7500 en santé), l’équipe de chercheurs a constaté les variations dont il est question dans l’étude au niveau des chromosomes 6 et 10.

Bien entendu, les auteurs de la super-étude rappellent l’importance d’éviter la fumée secondaire dans votre environnement immédiat, ce qui pourrait accélérer le processus du cancer du poumon chez les non-fumeurs aux prises avec ce type de variation génétique.

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Découverte importante sur l’ostéoporose

Une équipe de l’Université de Göteborg a fait une découverte importante en identifiant 56 gènes dont 14 variantes génétiques sont liées aux fractures causées par l’ostéoporose.
 
80 000 personnes ont participé à la recherche. On a enregistré 32 016 cas de fractures.
 
56 gènes ont été identifiés, dont 32 directement liés à la densité minérale osseuse, qui est affectée lorsqu’une personne est atteinte d’ostéoporose. 14 variantes génétiques ont aussi été trouvées. Elles étaient à l’origine des fractures résultant de l’ostéoporose.
 
Rappelons que jusqu’ici, les causes génétiques de cette maladie étaient plutôt inconnues.
 
L’ostéoporose est une maladie aux conséquences graves. Sur 50 % des cas de fractures de la hanche qui surviennent après 80 ans, le taux de survie est de moins d’un an après l’accident.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à des diagnostics plus précoces permettant éventuellement de ralentir la progression de la maladie et de mieux la traiter.
 
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Découverte importante sur l’ostéoporose

Une équipe de l’Université de Göteborg a fait une découverte importante en identifiant 56 gènes dont 14 variantes génétiques sont liées aux fractures causées par l’ostéoporose.
 
80 000 personnes ont participé à la recherche. On a enregistré 32 016 cas de fractures.
 
56 gènes ont été identifiés, dont 32 directement liés à la densité minérale osseuse, qui est affectée lorsqu’une personne est atteinte d’ostéoporose. 14 variantes génétiques ont aussi été trouvées. Elles étaient à l’origine des fractures résultant de l’ostéoporose.
 
Rappelons que jusqu’ici, les causes génétiques de cette maladie étaient plutôt inconnues.
 
L’ostéoporose est une maladie aux conséquences graves. Sur 50 % des cas de fractures de la hanche qui surviennent après 80 ans, le taux de survie est de moins d’un an après l’accident.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à des diagnostics plus précoces permettant éventuellement de ralentir la progression de la maladie et de mieux la traiter.