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Les femmes enceintes plus sensibles aux effets bienfaisants de la musique

Des chercheurs du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences à Leipzig, en Allemagne, affirment que la musique peut réduire la pression sanguine, le rythme cardiaque, la respiration et même la température du corps.

En faisant écouter de la musique à 30 participantes, le Dr Tom Fritz et son équipe ont fait jouer des séquences musicales de 30 secondes à chaque femme. Par la suite, ils faisaient jouer les mêmes passages avec des notes discordantes ou en modifiant la mélodie pour qu’elle soit moins plaisante à écouter.

Les femmes du groupe qui étaient enceintes réagissaient plus vivement physiquement aux altérations musicales (surtout au niveau de la pression sanguine). Ceci suggère, selon Medical News Today, que le fœtus est aussi plus sensible aux variations musicales.

« Les résultats de notre étude suggèrent que la musique représente un stimulus spécial pour la femme enceinte », a déclaré Dr Fritz.

Ainsi, pendant leur grossesse, les femmes auraient tout avantage à écouter régulièrement de la musique qu’elles adorent.

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L’humain serait plus honnête le matin

Serait-on plus enclin à l’honnêteté le matin que le reste de la journée?

Ce qui semble difficile à croire et de prime abord dénué de logique est pourtant l’affirmation de chercheurs américains qui démontrent leur théorie par le biais d’une étude, maintenant rapportée par Top Santé.

Initialement publiée dans le magazine scientifique Psychological Science, l’étude des chercheurs de Harvard et de l’Utah trace un parallèle entre le mensonge et l’heure de la journée, affirmant que l’humain serait plus tenté de mentir une fois l’après-midi arrivé.

Les chercheurs ont analysé les réactions d’étudiants placés dans différentes mises en situation, le matin et l’après-midi. Les résultats sont étonnants, alors que les mêmes étudiants qui disaient la vérité au lever, par exemple dans le contexte d’un examen, d’un jeu d’argent ou d’une simple question, changent carrément de comportement et de réponse en après-midi!

Encore plus aberrant, un simple exercice visant à former un mot avec les suffixes « rale » et « que » démontre que les sujets de l’étude changent avec les heures qui passent. Le matin, les étudiants ont formé des mots tels qu’« éthique » et « morale », mais des mots complètement différents étaient formés plus tard dans la journée.

L’étude sympathique permet de constater que l’heure de la journée influence nos comportements et que, possiblement, le sommeil permet de retrouver ses bases en matière de morale et d’éthique.

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Le catalogue des données sur les variations génétiques double ses données

Si vous l’ignoriez, sachez que la communauté scientifique mondiale a créé un catalogue des données sur les variations génétiques. Celui-ci permet aux chercheurs qui luttent contre diverses maladies à travers le monde de compiler des données génétiques et leurs variations, afin d’expliquer et d’enrayer les risques de développer des maladies graves.

Cet outil fort utile et prometteur vient de doubler ses données grâce au Projet 1000 Génomes (1000 Genomes Project), qui vient de faire paraître sa plus récente publication, rapporte www.nih.gov.

Le but du projet est de compiler différentes variantes dans le génome humain, qui se produisent chez au moins 1 humain sur 50. Même si certaines, voire la plupart, de ces variations n’ont pas d’incidence réelle, certaines sont bel et bien complices de la formation de quelques maladies graves connues, comme le VIH, par exemple.

Le projet et le catalogue sont prometteurs dans la poursuite de traitements contre certains des plus grands fléaux.

Le Dr Eric Green, directeur du National Human Genome Research Institute, explique : « Ce projet est un effort international grandiose pour cerner les variations génétiques humaines enregistrées partout dans le monde. Ces nouvelles publications permettent de mieux comprendre ces phénomènes et les dynamiques de certains génomes, cruciaux dans la quête de traitements ».

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Les goûts alimentaires, ça se développe!

