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Le vaccin contre la varicelle offre une protection à long terme

Le vaccin contre la varicelle est apparu pour la 1re fois en 1995 aux États-Unis. Ce vaccin a presque éradiqué la maladie; auparavant, plus de 90 % des enfants et jeunes l’attrapaient avant l’âge de 20 ans.

Dans le cadre de l’étude, des chercheurs ont effectué un suivi pendant 14 ans auprès de 7585 enfants qui avaient reçu le vaccin durant leur 2e année de vie.

Pendant toute la durée de cette période, les enfants vaccinés étaient de 9 à 10 fois moins à risque d’attraper la varicelle ou encore le zona, une autre infection provenant du même virus.

14 ans après la vaccination, seulement 1505 cas ont été rapportés, mais la majorité de ceux-ci étaient légers, comparativement à une infection sévère pour la plupart des enfants avant la vaccination.

Les chercheurs rapportent qu’en 2006, une deuxième dose du vaccin a été offerte, ce qui a mené à une réduction encore plus grande du nombre de cas par la suite. Cette 2e dose, habituellement administrée entre l’âge de 4 et de 6 ans, rendrait ainsi l’immunisation encore plus efficace, selon MedicalNewsToday.

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Le vaccin contre la varicelle sauve des vies

L’Australie a introduit la vaccination de masse des enfants contre la varicelle en 2006. Avant cette date, le pays faisait face à 240 000 cas de la maladie chaque année, ainsi qu’à 1500 hospitalisations et jusqu’à 16 décès.

Depuis que les enfants sont vaccinés, le nombre d’hospitalisations dues à la maladie a diminué de 68 %, et aucun décès n’a été rapporté. De plus, les chercheurs ont remarqué que 80 % des enfants qui doivent toujours être hospitalisés pour la varicelle n’avaient pas reçu le vaccin.

« Ces résultats supportent fortement l’impact du vaccin contre la varicelle, et l’importance de vacciner tous les enfants. Un niveau d’immunisation encore plus grande contre la maladie aurait prévenu la plupart des cas sévères, dont certains nécessitent un séjour hospitalier en soins intensifs. Nous pouvons maintenant affirmer que ceci peut être prévenu », a écrit l’auteure de l’étude, la professeure Helen Marshall, selon ce que rapporte EurekAlert!.

Elle a même ajouté que « non seulement une seule dose de vaccin sauve des vies, mais elle a également le potentiel de mener à des économies se chiffrant dans les millions pour le système de santé ».

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Pediatric Infectious Disease Journal.

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Quoi savoir sur le vaccin contre la varicelle

Le vaccin contre la varicelle est effectivement nouveau : il est apparu en 1998, et les provinces canadiennes ont seulement commencé à l’inclure dans leur programme d’immunisation dans les années 2000.

Ce vaccin peut être donné en une dose ou en deux. Il protégera 90 % des enfants exposés à cette infection, qui est extrêmement contagieuse, et atténuera habituellement beaucoup la maladie chez les enfants qui la développent quand même.

Pourquoi avoir créé un vaccin pour ce problème qui n’en était pas un dans le passé? Les experts affirment qu’avant le vaccin, 1700 à 2200 enfants canadiens se retrouvaient à l’hôpital chaque année pour des complications reliées à cette maladie. Aujourd’hui, ce nombre a diminué de 88 %.

La réalité des familles a également changé : maintenant, la plupart des mères travaillent, ce qui peut rendre beaucoup plus compliqué et coûteux pour un des deux parents de devoir prendre une semaine de congé pour s’occuper d’un enfant qui a la varicelle – particulièrement lorsqu’on sait que cette maladie est évitable.

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Des vaccins qui ne provoquent pas de convulsions chez les enfants

La revue Pediatrics publie une nouvelle étude mentionnant que si la dose du vaccin contre la rougeole ou la varicelle est administrée à un enfant âgé de 4 à 6 ans, il n’y a aucun risque accru qu’il fasse des convulsions fébriles durant les six semaines suivant la vaccination.

