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Diminuer le nombre de cigarettes fumées par jour aurait bel et bien un impact

En cette ère moderne où le tabagisme est l’ennemi numéro un à abattre, on prône constamment l’importance d’arrêter de fumer. Il n’y a plus de demi-mesure dans les campagnes de publicité ou de sensibilisation : soit vous fumez, soit vous arrêtez.

Mais qu’en est-il de ralentir le rythme? Baisser le nombre de cigarettes consommées par jour ne peut-il pas déjà être un bon début? Si la communauté scientifique est réticente à cautionner ce genre de raisonnement, une nouvelle étude viendrait corroborer la théorie.

Santelog.com rapporte en effet que selon une étude israélienne publiée dans l’American Journal of Epidemiology, réduire le nombre de cigarettes permet d’augmenter son espérance de vie ainsi que de faire baisser significativement les risques d’accident cardiovasculaire (15 % moins de risque de décès).

Les spécialistes en tête de l’étude, ainsi que plusieurs autres praticiens à travers le monde, s’entendent pour dire que plusieurs patients ne semblent pas être capables d’arrêter de fumer complètement.

Lorsque la dépendance est trop forte ou que l’habitude est ancrée depuis trop longtemps dans les habitudes d’une personne, se concentrer sur le ralentissement (en nombre) de la consommation pourrait bien être mieux que rien.

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Les jeunes conviés à surveiller leur taux de cholestérol eux aussi

Les jeunes adultes et les adolescents devraient déjà commencer à surveiller leur taux de cholestérol dans le sang, propose une étude rapportée par www.nim.nih.gov.

Plutôt que d’attendre à plus tard, lorsque les problèmes surviennent, les chercheurs suggèrent aux plus jeunes de faire du dépistage à cet effet, ce qui n’est pas sans soulever la controverse parmi la communauté scientifique et le public.

Les conclusions, publiées dans le Journal of the American College of Cardiology, tendent à conclure que les mutations naturelles encourues lors du vieillissement normal du corps prendraient une tangente de bonne santé cardiaque lorsque le mauvais cholestérol dans le sang demeure bas toute sa vie.

On affirme que les risques de problèmes cardiovasculaires sont réduits de trois fois par rapport à ceux qu’encourent les gens sous médication pour contrôler le cholestérol.

Mieux vaut prévenir que guérir, donc, est une maxime qui ne s’est jamais aussi bien appliquée que pour cette situation.

Les maladies cardiaques demeurent la principale cause de mortalité à travers le monde et sont responsables du tiers des décès aux États-Unis seulement.

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Reconnaître rapidement les signes d’un AVC

L’AVC, ou accident vasculaire cérébral, fait beaucoup de victimes chaque année partout dans le monde, mais le nombre de décès pourrait être réduit avec de la prévention, affirment des spécialistes, via topsante.com.

C’est que les premières secondes et minutes suivant un AVC sont capitales dans la suite des choses pour la victime. C’est une question de vie ou de mort. Plusieurs personnes survivent à un tel accident, mais conservent des séquelles légères ou importantes.

En reconnaissant les symptômes rapidement, on peut battre de vitesse le phénomène en se rendant à l’hôpital le plus vite possible. Mais quels sont-ils, ces signes précurseurs?

D’abord, un violent mal de tête, puis le visage qui se paralyse et la bouche qui dévie. Des troubles de la parole et des difficultés à exprimer son propos de façon cohérente sont aussi des symptômes qui permettent de conclure à un AVC.

Il faut alors composer illico le 9-1-1 afin d’être pris en charge. Les taux de mortalité causés par les AVC peuvent être réduits, assure le professeur Mathieu Zuber, chef d’un service de neurologie et de neurovasculaire, en France.

Il conclut : « Sur quatre personnes traitées dans les 90 minutes après l’apparition des premiers signes d’AVC, une d’entre elles s’en sortira sans séquelles. Et le nombre de personnes qui s’en sortent sans séquelles diminue à mesure que le temps de prise en charge augmente ».

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Quoi manger pour une santé cardiaque optimale

On parle beaucoup de la santé cardiaque dans les dernières années, et pour cause. En effet, les maladies cardiovasculaires sont les causes de mortalités principales au Canada.

Il est cependant possible de contrer le phénomène en faisant des choix alimentaires et nutritifs intelligents. Alors, quoi choisir et quels sont nos alliés? Voici quelques suggestions.

D’abord, on doit bien sûr parler des matières grasses. Conseilsnutrition.tv conseille d’ailleurs de limiter les mauvais gras et de carrément éliminer les gras trans, par exemple.

Un bon truc est de commencer par troquer le beurre (ou la margarine) pour l’huile végétale en cuisson. L’huile d’olive semble être le choix le plus optimal lorsqu’on veut améliorer sa santé cardiaque.

Lorsque l’on choisit de la margarine (meilleure que le beurre), il faut s’assurer que celle-ci soit non hydrogénée.

Ensuite, il faut éviter de consommer trop de viandes rouges de façon hebdomadaire, et de mettre plutôt l’emphase sur les poissons. Ceux-ci sont une excellente source d’oméga-3, en plus de contenir de bons gras mono-insaturés.

