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Des muscles reconstruits grâce aux vessies de porc

Des chercheurs américains auraient mis au point une nouvelle méthode de reconstruction et de régénération de muscles humains endommagés grâce à des vessies de porc, rapporte Top Santé.

Le processus, bien que surprenant, s’avère relativement simple. Selon les chercheurs de l’Université de Pittsburgh derrière le projet, il est possible d’implanter des parties de ces vessies préalablement dépouillées de leurs cellules directement dans la structure musculaire visée, et ainsi d’obtenir un résultat satisfaisant.

« Quand un grand volume de muscles est perdu, généralement à cause d’un traumatisme, le corps ne peut pas répondre suffisamment pour les remplacer. Au lieu de cela, du tissu cicatriciel peut se former, ce qui altère de manière significative leur résistance et leur fonction. Cette nouvelle étude est la première à montrer un remplacement de nouveau tissu musculaire fonctionnel chez l’homme. Ce sont les patients qui ne peuvent plus marcher, ne peuvent pas sortir de la voiture, ne peuvent pas monter et descendre d’une chaise, ne peuvent pas prendre des mesures sans tomber. Maintenant, nous avons un moyen de les aider à aller mieux », explique l’auteur de l’étude, Stephen Badlyak.

Une véritable percée qui pourrait changer des vies, comme l’explique M. Baddlyak.

Les conclusions de ce dernier et de son équipe ont été publiées dans le magazine scientifique médical Science Translational Medicine.

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Un million pour la réalisation d’un vaccin contre le cancer de la vessie

Le Québec pourrait se positionner comme chef de file mondial en termes de découvertes et d’avancées médicales si l’on considère les dernières nouvelles, dont celle rapportée par Radio-Canada.

Cette dernière avance que la Société canadienne du cancer vient d’accorder un financement d’un million de dollars à une équipe de chercheurs québécois, menée par le Dr Fradet du Centre hospitalier universitaire de Québec (CHUQ), afin de finaliser un projet qui pourrait s’avérer la solution de l’avenir dans le traitement du cancer de la vessie.

Il s’agit de travaux qui mèneraient à un vaccin contre la maladie, permettant non seulement le traitement, mais également l’élimination des risques de récidives.

Le cancer de la vessie est agressif, et les statistiques de récidives sont élevées. Toutefois, avec cette nouvelle percée, on peut se permettre d’être optimiste, croit l’équipe du CHUQ.

« On a démontré, dans nos modèles qui utilisent des tumeurs humaines dans des souris, qu’on pouvait augmenter si on veut le rejet de la tumeur et faire en sorte que le système immunitaire de l’individu soit capable de reconnaître à nouveau la récidive et rejeter les cellules tumorales », explique le Dr Fradet.

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Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

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Une étude suggère un nouveau traitement contre le cancer de la vessie

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont établi un lien entre une protéine retrouvée chez certains patients de façon héréditaire et le cancer de la vessie, ce qui pourrait mener à de nouvelles pistes de traitement, selon eux.

La protéine en question se nomme « cellule souche antigène de la prostate » et se retrouve également de façon massive chez les patients atteints du cancer du pancréas et de la prostate, notamment.

Le traitement éventuel auquel les chercheurs font référence est celui effectué par une concentration de traitement sur ces cellules de la tumeur, une façon de faire qui rend les spécialistes forts optimistes.

De tels traitements sont déjà à l’essai pour des cas de cancer de la prostate et du pancréas, et les chercheurs expriment le souhait de voir cette thérapie porter des fruits aussi dans le cas du cancer de la vessie.

Ceci s’inscrit encore dans cette nouvelle philosophie en oncologie, alors que l’on parle beaucoup plus de « cibler les cellules » et de « greffe de cellules » que de chimiothérapie dans les traitements de l’avenir.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont là pour rester, mais pourraient grandement bénéficier de l’appui de ces traitements ciblés au niveau des cellules.

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Des herbes très dangereuses pour la santé liées à des cas de cancer

De plus en plus de gens se tournent vers les médecines alternatives pour tenter d’enrayer des problèmes de santé, mais certains produits seraient hautement dangereux pour la santé, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est le cas des herbes qui contiennent de l’acide aristolochique, comme le Fang Chi.

Ce n’est pas la première fois que les agences de santé mettent la population en garde contre ce genre de produit. Une vaste campagne de sensibilisation avait été lancée en 2001, 2003 et 2005 au Canada et aux États-Unis, après que des tests aient révélé les dangers reliés à l’utilisation de produits contenant de l’acide aristolochique.

Cette fois, une étude taïwanaise vient mettre le clou final au débat, alors qu’elle conclut que des cas de cancers de la vessie et des reins sont directement liés à la prise de ces herbes. Plus précisément, l’étude parle de cas recensés chez des herbalistes et homéopathes qui ont été en contact direct et fréquent avec ces produits, dont le Fang Chi.

Le deux tiers des personnes au nombre des cas recensés étaient des femmes.

Plusieurs produits contenant de l’acide aristolochique sont toujours vendus en magasins en Asie, et les spécialistes tiennent mordicus à l’implantation de lois plus strictes pour en freiner la vente.

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Le prince Philip hospitalisé

C’est le petit-fils de Philip, le prince Harry, qui en a fait l’annonce plus tôt aujourd’hui (4 juin).

Le Duc d’Édimbourg, qui aura 91 ans dimanche prochain (10 juin), ne pourra donc pas assister au concert du jubilé où se produiront entre autres Kylie Minogue, Jessie J et Gary Barlow.

Le prince Philip a été hospitalisé préventivement pour cette infection qui est ciblée et traitée en ce moment. Il restera toutefois en observation durant quelques jours.

