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Recyclage du verre au Québec : ça ne peut plus durer!

Des discussions ont été rouvertes au gouvernement du Québec avec la SAQ pour le recyclage des contenants de verre de type bouteille de vin, pot de confiture et bouteille d’eau en verre. 

Cela ne représente qu’un petit pas dans la bonne direction, au lieu d’une décision concrète. Ce ne sont que des discussions, encore.

C’est encourageant, mais est-ce assez? Selon La Presse, la directrice générale de la SAQ, Mme Dagenais, est ouverte à l’idée et a donc entamé une discussion, ce qui est très bon étant donné qu’avant cela, elle s’était toujours montrée fermée à l’idée du recyclage du verre.

Selon Recyc-Québec, en 2018, 72 % du verre généré au Québec a été envoyé à l’enfouissement. Une entente de principe (accord par lequel deux partis ou plus fixent certains éléments d’un contrat futur) entre le gouvernement du Québec, le groupe Owens-Illions et le Groupe Bellemare, qui souhaitent utiliser le verre usagé du Québec pour en faire du verre recyclé, a été adoptée. 

Pour clarifier, une entente de principe en d’autres mots, c’est une entente informelle. C’est un pas dans la bonne direction, mais il reste beaucoup de chemin à faire. 

Un élément problématique est que la SAQ, distributeur presque exclusif de vin au Québec (qui représente près de 50 % du verre recyclable vendu et non recyclé), ne souhaite pas devenir un point de récupération des bouteilles par « manque d’espace » dans les succursales, disait Mme Dagenais pour La Presse.

Si on compare ces dires de la SAQ aux dépanneurs, qui n’ont pas plus d’espaces, mais qui sont obligés de récupérer les bouteilles de bière des consommateurs, ça ne concorde pas.

Est-ce un manque de volonté? Est-ce que ça fait partie du processus? Quel est le but de vendre du verre, mais de ne pas le récupérer?

Il y a beaucoup de chemin à faire avant que 100 % du verre sur le marché soit recyclé, malheureusement. Bien hâte de voir ce qui s’en vient! 

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Potins

Julie Bélanger : « je n’ai pas, ni jamais eu, de problème d’alcool »

Julie Bélanger tient à ce que les choses soient claires : contrairement à ce qui a été interprété et rapporté, elle n’a pas, ni jamais eu, de problème d’alcool.

Voici sa réponse, elle aussi publiée sur son blogue, en intégralité :

« PETITE TEMPÊTE DANS UN VERRE D’EAU

   Il fait beau. Un beau p’tit matin en vacances. C’est du moins ce que je croyais en me levant, loin de me douter que ça allait plutôt être un jour de tempête. Ma première tempête médiatique. Super (lire avec ironie).

J’ai publié un texte hier, qui m’a demandé tout mon p’tit change, où je parlais d’un burnout que j’ai fait il y a 8 ans et de la thérapie qui s’en est suivie.

Est-ce que j’en ai dit trop, pas assez, je me pose ces questions-là à chaque fois que je publie un nouveau billet. Mais celui-là, même s’il était vraiment personnel, je me disais qu’il pouvait aider. Faire du bien. Montrer à ceux et celles qui sont au fond de leur baril personnel que la tempête finit toujours par passer. (À cet effet, vous dire le nombre de messages touchants que j’ai reçus! Des centaines de témoignages, des gens à qui ça a fait du bien de constater qu’ils n’étaient pas seuls. Qu’il y a de l’espoir.)

Ce dont je ne me doutais pas, c’est que la tempête allait me revenir en pleine face. Une belle tempête dans un verre d’eau. Ou dans un verre de vin.

Tout ça est parti de cet extrait: « Je sais que le vin que mon chum et moi on se tape à chaque soir est devenu une bouée, une façon de ne pas sombrer, le seul moyen de décompresser après le stress imposé à chaque jour, de souffler enfin calmement. Ça n’a plus de sens. Je ne me reconnais plus. Je pleure à un rien, je m’enrage à un rien, j’ai la fleur de peau écorchée vive. Je dois faire quelque chose. »

Quelle ne fût pas ma surprise (et ma colère!) de lire des gros titres sur différents sites: « Julie Bélanger se fait traiter pour ses problèmes d’alcoolisme. » Hein???

