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La Bugatti Veyron version Super Sport

Avec 1001 chevaux et plus de 400 km/h, la Bugatti Veyron avait déjà repoussé les limites des performances proposées sur une voiture de route.

Mais face à la pression des petits artisans comme 9ff ou Koenigsegg, le constructeur de Molsheim ne pouvait pas rester sans réagir.

Les ingénieurs de Bugatti ont donc repris le travail, retouchant les turbo et les échangeurs d’air, les suspensions, les barres antiroulis et le système d’échappement afin d’optimiser encore le W16.

Le résultat est impressionnant : 1200 chevaux et 1500 Nm de couple! Grâce à cette vitalité retrouvée, la Bugatti Veyron 16.4 Super Sport a pu ridiculiser son précédent record en homologuant un passage moyen à 431 km/h!

Les clients verront cependant leur voiture bridée à 415 km/h afin de préserver une petite marge de manœuvre pour les pneus et les trains roulants.

Physiquement, la Veyron voit son bouclier avant retouché ou sa sortie d’échappement passer d’un élément simple à une double évacuation centrale.

Les 5 premiers exemplaires, habillés de la même robe orange et carbone brut que le modèle en photo, ont déjà tous été vendus à un prix non précisé, mais probablement au-delà des 2 millions de dollars…

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Genève 2010 : Koenigsegg Agera

Au milieu des Ferrari 599 Hybride et GTO, des Porsche 911 Turbo S, des Lamborghini Gallardo Superleggera et autre Maserati Quattroporte, il faut frapper fort pour se faire remarquer.

Le petit constructeur Koenigsegg est un habitué de cette philosophie. Alors, pour se consoler de n’avoir pu racheter Saab, l’artisan attirera l’attention avec un nouveau modèle.

Baptisée Agera, cette nouvelle Koenigsegg est en réalité une évolution de la CCX sur le plan du style et un bond en avant côté motorisation.

Pas franchement discrète, la Koenigsegg CCX sera éclipsée par l’Agera : carrosserie grise mate, jantes noires, feux de jour en DEL, toit amovible en carbone, aileron… L’Agera fait dans le viril, et ça fonctionne.

Côté fonctionnement justement, il sera assuré par l’habituel V8 de 4,7 litres développant, accrochez-vous, 911 chevaux! Grâce à l’emploi massif de carbone et de kevlar, la Koenigsegg Agera ne pèse cependant que 1 290 kilos.

Du coup, les performances sont du même acabit que celles de sa concurrente désignée, la Bugatti Veyron, soit 0 à 100 km/h en 3,1 secondes, 0 à 200 km/h en 8,9 secondes et vitesse maximale de 395 km/h.

La note devrait aussi être proche de celle de la Bugatti Veyron, c’est-à-dire au-delà du million d’euros (près de 1,5 millions de CAD).

 

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Étude de style : Bugatti Renaissance

Alors que Bugatti ne donne toujours aucune indication sur le ou les futurs modèles de sa gamme, la marque aux 1 001 chevaux continue de faire fantasmer les designers du monde entier.

C’est un diplômé de l’Université Emily Carr de Vancouver, John Mark Vicente, qui s’illustre aujourd’hui avec son étude « Renaissance ».

Le supercar virtuel s’inspire bien sûr fortement de la Veyron, mais y ajoute une touche de folie et de bestialité bienvenue.

On retrouve bien sûr les gadgets de Bugatti disséminés çà et là, dont la fameuse grille de calandre, ainsi que des éléments plus modernes, comme les phares DEL et les écopes au dessus des roues.

On remarque également l’utilisation à outrance du carbone apparent et les immenses jantes cerclées de rouge.

Pour le reste, chacun jugera selon ses goûts.

 

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Trois Bugatti spéciales à Dubaï

La marque de Molsheim restera fidèle à son image de spécialiste des séries limitées en présentant à Dubaï trois éditions spéciales de la Bugatti Veyron.

La première, baptisée Nocturne, sera commercialisée à 5 exemplaires au tarif de 1,65 million d’euros (environ 2,5 millions de dollars canadiens). Elle se distingue par ses flancs noirs, ses jantes spécifiques et quelques menus détails qui ne justifient pas vraiment la hausse de 400 000 euros par rapport au tarif d’une Veyron traditionnelle.

