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La viande rouge et l’exercice vantés pour contrer les effets du vieillissement

La viande rouge ne connaît pas ses meilleurs moments depuis quelques années, étant sauvagement vilipendée par plusieurs lobbys et spécialistes en santé et nutrition.

Les amateurs de viande rouge se consoleront peut-être avec les conclusions de cette nouvelle étude rapportée par Medical News Today, qui vante pour une rare fois les mérites de la viande rouge.

L’étude de l’Université Deakin affirme en effet que des apports en viande rouge maigre et de l’exercice physique régulier peuvent permettre d’éviter certains signes de ralentissements cognitifs dus au vieillissement, et ainsi réduire les risques de développement de la maladie d’Alzheimer et de la démence.

« Considérant les résultats de l’étude, nous croyons que de manger les trois ou quatre portions recommandées par semaine et de les combiner avec un programme d’entraînement pourrait s’avérer la clé pour conserver le corps et l’esprit en condition optimale », explique le professeur Robin Daly.

Ces conclusions peuvent étonner et vont à contresens de plusieurs théories anti-viandes véhiculées abondamment depuis quelques années, mais semblent on ne peut plus réalistes.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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La malbouffe liée au développement de la maladie d’Alzheimer

Il existerait un lien entre des composantes de divers aliments jugés mauvais pour la santé et une hausse des risques de faire de l’Alzheimer.

Ces résultats, rapportés par The National Library of Medicine, sont ceux obtenus après qu’une équipe de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine de New York aient testé l’impact de ces aliments sur des rongeurs.

Les souris tests ont présenté des traces accrues de bêta-amyloïde au cerveau après que les chercheurs aient intégré dans leur alimentation des composantes retrouvées dans la malbouffe.

La bêta-amyloïde est une protéine responsable des plaques amyloïdes, l’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.

On retrouve ces composantes alimentaires néfastes et propices au développement de l’Alzheimer dans les viandes chauffées à haute température, comme les viandes frites et bouillies, ainsi que dans les produits laitiers pasteurisés.

« On ingère ces toxines par grandes quantités au cours d’une vie », lance la docteure Helen Vlassara, qui dirige les travaux.

Même si Vlassata et son équipe doivent démontrer une cause à effet directe, il s’agit d’une des premières études à démontrer efficacement un possible lien entre la malbouffe et l’Alzheimer.

Les conclusions de ces recherches ont été publiées dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Des chercheurs québécois démontrent l’importance de l’asparagine pour le cerveau

Des chercheurs québécois proposent les conclusions d’une recherche qui contredit plusieurs spécialistes et qui démontre l’importance du rôle de l’asparagine sur le cerveau humain, rapporte MedicalNewsToday

C’est que l’asparagine, que l’on retrouve dans l’alimentation au sein des œufs, des viandes et des produits laitiers, n’était pas suggérée par les experts jusqu’à maintenant. Ces derniers affirment plutôt que le corps en produit de lui-même, ce qui ne rend pas nécessaire la consommation d’œuf ou de viande, ou encore de suppléments, pour en assurer les apports.

Mais pour les chercheurs de l’Université de Montréal et de Sainte-Justine, cela n’est vrai que dans le cas des cellules du corps, mais beaucoup moins lorsqu’il est question du cerveau et de son développement.

Ainsi, l’équipe de spécialistes du Québec croit que le rôle de l’asparagine pourrait mener à un traitement de certaines maladies cérébrales et du développement.

« … l’asparagine n’est pas bien transportée au cerveau via la barrière sang-cerveau. Nous ne sommes pas sur le point de trouver des remèdes miracles, mais au moins, nous savons où regarder », lance le Dr Jacques Michaud, directeur de cette recherche.

Il s’agit d’une étude qui pourrait changer la donne dans la compréhension du cerveau, de son développement et de ses besoins.

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Le bacon nuirait aux chances de conception chez l’homme

La passion de l’homme pour le bacon comporterait un danger majeur, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK). En effet, la consommation de cette viande serait nuisible au sperme et, par conséquent, aux chances de conception masculine.

C’est ce que croit une équipe de chercheurs américains de Harvard, qui présentera cette semaine une nouvelle étude sur le sujet lors d’une rencontre de l’American Society for Reproductive Medicine, à Boston.

Les chercheurs de Harvard croient que cette conclusion s’applique aussi aux autres viandes transformées, et pas qu’au bacon, et que même une consommation modérée peut nuire aux chances de procréer.

Les chercheurs ont remarqué une baisse des spermatozoïdes viables chez les consommateurs de ces viandes, et conseillent vivement aux hommes qui désirent avoir un enfant de se mettre au poisson.

« Nous avons découvert que la consommation de viandes transformées réduit la qualité, alors que le poisson l’augmente », résume la Dre Myriam Afeiche, chercheuse en tête de ces recherches.

Le Dr Allan Pacer, de la British Fertility Society, croit cependant qu’il s’agit d’une étude minimale, et qu’il faut être prudent avant de tirer des conclusions aussi précises.

« La relation entre la diète et la fertilité masculine en est une intéressante, et il y a maintenant des preuves convaincantes que les hommes qui mangent plus de fruits et de légumes ont une meilleure qualité de sperme que ceux qui n’en mangent pas. Cependant, on en sait beaucoup moins sur les impacts d’une mauvaise diète, et sur les aliments qui pourraient être liés à une baisse de fertilité. »

Encore une fois, donc, une saine alimentation est à prescrire chez les couples qui souhaitent concevoir, tout comme elle l’est pour la population en général en tout temps.