Pour la forme, voici la vérité: je n’ai pas, ni jamais eu, de problème d’alcool (si c’était le cas, de toute façon, je serais assez transparente pour le dire!). Ce que je disais simplement dans cet extrait, c’est qu’à l’époque de mon burnout, j’étais tellement à bout de nerfs, que pour me calmer, me permettre de souffler un peu, ma pause-mentale arrivait à l’heure de l’apéro et que c’est alors que je réussissais enfin, à relaxer un peu. 1 ou 2 verres…Pas 8 bouteilles!! Qui n’a jamais fait ça? L’alcoolisme est une maladie à ne pas prendre à la légère, mais je vous assure que je n’en souffre pas.

Je suis complètement soufflée par les proportions que tout ça a pris. Je sais depuis toujours qu’on doit en prendre et en laisser dans les médias. Qu’un article au titre sensationnaliste fait vendre, que ça rajoute du punch et que ça attire les lecteurs… Mais y’a toujours ben des limites entre sensationnalisme et invention!

C’est la première fois que ça m’arrive. Habituellement, j’ai une excellente relation avec les journalistes et les différents médias, basée sur le respect et la vérité. Mais de voir qu’on peut déformer des propos à ce point pour des clics, pour vendre, pour faire de l’argent sur mon dos, sérieusement, ça me donne envie de vomir.

En fait, je me sens comme Martin Matte dans un épisode des Beaux Malaises où une simple blague à ses enfants l’avait obligé à se défendre d’être raciste dans les médias! Ça l’air gros hein? Ben j’ai la preuve aujourd’hui que ça peut malheureusement se passer ainsi.

Voilà, j’espère que tout est clair. En passant, avis à tous les sites qui ont inventé, propagé et/ou insinué toutes ces niaiseries: ce texte-ci vous avez le droit de le reprendre sur vos sites respectifs. En version intégrale svp.

Merci.

Julie »

 

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Sport et Santé

Infection oculaire et lentilles cornéennes vont souvent de pair

Cette infection des yeux, appelée kératite, n’est pas nécessairement grave en soi, sauf si elle n’est pas traitée. Le cas échéant, elle peut endommager la cornée et, plus rarement, mener à la perte de la vue.

Techtimes.com rapporte les informations fournies par les CDC (Centers for Diseases Control and Prevention). Au moins un million de personnes annuellement aux États-Unis doivent traiter au minimum une infection oculaire causée par des lentilles cornéennes mal nettoyées.

Bien que l’on puisse les porter quotidiennement, la Dre Jennifer Cope rappelle l’importance de bien entretenir les verres de contact.

En 2010 uniquement, 58 000 Américains ont même été admis aux urgences à cause de kératite importante. Cette infection est non seulement douloureuse, mais elle coûte environ 175 millions $ au système de santé chaque année.

Habituellement, une simple crème antimicrobienne ou des gouttes oculaires sur prescription suffisent à enrayer la kératite.

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Le Protégez-Vous s’attaque aux lunettes

La revue de consommation préférée des Québécois, Protégez-Vous, s’attaque aux lunettes et aux soins de la vue dans son édition du mois de février, rapporte newswire.ca, et tente de proposer les meilleures avenues pour les consommateurs tout en jetant de la lumière sur les méthodes commerciales de ce marché.

Ainsi, on apprend que la variation des prix chez les optométristes est parfois grande, comme quoi le magasinage et la négociation sont de mise. Protégez-Vous s’intéresse à chacune des grandes chaînes du Québec, en plus des commerces en ligne.

L’enquête permet de constater qu’il est notamment moins coûteux d’acheter d’abord des montures, puis de faire poser des verres dans un autre commerce, afin de maximiser les meilleurs prix possible.

On vante également les prix des examens de la vue et des lunettes chez Opti-Club de la chaîne Costco, mais on note une moins grande variété de montures que chez les concurrents.

Pour ce qui est des lentilles cornéennes, ou verres de contacts, ces produits seraient plus avantageux en ligne, selon le magazine. Il suffit donc de bien connaître la force requise pour chaque œil, puis de faire son magasinage sur le web, tout simplement. Le conseil ne s’appliquerait toutefois pas sur les lunettes, qui s’avèrent un meilleur achat directement sur place.

Pour tout savoir et pour de plus amples renseignements, visitez le site officiel de Protégez-Vous ou procurez-vous l’édition de février.

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Quand l’alcool affecte sérieusement les capacités cognitives chez les hommes

Si une consommation d’alcool par jour peut toujours passer, il semble que quatre soit le seuil critique à ne pas atteindre chez les hommes, notamment ceux ayant franchi le cap de la cinquantaine.