S’il y a convulsions fébriles — ce qui est plutôt rare pour un enfant de cet âge, mais qui peut se produire fréquemment chez un bébé de 18 mois qui a reçu les vaccins –, elles seront liées à de la fièvre et seront brèves. Elles ne pourront pas conduire à la mort ni à des lésions cérébrales ou à des troubles épileptiques.

En d’autres termes, le vaccin contre la rougeole ou la varicelle est sécuritaire pour les enfants de 4 à 6 ans, affirment les spécialistes.

Pour en arriver à cette conclusion, le Kaiser Permanente Vaccine Study Center a examiné les données de près de 87 000 enfants âgés de 4 à 6 ans ayant reçu le ou les vaccins, dans la même journée ou séparément.

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Le soleil pour guérir de la varicelle?

Une équipe de l’Université de Londres affirme qu’un bain de soleil permettrait de freiner la propagation de la varicelle, cette maladie extrêmement contagieuse et très courante chez les enfants.
 
Après une analyse de 25 études dans différents pays, on constate que les cas de maladie sont beaucoup moins fréquents dans les régions où l’on retrouve des rayons UV élevés.
 
Selon les chercheurs, les rayons du soleil rendraient le virus de la varicelle inactif, et la contagion deviendrait donc plus difficile.
 
Quant à savoir pourquoi les cas de varicelle sont si nombreux en Inde et au Sri Lanka lors des périodes chaudes et ensoleillées, le Dr Phil Rice explique à BBC News que, dans ces cas, c’est la pollution atmosphérique qui affaiblit grandement les rayons UV, les rendant moins efficaces contre la maladie.
 
Évidemment, des recherches plus approfondies doivent être faites pour en arriver à des conclusions définitives.
 
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Varicelle : le vaccin s’avère nécessaire

À l’heure actuelle, le vaccin contre la varicelle et le zona demeure déconseillé pour les bébés de moins de 12 mois. La seule protection possible des enfants de cet âge reste donc la réduction au possible de l’exposition au virus.

Toutefois, après que l’on ait systématiquement vacciné des bébés de moins de 12 mois, on a remarqué une baisse de la prévalence de la varicelle de 90 %, lit-on dans Pediatrics.

Sur 1000 enfants, on est donc passé de 15,6 cas à 1,6 cas, de 1995 à 2008. La raison de cette baisse, selon les chercheurs, est sans aucun doute la vaccination à grande échelle.

Parallèlement, cette étude a permis de remarquer le développement de complications liées à la contraction de la varicelle chez certains groupes d’âge. Par exemple, les poupons de 0 à 5 mois se retrouvaient plus exposés à une maladie immunosuppressive et à des lésions cutanées.

D’autre part, les bébés de 6 à 11 mois qui avaient contracté le virus étaient deux fois plus susceptibles d’en développer des complications.

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Moins de morts par la varicelle

Selon Pediatrics, le nombre de cas de mortalité liés au virus de la varicelle a chuté radicalement depuis que l’on vaccine les enfants. Depuis le début du programme de vaccination, en 1995, le nombre de morts aurait baissé de 97 % chez les enfants et les adolescents.

Les données sur le sujet, de 1990 à 2007, ont été analysées afin d’en arriver à ce constat. Par le fait même, on a remarqué que durant la période avant la vaccination, de trois à quatre millions de cas étaient diagnostiqués.

Chaque année, on comptait environ 105 morts dues à la varicelle; la moitié de celles-ci étaient d’enfants. Ces derniers comptaient aussi de 11 000 à 12 000 hospitalisations en raison de complications sévères.

On recommande finalement aux adultes de recevoir aussi le vaccin, car ces derniers courraient 20 fois plus de risques de mourir de la varicelle que les enfants. Pour la même période d’analyse, le nombre de décès chez les adultes de moins de 50 ans a chuté de 96 % à la suite du programme de vaccination.