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Prévenir l’E. coli directement à la source

Des chercheurs britanniques affirment qu’il serait possible d’abaisser les statistiques de cas d’éclosion de la bactérie E. coli de près de 85 %, rapporte The National Library of Medicine.

Pour y parvenir, l’équipe du spécialiste Stuart Reid,  basée à l’Université de Londres, croit qu’il faudrait enrayer le problème directement à la source, c’est-à-dire en vaccinant les animaux potentiellement porteurs de la maladie.

« Autant que l’on sache, le risque le plus élevé pour les humains provient de ces animaux qui portent la bactérie. Si le vaccin a un impact sur ces animaux, le risque pour les humains est proportionnellement réduit », explique Reid, qui parle bien sûr des bovins et des animaux destinés à finir dans nos assiettes.

Reid et son équipe poursuivent leurs explications en affirmant qu’il existe une période faste de prolifération de l’E. coli chez les bovins, et que c’est précisément lors de cette période qu’il faudrait agir massivement.

Si les vaccins permettent de réduire les risques de transmission de la bactérie de 50 %, Stuart Reid croit que le moment de l’opération peut faire grimper cette statistique à 85 %.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition du journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Le sexe et le sommeil devant la télé pourraient contribuer à la dépression

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions étonnantes tirées d’une étude sur les troubles dépressifs en provenance du NHS, en Angleterre.

On y apprend qu’outre les facteurs de risques déjà connus en matière de dépression et de troubles de l’humeur, par exemple la vie sociale et amoureuse, l’argent et le stress professionnel, plusieurs autres peuvent venir s’ajouter à la liste et vous mener tout droit vers une dépression. Et certains ont de quoi surprendre…

À commencer par le sexe, qui semble laisser des traces de tristesse chez plusieurs personnes, malgré son effet bienfaiteur à très court terme. Un tiers des femmes, par exemple, ressentiraient cet effet retour, si l’on se base sur des chiffres issus d’une étude australienne.

Plus étonnant encore, un autre facteur de risque de la dépression serait de s’endormir devant la télévision. Si plusieurs personnes (célibataires surtout) semblent apprécier le doux ronron du téléviseur la nuit, il appert que ce dernier est très mauvais pour la santé mentale. Même son de cloche en ce qui concerne les ordinateurs et autres engins du genre.

Quelques autres facteurs sont également mentionnés, comme une baisse de consommation de viande rouge, une surutilisation de médicaments (surtout les antidépresseurs, ironiquement), et même votre posture lorsque vous êtes assis!

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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

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Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Une autre étude accorde une plus grande longévité aux végétariens

Une autre bataille de la guerre opposant les amateurs de viande et les végétariens vient d’être gagnée par ces derniers, selon Nutrition News, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet accorde encore une fois plus de chances à ceux-ci de vivre plus longtemps.

C’est ce qui ressort, et de façon éclatante, d’une recherche effectuée par des chercheurs de l’Université Loma Linda en Californie.

Les chercheurs américains ont suivi les cas de plus de 70 000 personnes, tous membres d’un regroupement qui prône le végétarisme, sur une période de près de six ans.

Après avoir compilé les données, incluant les types de repas ingérés par les participants, l’équipe de spécialistes conclut que le groupe des végétariens a subi 12 % moins de décès que celui des carnivores.

On parle notamment de 19 % moins de chance de mourir d’un problème cardiovasculaire et d’une réduction des risques de mort par une dysfonction des reins, par exemple, ou encore du diabète. Voilà quelques exemples qui ont semblé tous pencher en faveur des végétariens.

Les risques de développer un cancer, cependant, ont semblé être les mêmes chez les deux groupes.

Pour terminer, l’incidence de la viande et du végétarisme semble affecter davantage les hommes que les femmes!

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Création de toutes pièces du premier hamburger génétique

Le clonage et la science des cellules souches ne connaissent pratiquement aucune limite. Mais de là à créer un hamburger synthétique, on croyait qu’il y avait un pas.

Or, selon plusieurs sources, dont Top Santé, un chercheur et son équipe ont pourtant réussi l’exploit de créer un hamburger de toutes pièces, surnommé en ce moment le « burger-éprouvette ».

Cette idée sortie tout droit d’un film de science-fiction est passée du rêve à la réalité pour ces chercheurs de l’Université de Maastricht, aux Pays-Bas. Ces derniers ont utilisé des cellules souches de vache, tout « simplement ».

Bien que la manœuvre soit décriée par plusieurs personnes, probablement avec raison, le directeur de cette recherche s’en défend.

« Aujourd’hui, nous utilisons 70 % de nos capacités agricoles à la production de viande. Il va falloir trouver des solutions de rechange. Si nous ne faisons rien, la viande va devenir un produit de luxe. La consommation de la viande bovine pourrait facilement conduire à la conversion d’une grande partie du reste des forêts de la planète en des pâturages stériles et entretenus d’ici la fin de ce siècle », explique avec certitude Mark Post, chef du projet.

Le hamburger doit être goûté la semaine prochaine, à Londres.