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Les femmes enceintes doivent consommer des fruits et légumes

Des chercheurs de l’école de médecine de l’Université de Boston ont découvert que chez les femmes enceintes, la consommation d’au moins sept portions de fruits et légumes par jour pouvait réduire modérément les risques de développer une infection des voies respiratoires supérieures, rapporte le Science Daily.

Les infections des voies respiratoires supérieures peuvent être, entre autres, une grippe ou une infection des sinus, ce qui peut mener à des problèmes au niveau des voies respiratoires inférieures, comme de l’asthme ou une pneumonie.

Malgré le fait que la plus grande partie de ces infections s’avèrent être de simples rhumes, l’identification de moyens pour les prévenir est importante puisqu’ils sont la raison la plus fréquente d’absences à l’école ou au travail.

Manger des aliments nutritifs, spécialement des fruits et des légumes, rend le système immunitaire plus fort et cette récente recherche a prouvé que les bénéfices étaient les mêmes chez les femmes enceintes.

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Modifier son alimentation prévient le cancer de la prostate

Selon une nouvelle publiée dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics, une alimentation faible en gras et en viandes rouges, mais riche en fruits et légumes, serait grandement bénéfique pour la prévention du cancer de la prostate.

On a étudié les recommandations nutritionnelles pour la prévention, mais également pour les patients déjà atteints. Une telle alimentation aide au traitement de la maladie.

En outre, la tomate, le chou-fleur, le brocoli, le thé vert, les vitamines, dont la E, et le sélénium diminueraient les risques de développer ce type de cancer.

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Conserver les antioxydants des légumes

Une étude publiée par Institute of Food Technologists démontre que certains légumes conservent davantage leurs antioxydants selon les méthodes de cuisson utilisées.

Des chercheurs espagnols ont étudié les effets de l’ébullition, la cuisson vapeur, le four, le four micro-ondes, la friture et le grill sur 20 légumes différents.

Les résultats démontrent que l’artichaut est le légume qui conserve le plus haut taux d’antioxydants dans toutes les méthodes. Les haricots verts, les betteraves et l’ail font aussi bonne figure dans la plupart des cas.

À l’opposé, le chou-fleur est celui qui perd le plus ses propriétés. Selon les chercheurs, la cuisson sur surface métallique sans huile et le four micro-ondes sont les deux méthodes où il y a le moins de pertes.

Rappelons que les antioxydants contribuent à prévenir le cancer et d’autres maladies.

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Une diète méditerranéenne pour préserver les os

Selon une étude de l’Université Harokopio à Athènes, un mode alimentaire méditerranéen, avec une grande consommation de poisson et d’huile d’olive et une faible quantité de viande rouge, contribuerait à préserver la densité osseuse chez la femme.

Nous le savons, les nutriments essentiels à notre squelette sont le calcium et le phosphore, qui composent 80 à 90 % des os. Les autres essentiels sont les protéines, les minéraux et les vitamines.

Adopter une diète méditerranéenne, comme le suggère cette étude, aurait donc un impact significatif sur la santé des os de la femme adulte.

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Le régime méditerranéen, bon pour le cerveau

Une alimentation riche en fruits et légumes, en poisson et en huile d’olive serait bénéfique pour le coeur, mais aussi pour le cerveau, selon le Dr Nikolaos Scarmeas, de l’Université Columbia à New York.

Le chercheur prétend que le régime méditerranéen réduit de 48 % l’incidence de troubles cognitifs, comme la démence ou la maladie d’Alzheimer à un stade léger.

Le Dr Scarmeas est toutefois prudent devant ces résultats. « Il ne s’agit pas d’une étude clinique, mais bien de résultats observés. On ne peut pas affirmer hors de tout doute que le régime méditerranéen prévient des troubles cognitifs », a-t-il mis en garde.

Plusieurs recherches antérieures laissent toutefois croire que cette diète diminue le taux de mauvais cholestérol, réduit l’inflammation ainsi que les risques de maladies cardiovasculaires.

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Les conséquences de la crise alimentaire

Selon le quotidien La Presse, la crise alimentaire, qui sévit dans une trentaine de pays, ne sera pas sans conséquence pour les Nord-Américains.

À titre d’exemple, le prix des légumes en conserve pourrait connaître une hausse de 10 à 20 %, selon le président-directeur général du Conseil de la transformation agroalimentaire et des produits de consommation, M. Jacques Légaré.

« C’est vraiment une catastrophe. Le blé, l’orge, le soya, le maïs, leurs prix ont bondi en un an. Les spéculateurs sur le blé n’aident pas », a-t-il ajouté.

Selon ce spécialiste, ce n’est qu’un début, puisque la hausse sans cesse croissante du prix du pétrole pourrait justifier une hausse de prix de certains aliments.