Un gâteau aux zucchinis n’est pas seulement un gâteau, tout comme un pâté de thon n’est pas qu’un simple pâté. Il faut dire les vrais termes et inciter l’enfant à goûter tôt pour développer une alimentation variée chez lui.

Selon une étude de chercheurs de la Columbia University, parue dans le numéro de mars/avril de la revue Journal of Nutrition Education and Behavior, il semblerait que les parents sous-estiment les goûts de leurs enfants et que de tels trucs sont inutiles.

Pour arriver à cette conclusion, un test de goût a été effectué auprès de 68 enfants de l’école élémentaire. Divers échantillons, aliments et plats leur ont été présentés en formule duo. L’un portait toujours son réel nom (ex. : pain d’épices au brocoli) et l’autre son nom partiel (ex. : pain d’épices), relate RelaxNews.

À ce test, il est ressorti que même s’ils ne savaient pas que les produits étaient identiques, les enfants n’avaient pas de préférence de goût, car nombreux savaient ce qu’était un brocoli pour en avoir déjà mangé.

En revanche, quand des biscuits aux pois chiches leur étaient présentés à côté de ceux dits aux pépites de chocolat, la plupart (81 %) ont dit préférer ceux au chocolat, car ils ne savaient pas ce qu’étaient des pois chiches et fonçaient vers un choix qui leur semblait familier et appétissant.

Pour Lizzy Pope, auteure principale de l’étude, il semblerait que pour ne pas influencer leur choix concernant le goût d’un produit, le légume utilisé pour sa confection doit être connu par les enfants. « Les résultats de cette étude coïncident avec les conclusions d’innombrables articles sur la néophobie selon lesquels les enfants sont moins à même et moins susceptibles d’aimer ce qu’ils ne connaissent pas », dit-elle dans un communiqué.

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Le classement des mortalités infantiles compromis?

L’étrange et grande variation dans le classement de la mortalité périnatale et infantile entre les pays, qui est souvent utilisée comme un indicateur pour la qualité des soins offerte aux petits, pourrait probablement être expliquée par les différences liées à la façon dont les bébés de faible poids et prématurés sont enregistrés dans les bases de données nationales.

Des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique à Vancouver ont constaté que dans certains pays, comme les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni (Angleterre, Pays de Galles), les nouveau-nés sont tous inscrits, peu importe leur taille, leur poids, s’ils sont nés prématurément ou encore s’ils montrent des signes de vie à la naissance ou non, ce qui est cohérent avec la définition de l’Organisation mondiale de la santé au sujet de la naissance vivante.

Dans d’autres pays comme la Pologne, l’Irlande, la Belgique et la République slovaque notamment, il y a certaines restrictions à l’enregistrement. Si le bébé est inscrit dans la base de données, c’est qu’il a atteint un certain poids, un certain nombre de semaines de gestation et qu’il a survécu après l’accouchement. Ces bébés ont, en fait, une chance de survie à long terme, selon les spécialistes de ces pays, pour la plupart européens.

Pour rétablir un classement véridique sur les mortalités infantiles et périnatales, il faudrait plusieurs années, et il faudrait être absolument certain que tous les pays ont la même façon de percevoir la naissance et la vie, expliquent les chercheurs.

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Des gènes associés à la mortalité

L’équipe de Dan Arking, de la Faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins aux États-Unis, a identifié neuf nouvelles mutations génétiques qui augmentent l’incidence de crise cardiaque.

Rappelons que le mois dernier, le scientifique avait annoncé avoir découvert une variation génétique associée à l’infarctus. Avec ces neuf autres, il y a maintenant dix gènes liés à la mortalité cardiaque.

Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur a mesuré les variations du rythme cardiaque de 15 842 patients.

« La mort par crise cardiaque est un réel problème et on n’a pas de seconde chance. Le problème est que plusieurs patients ignorent qu’ils sont à risque. Ils n’ont pas un taux élevé de cholestérol. Ils ne sont pas obèses. Alors, la génétique est sans doute leur seul espoir de le savoir », a conclu M. Arking.