Catégories
Uncategorized

Un peu de viande maigre pour diminuer votre pression artérielle

Une information contradictoire, si l’on en croit les nombreuses recherches qui affirment que la viande rouge et même le porc augmentent le risque de maladies cardiovasculaires, la prise de poids et même le cancer du sein.

Pourtant, une nouvelle étude effectuée par des chercheurs de la Penn State University suggère que la consommation de bœuf maigre renforcerait le cœur et réduirait la pression artérielle. Cependant, il faut intégrer la viande rouge dans le cadre d’un régime alimentaire sain.

Pour le professeur en nutrition de l’université, Penny M. Kris-Etherton, « cette recherche ne fait qu’ajouter à l’évidence d’autres études de notre laboratoire qui soutiennent que le bœuf maigre joue un rôle important dans une saine alimentation ».

En tout, 36 volontaires de 30 à 65 ans se sont prêtés à l’étude, mentionne Science World Report. On leur a imposé 4 différents régimes alimentaires. Ils passaient de l’un à l’autre avec une semaine de pause entre chaque régime, puis leur pression artérielle était mesurée à chaque transition.

Le régime alimentaire comprenant le plus de protéines maigres fut le plus efficace pour la réduction de la tension artérielle.

La recherche a été publiée dans la revue Journal of Human Hypertension.

Catégories
Uncategorized

Réduisez vos symptômes du côlon irritable en modifiant votre alimentation

Vous savez que les symptômes, si vous souffrez du côlon irritable, peuvent être insupportables. Douleurs et crampes abdominales, gaz et ballonnements, en plus de constipation et diarrhée, selon le cas.

Pour diminuer ou même éviter la plupart de ces malaises, suivez ces conseils suggérés par amelioretasante.com.

Tout aliment frit est un ennemi pour la personne qui souffre du syndrome du côlon irritable (SCI). Ce qui signifie qu’en plus des « fastfoods » locaux, vous devez modifier votre méthode de cuisson si vous aimez la friture. Faites-les plutôt rôtir au four ou sur le gril.

Toute viande rouge représente un obstacle pour le SCI. Elle se digère plus lentement, ce qui est problématique. Préférez-la cuite longuement, comme dans un ragoût. La viande rouge comprend aussi le jambon et les saucisses.

Remplacez les produits laitiers à tout prix, puisqu’ils sont garants de diarrhée et de constipation. Heureusement, vous pouvez au moins remplacer le lait de vache par du lait de soya ou d’amandes.

Dites adieu à votre dent sucrée. Tant les sucres naturels qu’artificiels vous causeront des troubles de digestion.

Compensez la caféine avec de l’eau, du thé vert ou du jus de fruits (naturel) en quantité suffisante.

Catégories
Uncategorized

Risque d’arrêt cardiaque pour les hommes qui mangent de la viande rouge transformée

Medical News Today rappelle que les viandes rouges transformées sont celles préservées à l’aide de la salaison, le séchage ou le fumage et l’ajout d’agents de conservation. Parmi celles-ci, on retrouve les viandes froides comme le salami et le jambon, le bacon et les saucisses à hot-dog.

« Les viandes rouges transformées contiennent habituellement du sodium, des nitrates, des phosphates et d’autres additifs », explique Alicja Wolk, professeure à la division d’épidémiologie nutritionnelle de l’Institut de médecine environnementale de Stockholm, en Suède.

Plus de 37 000 Suédois âgés de 45 à 79 ans ont été suivis de 1998 à 2010, ou avant s’ils recevaient un diagnostic d’insuffisance cardiaque ou décédaient. Les participants avaient tous rempli un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires et autres habitudes de vie.

Les hommes qui consommaient le plus de viandes rouges transformées avaient deux fois plus de risques de mourir d’une insuffisance cardiaque, et 28 % plus de risque de souffrir d’un arrêt cardiaque.

Pour chaque tranche additionnelle de 50 g (1 à 2 tranches de jambon) quotidiennement, le risque d’arrêt cardiaque augmentait de 8 %, et le risque de décès de 38 %

Catégories
Uncategorized

Risque de cancer du sein si l’on consomme trop de viande rouge

Comme le rapporte Medical News Today, il existe déjà de nombreux facteurs de risque de développer le cancer du sein, et la viande rouge ne représentait pas nécessairement l’un d’entre eux.