La seconde édition limitée l’est encore plus, puisqu’un seul exemplaire de la Veyron Sang d’Argent sera produit. Là encore, pour un tarif de 1,45 million d’euros (environ 2,25 millions de dollars canadiens), l’heureux acheteur n’aura le droit qu’à un intérieur et des couleurs spécifiques ainsi qu’aux jantes du cabriolet Grand Sport.

C’est d’ailleurs un exemplaire unique du cabriolet Veyron Grand Sport qui complète le trio. Baptisé Soleil de Nuit, celui-ci s’échangera contre un chèque de 1,55 million d’euros (environ 3,4 millions de dollars canadiens). Il se dote encore une fois d’une livrée spécifique bleue, d’un cuir orange à l’intérieur et de jantes empruntées à la Veyron Sang Noir.

Au pays des 1 001 nuits, il n’y a pas 1 001 façons de vendre les 1 001 chevaux d’une Veyron, seule l’exclusivité est payante il faut croire.

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La Arash AF-10 en route

Pourtant, l’Arash AF-10 coche bien toutes les cases de la folie automobile.

Tout d’abord, elle utilise une matière complexe et coûteuse, le carbone. Contrairement à la Noble M600 qu’elle souhaite concurrencer, la AF-10 utilise cette fibre, aussi légère que rigide, dans le châssis en plus de s’en servir pour la carrosserie. Si le poids n’a pas encore été communiqué, on peut avancer un chiffre autour de 1 200 kilos.

Ensuite, la puissance doit être déraisonnable, mais, surprise, le V8 de 7 litres en provenance de la Corvette Z06 ne développe que 550 chevaux. Arash a tout de même prévu une AF-10S avec un turbo permettant de pousser le bloc à 800 chevaux. Une troisième version de 1 001 chevaux est même au programme.

Preuve de la réalité du projet, le chef du développement se nomme Loris Bicocchi et a déjà travaillé sur la Koenigsegg, la Bugatti Veyron et la KTM X-Bow.

Évidemment, le tarif est à la hauteur de la folie du projet puisque les 70 exemplaires prévus dans les 5 prochaines années coûteront 320 000 livres, soit 556 000 dollars canadiens.

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La Bugatti 16C Galibier à Los Angeles

Ainsi, après avoir présenté son concept de berline 16C Galibier lors d’un événement privé à Molsheim quelques jours avant le salon de Francfort, c’est dans une galerie et non au salon de Los Angeles que la voiture se déplace.

La Beverly Hills Ace Gallery a accueilli la première berline Bugatti devant un public exclusivement constitué de clients et de « faiseurs d’opinions » sélectionnés par la marque.

Créant d’autant plus de discussion par la rareté de ses apparitions, la Bugatti 16C Galibier est donc en train de passer les différents tests de « faisabilité ».

Le groupe VW, propriétaire de la marque de Molsheim, n’a en effet pas encore communiqué d’informations sur l’éventualité de produire la berline. Ce sont probablement ces rencontres avec les riches et puissants de ce monde qui décideront du sort de la Galibier.

Rappelons que la 16C est équipée d’un moteur de 8 litres et 16 cylindres capable de fonctionner à l’éthanol, de 4 roues motrices et de freins céramiques développés spécialement pour elle.

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La Veyron de Bugatti a 100 ans

Pour célébrer cet événement comme il se doit, Bugatti a dévoilé des éditions limitées de la Veyron Centenaire special editions. Une course spéciale a été organisée le week-end dernier en son honneur, mettant en vedette les pilotes Malcolm Campbell, Jean-Pierre Wimille, Achille Varzi et Hermann Zu Leiningen. Ces derniers pilotaient tous une édition limitée de la Veyron.

Au premier abord, l’édition centenaire ressemble à la Veyron habituelle. On remarque cependant de nouvelles roues en alliage inspirées de la Bugatti Type 35. Les portières, la calandre et les étriers de freins ont aussi subi quelques retouches.

La mécanique de la Veyron n’a pas été revue. Remarquez qu’avec une telle cavalerie sous le capot, il serait difficile de faire mieux…