L’un des déclencheurs de cette infection a pu être le concours du jubilé de la Reine qui se déroulait sur la rivière dimanche dernier. Sa famille et lui étaient restés longtemps sous la pluie afin d’assister à l’activité.

« Il est, évidemment, désolé de manquer le Diamond Jubilee Concert de lundi et ses engagements de mardi », décrit l’annonce émise par le Palais de Buckingham.

Rappelons que ce n’est pas la première fois que le prince est hospitalisé. L’an dernier, il avait été admis aux urgences pour des douleurs de la poitrine et a dû subir une angioplastie coronarienne.

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Pipi au lit : la constipation est souvent la coupable

Selon une étude du Wake Forest Baptist Medical Center, si la constipation n’est pas diagnostiquée, les enfants et leurs parents doivent supporter une quête inutilement longue, coûteuse et difficile à guérir.

« Avoir trop de selles dans le rectum réduit la capacité de la vessie », a déclaré l’auteur principal de l’étude, Steve J. Hodges, professeur adjoint d’urologie au centre.

30 enfants et adolescents qui cherchaient un traitement pour l’énurésie ont été examinés par les chercheurs avec des rayons X. Tous avaient de grandes quantités de selles dans le rectum, plus que la majorité des autres jeunes ayant des habitudes intestinales normales.

En trois mois, grâce à un traitement laxatif, 25 des 30 enfants (83 %) ont été guéris de l’énurésie nocturne.

Selon les spécialistes, l’un des problèmes majeurs est que les enfants ne sont souvent pas capables de décrire ou de cerner des habitudes intestinales compatibles avec la constipation (selles non quotidiennes et consistance dure).

Les chercheurs avertissent que tout traitement médical pour l’énurésie doit être supervisé par un médecin.

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L’incontinence reliée au TDAH

Des chercheurs avancent l’hypothèse qu’un enfant atteint d’un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) serait plus enclin à souffrir d’incontinence durant le jour.

Comme nous l’apprenons dans le Journal of Urology, on a remarqué depuis longtemps ce lien, mais cette fois, on en présente une certaine preuve. Il semble en effet qu’un enfant qui est incontinent est quatre fois plus susceptible de souffrir du TDAH.

Dans le cadre de la présente étude, qui a été menée par l’Université de la Sarre, les parents de 1300 enfants (de 5 à 7 ans) ont répondu à des questionnaires.

Il en est ressorti que parmi les 49 enfants qui présentaient des problèmes d’incontinence diurne, 18 étaient aussi atteints du TDAH, ce qui revient à 37 %. Chez ceux qui n’étaient pas incontinents, seuls 40 avaient un TDAH, ce qui représente 3 %.

Les chercheurs ont par ailleurs isolé certains facteurs, tels la déficience intellectuelle et un trop jeune âge.

Cette recherche s’inscrit donc avec de précédentes à démontrer le lien existant entre ces deux troubles. Toutefois, on ne pourrait statuer si l’une des conditions engendre l’autre, ou si elles prennent leurs sources dans les mêmes causes.

Une possibilité serait un retard de maturation : le TDAH est effectivement lié à un tel retard au cerveau, ce qui pourrait aussi concerner la vessie.

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Boire à sa soif suffit pour maintenir une bonne santé

Un réseau de médecins français met en garde les jeunes filles concernant leur consommation excessive d’eau.
 
En effet, il y a une nette tendance, surtout chez les jeunes filles, à consommer jusqu’à trois ou quatre litres d’eau par jour, en raison des bienfaits vantés pour la santé et la silhouette.
 
Seulement, ces filles urinent seulement trois fois par jour bien souvent. La vessie se distend donc, conduisant à des problèmes beaucoup moins intéressants comme des douleurs à la vessie, des fuites à l’effort et des infections urinaires.
 
Heureusement, il existe un moyen de remédier à ces inconvénients en buvant moins et en urinant plus souvent. Plusieurs personnes ne le font pas par manque de temps ou contraintes professionnelles.
 
« Nous tirons un signal d’alarme devant la recrudescence des pathologies urinaires de la femme dues au mythe des bienfaits de l’eau. Le profil type, c’est la jeune femme dynamique qui a sa petite bouteille d’eau dans son sac, qui boit régulièrement de l’eau parce qu’on lui a dit que c’était important, mais qui, du fait de son activité, ne prend pas le temps d’uriner régulièrement », mentionnent les chercheurs.
 
Il y a trois ans, le Journal of the American Society of Nephrology disait qu’il n’existait aucune preuve des avantages de boire plus que notre soif pour le corps. Donc, boire à sa soif est suffisant pour maintenir une bonne santé.
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Trop de fromage augmenterait les risques de cancer de la vessie

Des scientifiques viennent de découvrir que manger beaucoup de fromage régulièrement augmenterait les chances d’avoir un cancer de la vessie de 50 %. Les risques apparaissent avec une portion quotidienne de 53 grammes et plus de fromage. En deçà de cette quantité, il n’y aurait aucun danger, selon l’étude parue dans l’European Journal of Cancer.
 
Les chercheurs arrivent à ces résultats après avoir étudié les habitudes alimentaires de 200 victimes du cancer de la vessie et 386 personnes n’ayant pas été malades. 
 
Cependant, on précise que des recherches plus approfondies sont nécessaires, car l’échantillon de personnes est trop petit pour affirmer que le fromage représente un risque majeur.
 
En fait, ce sont les graisses saturées des produits laitiers qui seraient en cause, mais pour le lait, les résultats constatés n’étaient pas assez significatifs pour conclure qu’il y avait un risque accru de cancer.
 
Parmi les autres facteurs de risque qui ont une incidence sur le cancer de la vessie, on note le tabagisme, l’exposition à des produits chimiques au travail et les infections de la vessie répétées.