Or, les études précédentes se basaient sur le régime alimentaire des femmes adultes jusqu’à la ménopause. Une nouvelle recherche fait la lumière sur un risque réel, en rapport avec la consommation de viande rouge chez les adolescentes.

Les données de 88 803 femmes de 26 à 45 ans ont été récoltées, mais en plus de leur régime alimentaire présent, les spécialistes compilaient les informations sur l’alimentation à l’adolescence. Les autres aliments riches en protéines faisaient également partie du questionnaire soumis.

Le suivi a été effectué pendant 20 ans, et selon les rapports médicaux, les chercheurs ont relevé 2830 cas de cancer du sein.

Il s’est avéré que la consommation de viande rouge avant la période adulte avait un impact direct sur le risque de cancer du sein (22 % plus de risque).

Au contraire, celles qui consommaient plus de poulet durant la même période abaissaient leur risque de développer un cancer du sein. Remplacer un repas de viande rouge par une autre source de protéine permettait une diminution du risque de 14 %.

Catégories
Uncategorized

La viande rouge mauvaise pour le coeur

Depuis longtemps, le gouvernement recommande une consommation quotidienne maximale de 2,5 onces de viande rouge. Il en est ainsi depuis qu’il a été découvert qu’un trop grand apport est lié au cancer des intestins et à des troubles cardiovasculaires.

Le Dr Stanley Hazen, qui était à la tête d’une récente recherche, a découvert qu’un haut taux de carnitine dans le sang causait certaines maladies cardiaques, mais seulement chez les gens présentant un haut taux d’oxyde de triméthylamine (TMAO).

Comme on peut le lire dans le magazine Nature Medecine, Hazen dit : « Une alimentation riche en carnitine transforme la composition de nos microbes intestinaux, qui deviennent des microbes aimant la carnitine, ce qui rend les mangeurs de viande encore plus sensibles à la formation de TMAO et à son effet obstruant pour les artères ».

Sachant que la carnitine est une molécule souvent vendue en tant que complément alimentaire et présente de façon naturelle dans la viande rouge et les produits laitiers principalement, éviter une trop grande consommation de ces produits pourrait vous sauver la vie.

Le spécialiste suggère que ça pourrait expliquer pourquoi les végétariens et végétaliens présentent généralement un meilleur bilan de santé cardiovasculaire que les mangeurs de viande.

Catégories
Uncategorized

La viande rouge augmente les risques de cancer à cause du fer

La viande rouge était déjà liée à un risque accru de cancer de l’intestin, mais les scientifiques ont peut-être trouvé la cause de ce phénomène.

Selon le Daily Mail, les niveaux élevés de fer dans la viande rouge seraient en cause, mais seulement si la personne a un gène défectueux dans l’intestin, soit le gène APC.

Des souris ayant ce gène défectueux avaient entre deux et trois fois plus de risques de développer la maladie lorsqu’elles avaient une alimentation riche en fer.

Toutefois, lorsque le gène n’était pas défectueux, même avec une consommation de fer, les souris ne développaient pas plus de cancer.

Il est donc clair que le fer joue un rôle dans le développement du cancer. Seulement, des études plus approfondies doivent être effectuées pour parvenir à des conclusions claires et probantes sur le mécanisme en cause.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

La viande rouge réduit l’espérance de vie

Une étude parue dans les Archives of Internal Medicine mentionne que d’augmenter sa consommation quotidienne de viande rouge d’une portion (100 g) hausse les risques de décès jusqu’à 20 %.
 
L’équipe de la Harvard School of Public Health dit qu’il serait bénéfique de remplacer la viande rouge par des poissons ou de la volaille, ce qui réduirait les risques de décès.
 
Selon la recherche, augmenter la consommation de viande rouge d’une portion par jour hausse de 12 % les risques de mortalité, toutes causes confondues. Cela passe à 13 % pour les viandes rouges non transformées et à 20 % pour les viandes rouges transformées.
 
« Nous constatons qu’un apport plus élevé de viande rouge est associé à un risque significativement plus élevé de mortalité, de décès en raison de maladies cardiovasculaires et de cancer, et cette association est observée pour la viande rouge non transformée et transformée, avec un risque relativement plus élevé pour la viande rouge transformée. Consommer plutôt du poisson, de la volaille, des noix, des légumes, des produits laitiers allégés et des grains entiers en remplacement de la viande rouge est associée à un risque significativement moindre de mortalité », expliquent les auteurs des travaux.
 