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Une double dose contre la varicelle

Des chercheurs de l’Université Yale ont découvert que les enfants sont mieux immunisés contre la varicelle si on leur administre une double dose du vaccin.

Les résultats de leur étude publiée dans Journal of Infectious Diseases nous apprennent que les enfants auraient ainsi 95 % plus de chances de ne pas développer la maladie.

Si l’on recommandait en 1995 d’administrer une seule dose aux enfants de 1 à 13 ans, l’efficacité en était de 86 %. Toutefois, on remarquait alors l’apparition de ce virus même chez les enfants immunisés.

Or, en 2006, une seconde vaccination a été instaurée. Les enfants de 4 à 6 ans reçoivent en effet une nouvelle dose depuis. L’efficacité a alors grimpé à 98,3 %.

Pour en revenir à l’étude en question, on a pu remarquer cet effet prévu chez des enfants du Connecticut. Parmi 71 enfants de 4 ans et plus atteints de la varicelle, aucun n’avait reçu la double dose recommandée. Dans ce lot, 93 % avaient été vaccinés une seule fois, tandis que 5 % n’avaient eu aucun vaccin.

On encourage donc la poursuite de cette nouvelle mesure afin de prévenir efficacement la propagation de la varicelle chez les enfants et dans la population en général.

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Attention à la varicelle durant la grossesse

Bien que la varicelle soit plutôt une maladie infantile et que la majorité des adultes en sont immunisés parce qu’ils l’ont eue lorsqu’ils étaient enfants, la varicelle peut s’avérer extrêmement dangereuse pour une femme enceinte, mentionne Doctissimo.
 
Si la femme a déjà eu la varicelle, elle est immunisée, sinon, elle devra être vigilante. Bien que cela soit rare, si elle contracte la maladie alors qu’elle attend un enfant, cela met non seulement sa vie en danger, mais aussi celle de son futur bébé.
 
À l’âge adulte, la varicelle peut causer de sévères complications, dont une pneumonie. Si cela est le cas, la femme enceinte met sa vie en danger et le fœtus peut aussi manquer d’oxygène.
 
Cette maladie contagieuse peut provoquer des malformations au futur bébé, des anomalies cutanées, des lésions neurologiques, des problèmes de développements musculaire et squelettique, des lésions ophtalmiques ou encore des retards de croissance.
 
Si la femme enceinte a été en contact avec une personne ayant la varicelle, il vaut mieux immédiatement consulter un médecin qui fera le suivi et procèdera aux examens adéquats afin de s’assurer que ni la mère ni le fœtus ne seront malades.
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Un vaccin contre le zona

Merck Frosst Canada a reçu le feu vert de Santé Canada afin de commercialiser au pays le Zostavax, le premier vaccin pour la prévention du zona chez les personnes de 60 ans et plus, reconnu pour réactiver le virus responsable de la varicelle.

Dès 2009, le traitement sera offert dans les pharmacies au pays.

Cette maladie s’accompagne souvent de démangeaisons cutanées et d’éruptions de vésicules qui causent chez 50 % des gens de plus de 60 ans une douleur invalidante, appelée névralgie postzostérienne.

D’autres symptômes, comme la fatigue, la perte de vision, les troubles du sommeil et la dépression peuvent aussi être observés chez les patients aux prises avec le zona.

Les essais cliniques du nouveau médicament démontrent que le Zostavax réduit l’incidence de zona de 60 % chez les personnes âgées de 60 à 69 ans et de 51 % dans tous les groupes d’âge, comparativement au placebo. Le vaccin est aussi efficace dans 73 % des cas afin d’atténuer la douleur.

Parmi les effets secondaires, on note une rougeur, une douleur, une enflure, des démangeaisons, une chaleur et une ecchymose au point d’injection.