Top Santé rapporte en effet les conclusions d’une étude sur le sujet, qui dévoile des conséquences potentiellement catastrophiques pour les hommes consommant de trois à quatre verres d’alcool quotidiennement.

Même si la cinquantaine peut sembler un âge plus avancé pour les plus jeunes, il s’agit somme toute d’un palier assez jeune, surtout si l’on considère que c’est la première fois qu’une étude du genre s’attarde à cette portion de la population (les études précédentes visant surtout les 65 ans et plus).

« Notre étude est basée sur des personnes âgées en moyenne de 56 ans lors des premiers tests cognitifs, ce qui est relativement jeune par rapport aux études précédentes sur ce sujet. Elle suggère qu’une forte consommation d’alcool serait associée à un déclin cognitif plus rapide dans tous les domaines cognitifs étudiés », résume Séverine Sabia de l’University College, auteure de la recherche.

Les conséquences d’une trop forte consommation d’alcool quotidienne chez l’homme peuvent varier entre un déclin de la mémoire, de l’attention et du raisonnement.

Les résultats de l’étude sont publiés dans le magazine Neurology.

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Vers une révolution des prix et des ventes de lunettes en France grâce au web

La France pourrait sonner la charge et mener la révolution des prix en ce qui concerne les lunettes et autres produits pour le soin des yeux, rapporte Top Santé, à la suite d’une étude et des recommandations publiées par l’organisme de protection du consommateur UFC- Que Choisir.

L’association répond au projet de loi français qui prévoit faciliter l’achat de lunettes et autres produits en ligne, et ainsi sauver sur les coûts astronomiques que représente le soin des yeux, de nos jours.

« Les consommateurs français dépensent chaque année 4,7 milliards d’euros pour leurs lunettes. Ils paient ainsi la facture d’une grande opacité et d’une insuffisante concurrence, qui conduisent à un prix de vente moyen de 470 €, hors de portée de beaucoup de Français, subissant les prix les plus élevés d’Europe – avec un budget lunettes par habitant supérieur de 50 % à la moyenne », explique l’UFC.

Les experts appelés à se prononcer voient aussi d’un bon œil le fait d’obliger les ophtalmologistes à publier en ligne les informations de prescription, afin d’assurer la livraison du produit adéquat chez le patient.

« Cette profession se voit confirmé son monopole sur la délivrance de lunettes (y compris sur internet) », conclut l’UFC, qui ne voit aucunement là une mise à mort des centres d’optométrie et des lunetteries. Les autorités françaises souhaitent surtout éviter que les patients n’abandonnent l’achat de nouvelles lunettes, par exemple, au profit d’anciennes et désuètes.

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Refuser le dernier verre préviendrait certains ennuis de santé

Top Santé rapporte une nouvelle campagne de sensibilisation, lancée en France, qui s’attaque au « verre de trop », après qu’une recherche ait démontré que refuser une seule consommation supplémentaire pouvait grandement aider à prévenir certains problèmes de santé.

Juste à temps pour le temps des fêtes, cette campagne vise ce qu’on appelle communément la tranche des « 18-34 », c’est-à-dire les jeunes adultes qui ont l’habitude des nuits en boîte et des soirées bien arrosées.

« Déjà utilisée dans des campagnes de prévention contre l’alcool aux États-Unis ou en Australie, cette technique permet de renforcer la capacité de celui qui ose dire non à un verre supplémentaire sans aucune stigmatisation. S’il est communément admis que refuser un verre peut donner l’impression de gâcher le moment festif, les publicités de cette campagne de prévention s’emploient à montrer justement l’inverse. Dire non à l’alcool devient simple, possible sans passer pour un ringard », explique l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), instigatrice de cette campagne.

On souhaite ainsi sensibiliser aux bienfaits d’une consommation modérée non seulement sur la santé, mais aussi en matière de sécurité routière, dont le bilan s’alourdit souvent au cours du temps des fêtes.

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La consommation d’alcool serait influencée par le choix du verre

Santé Log rapporte des conclusions intéressantes en matière de consommation d’alcool, parues dans une étude que publie le magazine PLoS ONE.

Cette dernière parle des impacts de facteurs, qui semblent pourtant anodins, sur la quantité d’alcool consommée par un individu dans une situation donnée. Par exemple, il semble que le choix du verre soit une donnée très importante.