Catégories
Uncategorized

La viande rouge réduit l’espérance de vie

Une étude parue dans les Archives of Internal Medicine mentionne que d’augmenter sa consommation quotidienne de viande rouge d’une portion (100 g) hausse les risques de décès jusqu’à 20 %.
 
L’équipe de la Harvard School of Public Health dit qu’il serait bénéfique de remplacer la viande rouge par des poissons ou de la volaille, ce qui réduirait les risques de décès.
 
Selon la recherche, augmenter la consommation de viande rouge d’une portion par jour hausse de 12 % les risques de mortalité, toutes causes confondues. Cela passe à 13 % pour les viandes rouges non transformées et à 20 % pour les viandes rouges transformées.
 
« Nous constatons qu’un apport plus élevé de viande rouge est associé à un risque significativement plus élevé de mortalité, de décès en raison de maladies cardiovasculaires et de cancer, et cette association est observée pour la viande rouge non transformée et transformée, avec un risque relativement plus élevé pour la viande rouge transformée. Consommer plutôt du poisson, de la volaille, des noix, des légumes, des produits laitiers allégés et des grains entiers en remplacement de la viande rouge est associée à un risque significativement moindre de mortalité », expliquent les auteurs des travaux.
 
Catégories
Uncategorized

La viande rouge aussi liée au cancer de la prostate

Par le passé, il a été démontré que la consommation de viande rouge pouvait favoriser l’apparition du cancer du côlon, mais une étude publiée dans PLoS ONE ajoute ce que serait aussi le cas pour le cancer de la prostate.
 
Des chercheurs de l’Université de la Californie à San Francisco ont analysé une étude réalisée entre 2001 et 2004 sur 982 personnes, soit 470 hommes avec un cancer agressif de la prostate et 512 qui n’avaient pas le cancer.
 
Ils ont été questionnés sur leur consommation de viande, mais également sur le type de viande consommée, le type de préparation et le niveau de cuisson.
 
On estime qu’une consommation de viande hachée ou transformée, surtout le bœuf, est grandement liée à un risque accru d’un cancer agressif de la prostate.
 
Les viandes bien cuites, grillées ou cuites au BBQ favorisent également la maladie.
 
De plus, les hommes qui consomment du bœuf haché bien ou très bien cuit auraient deux fois plus de risques d’avoir un cancer de la prostate. Une plus faible consommation augmente les risques de 1,5 fois, comparativement aux personnes qui n’en mangent pas.
 
Toutefois, l’étude n’a pas pu établir de lien entre la viande cuite à point et saignante.
 
Maintenant, une plus vaste étude est nécessaire pour confirmer ces résultats.
 
Catégories
Uncategorized

Le cancer colorectal lié à l’alimentation

Selon une récente étude du Simmons College à Boston, l’alimentation serait liée au cancer colorectal chez la femme. Le taux de C-peptide, une protéine qui augmente le risque de ce type de cancer, serait associée à une alimentation en particulier, lit-on sur ScienceDaily.

Par exemple, les risques de cancer colorectal, chez la femme, seraient accrus si elle consomme beaucoup de viande rouge, de poisson à chair rouge et de boissons gazeuses. À l’inverse, une faible consommation de grains entiers, de produits laitiers et de café augmenterait le taux de peptide-C.

On explique que cette étude donne une explication de plus quant à la relation entre l’alimentation et le risque de cancer colorectal, ainsi que ses mécanismes. Il semble que ce type de cancer en soit un sensible à l’insuline.

L’étude en question s’est étendue sur 22 ans. Des femmes devaient fournir un suivi, à l’aide d’un questionnaire, sur leur alimentation. Le questionnaire comprenait 130 aliments; les participantes devaient indiquer le nombre de fois qu’elles en mangeaient ou buvaient.

Les femmes qui suivaient le modèle alimentaire expliqué plus haut se sont avérées, une vingtaine d’années plus tard, avec des risques de cancer colorectal 35 % plus élevés. Aussi, ces risques étaient plus marqués chez les femmes en surpoids que chez celles qui étaient minces – les gens inactifs et avec un excès de poids semblent plus influencés par l’alimentation.