Pour conclure, on suggère de continuer d’ajouter des fruits et légumes abondamment à notre alimentation, entre autres pour leurs apports en antioxydants.

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La transplantation de cellules souches pourrait augmenter le risque de maladies cardiaques

Les gens qui subissent une transplantation de cellules souches, par une greffe de moelle osseuse ou de sang de cordon ombilical, auraient plus de chance de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une étude.

Celle-ci est rapportée par nlm.nih.gov et affirme que plusieurs maladies cardiaques pourraient être influencées par de tels traitements. On parle entre autres de diabète, de haute pression et d’un taux de cholestérol élevé.

Les chercheurs de l’American Society of Hematology ont noté que les patients qui subissent des traitements de chimiothérapie ou de radiation juste avant une transplantation de cellules souches voient augmenter leurs chances d’avoir des problèmes cardiaques.

« Bien que nous nous en doutions, il était difficile de conclure avec précision jusqu’à présent. En fait, comme il était difficile de faire des suivis à très long terme sur ces patients, nous ne pouvions confirmer nos doutes. Des échantillons trop petits étaient également des obstacles », explique le Dr Saro Armenian, directeur de la Pediatric Survivorship Clinic au Childhood Cancer Survivorship Program de la ville de Duarte, en Californie.

Les chances de diabète et de problèmes de cholestérol seraient respectivement 1,5 et 1,4 fois plus probables que d’ordinaire.

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Le stress lié aux risques de maladies cardiaques

Voici un constat qui ne surprendra personne. Les gens qui déclarent ressentir un haut niveau de stress au quotidien ont plus de risques de développer des maladies cardiaques que ceux qui sont moins stressés.

Même si cela n’a rien de bien étonnant, cette révision de plusieurs études dresse un tableau plus clair des causes à effet, selon nlm.nih.gov.

« Tout le monde sait que le stress est mauvais pour le cœur », lance le professeur Donald Edmundson du Colombia University Medical Center. Il poursuit : « Les preuves ont cependant été disparates au fil des dernières années ».

Cette année, une étude de 200 000 Européens démontrait clairement que ceux qui travaillaient dans un environnement stressant avaient plus de risques de maladies cardiovasculaires que ceux qui ressentent moins de pression de leur emploi.

Aussi, ceux qui possèdent une plus grande liberté d’action professionnelle réduisent grandement le facteur de stress ressenti.

Des études ont par ailleurs suivi des milliers de personnes qui n’avaient aucun diagnostic de problèmes cardiaques, sur une période variant de 3 à 21 ans.

Les chercheurs concluent que les gens stressés voient leur taux d’hormones dans le sang augmenter, et qu’ils sont également plus sujets aux comportements nocifs pour la santé (cigarette, mauvais régime alimentaire, faible activité physique) que les gens plus détendus au travail. Il s’agirait donc d’une cause indirecte, mais très réelle.

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Le burnout associé aux risques de crise cardiaque

Le surmenage professionnel pourrait mener tout droit à un infarctus, selon ce que rapporte lanutrition.fr.

D’autres maladies cardiovasculaires pourraient aussi être encouragées par un comportement professionnel excessif.

L’épuisement professionnel, on le sait, se reconnaît par ses symptômes de fatigue émotionnelle extrême, de fatigue physique et certaines difficultés cognitives. Bref, le corps ne répond plus, ou très mal. Il a été établi bon nombre de fois, par plusieurs études, que le surmenage peut facilement mener vers une dépression.

On apprend maintenant qu’il peut tout aussi bien mener à une crise cardiaque, selon une étude effectuée par des chercheurs israéliens effectuée sur 8838 hommes et femmes de 19 à 67 ans. Les patients ont été suivis sur une période moyenne de 3,4 années.

Les résultats sont clairs : les gens qui se surmènent au travail augmentent radicalement leurs chances de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire un infarctus. On parle même de 79 % d’augmentation du risque dans les cas d’épuisement sévère.

Le sport est une arme redoutable pour contrer les effets du surmenage, recommandent les experts. L’activité physique, alliée à un rythme de travail sain, permettrait de faire chuter les risques et de maintenir une bonne santé cardiaque.

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Le QI associé à la démence

Le Dr John M. Starr et son équipe de l’Université d’Edinburgh en Écosse affirment que les enfants qui performent moins bien aux tests cognitifs sont plus à risque de souffrir de démence vasculaire, une fois adultes.

Ce syndrome démentiel est la deuxième forme la plus commune de démence, après la maladie d’Alzheimer, et se caractérise par l’effet cumulatif de multiples infarctus cérébraux.

173 sujets ayant reçu un diagnostic de démence ont été suivis par les scientifiques. Parmi eux, 19 % souffraient de démence vasculaire; or, les chercheurs ont observé des résultats inférieurs aux tests d’intelligence chez ces participants. De plus, il semble que le QI ne joue aucun rôle dans la maladie d’Alzheimer.

Parmi les explications envisagées par le Dr Starr, on note le traumatisme neurologique causé par la démence vasculaire. Il faut donc prévenir les accidents vasculaires en cessant de fumer, en contrôlant son taux de cholestérol et sa pression sanguine.