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Ceci n’est pas une bière de fille: Une bière pour tout le monde, disponible partout au Québec!

« Ceci n’est pas une bière de fille » vient tout juste d’être lancée lundi passé, pour souligner la Journée internationale des droits des femmes. Cette bière a été créée grâce à la collaboration de dix femmes issues du milieu brassicole d’ici qui se sont rencontrées en mars 2018 lors d’une mission au Vermont qui leur a permis de découvrir et de comprendre plusieurs pratiques de la région pour mieux s’en inspirer.  Elles y ont rencontré d’autres femmes qui occupent le même genre d’emploi au Vermont et en ont appris davantage sur les métiers qui sont occupés plus généralement par des hommes.

Ainsi, les femmes ont été intéressées à utiliser le mélange Pink Boots Society 4e édition. Créé par l’association internationale à but non lucratif qui aide, inspire et qui encourage les femmes qui travaillent dans l’industrie des boissons alcoolisées, le mélange comprend les houblons Cashmere, Ahtanum®, Citra®, Loral® et Sabro®. On y retrouve certaines caractéristiques aromatiques tropicales, herbacées, boisées et d’agrumes.

La Pink Boots Society partage même les profits générés par la vente de ces bières avec les personnes qui ont participé à leur confection et les revenus permettent de créer des bourses d’études. D’ailleurs, pour souligner leur solidarité, une bourse d’études sera remise à une femme de l’industrie pour qu’elle puisse obtenir une formation à l’Institut Brassicole du Québec.

Le nom « Ceci n’est pas une bière de filles » fait référence à l’expression « bière de fille » qui ne devrait tout simplement pas exister. Ce sont souvent les bières moins intéressantes, de couleur rose, moins fortes ou au goût fruité qui sont décrites ainsi. De plus, un petit jeu de mots s’est glissé au sein du nom puisque Ceci N’EST PAS une bière de fille fait référence à l’abréviation du style de la bière: NEIPA pour New England Indian Pale Ale.

Cette bière à 6% alc./vol. a été réalisée par ces neuf femmes très talentueuses:

  • Katia Bouchard: Cheffe communications et philanthropie chez Éducaloi, experte en bière et blogueuse.
  • Érika Godbout: Directrice marketing et communications, Les Brasseurs du Nord – Boréale.
  • Geneviève Lacroix: Biérologue, La Barberie – Microbrasserie coopérative de travail.
  • Caroline Leclerc: Coordonnatrice, Association des microbrasseries du Québec.
  • Anne-Sophie Legendre: Directrice des Opérations, Boswell Brasserie Artisanale.
  • Caroline Ruel: Superviseure de Production, Les Brasseurs du Nord – Boréale.
  • Karine Savrd: Copropriétaire, Microbrasserie St-Pancrace.
  • Annie St-Hilaire: Copropriétaire, Microbrasserie du Lac Saint-Jean.
  • Marie-Claude Thiffeault: Copropriétaire, Microbrasserie À la Fût.
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Randy Quaid et sa femme libérés

Un juge du Vermont a libéré Randy Quaid et sa femme, Evi, estimant qu’il n’y avait pas de raison de les garder prisonniers.

Pourtant, le 13 octobre dernier, le juge avait ordonné une caution de 500 000$ chacun pour recouvrer leur liberté.

Le couple était recherché à Santa Barbara où il avait squatté la maison d’invités d’une ancienne demeure de Quaid. Ils y auraient abîmé des biens tel un miroir, des meubles et un foyer. Quaid et sa femme se sont alors réfugiés au Canada, mais se sont fait arrêter quand ils ont tenté de retourner aux États-Unis, il y a quelques jours.

Selon La Presse, à sa sortie du pénitencier, Quiad a confié aux journalistes qu’il souhaite maintenant  régler de vieilles accusations datant de cinq ans et qu’il restera au Vermont pendant un moment pour s’occuper du père souffrant d’Evi Quaid.

Randy Quaid, qui est le frère de l’acteur Dennis Quaid, est surtout connu pour des films comme Kingpin et Independance Day.

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De plus en plus de consommateurs veulent un étiquetage des OGM

Le New York Times rapporte une montée de la grogne chez les consommateurs avertis en matière d’alimentation, concernant les OGM et l’absence fréquente de toute indication sur les étiquettes des produits qui en contiennent.

Une hausse des demandes et des manifestations contre l’utilisation aveugle des OGM est observable, et il est permis de se demander comment il peut n’y avoir que si peu de règles dans un dossier si important et controversé.