La largeur, la couleur et la position du verre ont un impact sur la quantité ingérée par un individu, comme le démontre cette étude menée sur un groupe de 73 étudiants.

On a proposé aux sujets, tous amateurs de vin, différents types de verres. Ils devaient ensuite y verser leur boisson préférée, tout simplement.

Les étudiants qui avaient reçu un verre plus large ont versé instinctivement 11,9 % plus de vin qu’à l’habitude, alors que ceux qui ont utilisé un verre de la même couleur que la boisson ont augmenté leur consommation de 9,2 %.

Outre le contenant, la façon de placer le verre au moment de verser le vin aurait aussi une incidence. Ainsi, c’est en gardant son verre à la main qu’on risque le plus de surconsommer, avec une moyenne de 12,2 % plus de vin versé dans cette position, contrairement à laisser son verre sur la table.

Des données intéressantes, qui peuvent aider les gens souhaitant faire baisser légèrement leur consommation d’alcool à y parvenir. 

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Nouvelles quotidiennes

Boire un verre au soleil à Paris : les terrasses de l’été

Pour profiter des beaux jours, les terrasses parisiennes se parent de leurs plus beaux atours. Sélection de quelques lieux en vue.

Monsieur Bleu
Près du Trocadéro, le nouveau restaurant du Palais de Tokyo est depuis le printemps un des lieux les plus en vogue de la capitale. Dans ce temple de l’art contemporain, Monsieur Bleu attire une clientèle chic et « arty ». Sur sa terrasse face à la Seine et à la Tour Eiffel, on sirote un cocktail ou un goûter à la carte snacking signée de la chef Alix Lacloche.

Nüba
Situé sur le toit-terrasse de la Cité de la Mode et du Design, l’endroit est le nouveau repaire de la jeunesse branchée. On y trouve transats et grandes tablées dans un esprit décontracté. Le soir, l’équipe du Baron anime le lieu jusqu’au bout de la nuit. À noter, juste en dessous, la terrasse du Wanderlust propose des animations tout l’été (yoga, ateliers, cinéma) et une carte concoctée par le chef invité de la saison, Christophe Pelé. Autre option, la terrasse du nouveau restaurant M.O.B., où déguster burgers et junk food bio et saine.

La Café Français
À l’angle du boulevard Henri-IV et de la rue Saint-Antoine, cette institution parisienne a fait peau neuve, reprise par les frères Costes. La grande terrasse paysagée de cette brasserie contemporaine, reconnaissable à ses chaises au look graphique bleu-blanc-rouge, offre une place de choix face à l’Opéra sous l’œil du Génie de la Bastille.

Hôtel Raphaël
Au dernier étage de ce palace parisien du 16e arrondissement, la terrasse se pare d’un air de jardin suspendu au-dessus des toits de Paris. Les fauteuils blancs en fer forgé et la végétation luxuriante créent une ambiance bucolique avec vue panoramique. Tout l’été, des millésimes de la maison de champagne Perrier-Jouët sont à déguster, tout comme des créations originales de cocktails.

Les Climats
Caché à l’arrière de ce restaurant, un petit jardin d’été offre une trentaine de places dans un décor romantique. Sur la terrasse, ouverte seulement pour le déjeuner, on déguste une cuisine fraîche et légère accompagnée d’une sélection de vins exclusivement bourguignons.

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Certains produits pour lentilles cornéennes pourraient causer des lésions

Radio-Canada rapporte des informations importantes pour tous les myopes du Québec qui ont recours aux lentilles cornéennes.

Selon Santé Canada, certains produits retrouvés sur les rayons pourraient causer des problèmes, à commencer par des lésions oculaires.

On parle des produits de marque Clear Care, Aosept et Oxysept, qui contiendrait 3 % de peroxyde d’hydrogène.

Le problème, c’est que les produits renfermant cet élément doivent être utilisés avec précaution, et il est nécessaire de les laisser reposer dans un étui spécial avant de placer les lentilles sur les yeux.

Cependant, l’information ne circule pas, et plusieurs personnes se sont plaintes de lésions dues à une mauvaise utilisation de l’une ou l’autre de ces marques.

On suggère donc aux utilisateurs de ces produits pour lentilles de lire attentivement les instructions fournies dans l’emballage, mais des changements devront également être apportés par les fabricants.

Santé Canada conclut en effet que plusieurs emballages ne sont pas assez clairs, et rappelle qu’il faut privilégier les solutions salines pour éviter tout problème.