Un sondage du New York Times révélait l’an dernier que 93 % des répondants désiraient un affichage clair des produits génétiquement modifiés, même si seulement la moitié d’entre eux affirment vouloir éviter d’en manger. Comme quoi l’information est la première source d’inquiétude des consommateurs, avant les OGM en soi.

L’État du Vermont, aux États-Unis, est maintenant un chef de file en la matière, devenant ce mois-ci le tout premier État à obliger l’étiquetage clair des produits renfermant des OGM. Le Connecticut et le Maine semblent vouloir aller dans la même direction.

Les producteurs d’OGM et de produits qui en contiennent mènent une guerre juridique à gros prix afin d’éviter de telles lois.

Voilà un débat qui n’est pas près de se terminer, et les consommateurs ont probablement raison de s’inquiéter du laxisme de certains gouvernements en la matière, alors que les effets à long terme des OGM demeurent peu connus et peu étudiés.

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Le Québec et le Vermont pour une route verte transfrontalière

(MONTREAL-AFP) – Le Québec et l’État américain voisin du Vermont ont annoncé lundi vouloir créer une « route verte » entre Montréal et Burlington, équipée de bornes de recharge pour favoriser l’utilisation de la voiture électrique.

Il s’agit d’une route de 155 km, empruntée par des milliers de Québécois qui vont faire leurs courses à Burlington pour profiter des prix américains, souvent inférieurs à ceux demandés au Canada.

Le projet a été évoqué par le premier ministre québécois Jean Charest et par le gouverneur du Vermont, Peter Shumlin, lors d’une rencontre entre gouverneurs américains et premiers ministres de l’Est du Canada. La réunion était consacrée essentiellement aux questions énergétiques.

« Nous avons conclu que nous pouvions aller plus loin dans la mise en place d’une route verte et l’électrification des transports », a indiqué M. Charest lors d’un point de presse, indiquant que les deux parties avaient mandaté chacune une équipe pour travailler sur ce projet et qu’il comptait pouvoir annoncer des progrès lors de la réunion annuelle suivante à Québec.

Par ailleurs, les participants ont évoqué les ventes d’hydroélectricité canadienne, de plus en plus attrayante à cause du coût croissant des centrales à charbon et de la pollution dont celles-ci sont la cause.

Les États de la Nouvelle-Angleterre s’y intéressent, mais la prise de décisions est influencée par le prix demandé par le Québec, grand exportateur d’énergie propre.

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La neige reste le meilleur remède contre une récession

Plusieurs stations de ski ont déjà connu de mauvaises saisons et parfois même des saisons désastreuses. Pourtant, s’il y a bien un point commun dans la réussite ou l’échec d’une saison de ski, c’est la quantité de flocons qui tombent et la température qui sévit.

Ce deuxième hiver qui s’amorce à la suite de la pénible débâcle boursière et de la récession qui s’en est suivi semble faire craindre le pire, mais les propriétaires des stations de ski préfèrent prier pour une température clémente et des chutes de neige généreuses.

Comme l’explique Parker Riehle, président de l’association de ski du Vermont aux États-Unis, « à la fin de la journée, tout dépendra toujours de la neige. » Chez Karl Stone, le directeur marketing pour le ski dans l’État du New Hampshire, on retrouve sensiblement le même son de cloche : « S’il neige, il semble que l’on s’en tire toujours bien. »

Au Québec, le même phénomène s’est toujours produit, les chutes de neige et la température étant toujours les facteurs déterminants dans le succès d’une saison. De plus, une récession garde les gens au pays un peu plus et ceux-ci se rabattent sur le tourisme local, dont font partie les centres de ski.

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Le Vermont se prépare pour les 400 ans du lac Champlain

Au début du mois de juillet, des milliers de personnes sont attendues à Burlington pour deux semaines de festivités qui souligneront le 400e anniversaire de la découverte du lac Champlain par Samuel de Champlain. Il y aura d’ailleurs une forte présence québécoise et française au Vermont pour l’événement.

L’État se prépare depuis 2003. Déjà, plusieurs conférences, activités et expositions sont présentées. Le musée historique de St-Albans offre aux visiteurs un portrait du lac de l’époque de Champlain jusqu’aux chemins de fer, l’itinéraire de l’explorateur, des forts de la Nouvelle-France, ainsi que l’histoire du début du commerce maritime. Au ECHO Lake Aquarium and Science Center, on se consacre plutôt à la vie des Autochtones.

Les célébrations seront aussi soulignées au Québec, en Montérégie, et dans l’État de New York, où l’on parlera également de l’explorateur Henry Hudson.

Des sites Web sont consacrés aux célébrations.