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Trucs et conseils : Mariner sa viande sans danger

Quoi de meilleur qu’une bonne viande bien marinée, peu importe son type de cuisson! La mode de la viande marinée prend d’ailleurs son envol lors de la saison estivale, moment de l’année où les chefs en herbe et les fanatiques du barbecue peuvent s’en donner à cœur joie.

Mais il existe certains dangers inhérents à cette pratique, et des bactéries peuvent s’immiscer entre vous et votre repas favori.

C’est pourquoi The National Library of Medicine rapporte une série de recommandations en la matière, initialement publiées par le Département de l’Agriculture américain, des conseils que chaque cuisinier devrait prendre le temps de lire.

D’abord, on mentionne l’importance de laisser sa viande mariner au réfrigérateur, et jamais sur le comptoir.

En ce qui concerne les durées, on parle de deux jours maximum pour les cubes de viande et la volaille, et cinq jours maximum pour le steak, le bœuf, le veau, l’agneau et les côtelettes.

Dernière recommandation : si vous réutilisez de la marinade qui a déjà été utilisée, faites la bouillir afin de tuer toutes les bactéries et ainsi assurer la sécurité totale de vos convives!

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Un lien entre la surconsommation de viande rouge et le diabète de type II est établi

Medical News Today rapporte les conclusions d’une étude traçant un lien entre la surconsommation de viande rouge et un risque accru de développer du diabète, notamment de type II.

Ce sont des chercheurs basés en Chine, à la National University of Singapore, qui publient cette recherche dans le prestigieux Journal of the American Medical Association.

Ces chercheurs asiatiques ont analysé le cas de près de 150 000 Américains en donnant suite à trois études sur le sujet, toutes concluantes.

Tout comme leurs prédécesseurs, les chercheurs en tête de l’étude ont constaté les effets à long terme d’une consommation élevée de viande rouge. On parle d’une durée moyenne de quatre ans avant de voir les risques de diabète de type II augmenter grandement à la suite d’une consommation accrue de ce type de viande.

En contrepartie, les sujets analysés qui avaient abaissé leur consommation de viande rouge ont vu leurs risques de développer ce type de diabète descendre de 14 %, toujours sur une période de quatre ans.

Les chercheurs confirment donc l’effet observable, mais rappellent que la viande peut apporter du bon, notamment du fer, mais que la modération est de mise.

Dans ce cas-ci, il semble que ce soit spécialement vrai!

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Anémie : Comment contrer un problème grandissant

Il appert que les carences en fer sont un problème commun de nos jours, selon ce que rapporte notamment Top Santé, qui fait état de statistiques en hausse concernant l’anémie en France.

Des chiffres semblables sont avancés au Québec, le manque de fer étant l’un des problèmes nutritionnels les plus observables au sein de la population en ce moment.

Un phénomène d’autant plus préoccupant qu’il toucherait fortement les enfants, les jeunes femmes et les femmes enceintes.

Pourtant, il existe plusieurs façons d’assurer des apports en fer adéquats. Pour commencer, il faut se tourner vers les viandes rouges. Oui, ces mêmes viandes qui n’ont pas bonne presse depuis quelques années. Il faut penser modération, mais sans s’abstenir des plaisirs de la viande, si vous êtes un amateur.

Après tout, les viandes rouges sont importantes pour les apports de forme héminique, contrairement aux légumes verts, qui se chargent plutôt de la forme non héminique.

Un bon rapport viande rouge et légumes verts est donc un excellent début. D’ailleurs, les mélanger dans une même assiette permet un impact optimal sur la santé!

Pour maximiser d’autant plus l’impact du fer ingéré, on suggère en terminant d’être vigilant à la consommation de café, de vin, de thé et de jus, qui peuvent faire baisser les apports en fer, si absorbés en même temps.

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Une étude prétend démontrer que les végétariens vivent plus longtemps

Slate rapporte une vaste recherche sur les habitudes alimentaires qui croit pouvoir conclure de façon efficace que les gens qui ne mangent pas de viande ont effectivement un potentiel accru de longévité.

L’étude, publiée par le magazine médical JAMA et rapportée également par le Wall Street Journal, comprend les analyses de plus de 70 000 personnes et de leurs habitudes alimentaires.

Faisant partie de la même communauté et devant se plier pour la plupart aux lois du végétarisme, les chercheurs ont comparé les taux de mortalité et les cas de décès de ces sujets en deux groupes, soient les végétariens convaincus et les mangeurs de viandes.

Conclusion? « Les choix alimentaires semblent avoir joué un grand rôle dans la protection des participants vis-à-vis des maladies cardiaques, dont les végétariens ont 12 % de chances de moins de mourir que les carnivores », expliquent les observateurs du Wall Street Journal.

Une raison de plus de calmer ses envies de viandes… En plus, on avance qu’avec la montée en flèche de population d’ici 2050, la planète entière pourrait devoir réviser ses habitudes alimentaires et faire passer ses apports de viandes de 20 à 5 %, afin de nourrir tout le monde!

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Des nutriments exclusifs à la viande?

Un journaliste d’Authority News se lève et affronte directement les végétariens et les militants anti-viande de ce monde, dans un article qui suscite beaucoup d’intérêt en ce moment.

Il fait état de plusieurs bienfaits de la viande, mais aussi des œufs et du poisson, en plus d’expliquer que ces aliments permettent des apports que les plantes et végétaux ne peuvent tout simplement pas fournir.

Ce serait particulièrement vrai lorsqu’on parle du cerveau et de ses besoins, rappelle Kris Gunnars, qui ne compte que pour 2 % de la masse d’un humain moyen, mais qui utilise 20 % de son énergie.

L’organe cérébral doit donc être nourri et alimenté de façon efficace, et le journaliste dresse une liste des éléments qui ne sont pas comblés par une diète végétarienne.

Du nombre, il note la vitamine B12, la créatine, la vitamine D3, la carnosine ainsi que le DHA, apparenté aux oméga-3 (retrouvés dans le poisson).

Plusieurs réactions sont déjà observables à la suite de la parution de cet article, qui ne laisse pas indifférent. Ce constat est par ailleurs partagé par plusieurs spécialistes, qui indiquent que l’apport en viande est important, mais avec modération.

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Réduire les risques de cancer du côlon liés au… barbecue

Vous avez bien lu, il semble que des risques de développer un cancer du côlon soient accrus lorsqu’on cuisine sur le barbecue, une activité bien populaire au Québec à l’arrivée de la saison estivale.

Heureusement, il existe des trucs pour réduire au maximum ces risques, comme le rapporte The National Library of Medicine.

D’abord, un grand pourcentage de ces risques est associé à l’utilisation de viandes rouges et transformées, souvent utilisées sur le grill en été.

Le choix de la viande est donc aussi important que la façon de la faire cuire, croient les spécialistes de l’American Institute for Cancer Research.

Il faudrait donc réduire ses apports en viandes rouges et transformées au profit des poissons et des volailles, qui peuvent devenir absolument succulentes avec l’ajout d’épices et de sauces typiquement estivales.

On conseille également de faire mariner sa viande préalablement durant environ 30 minutes, avant de l’apposer sur le grill. Il serait important de réduire le plus possible le temps passé à cuire la viande sur le barbecue, la durée de cuisson s’avérant un autre facteur de risque.

Pour terminer, servez les viandes et grillades avec des accompagnements abondants de légumes, et ne lésinez pas sur les fruits tout l’été pour contrecarrer les effets de vos écarts de conduite alimentaires estivaux!

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L’industrie du boeuf veut irradier votre viande

C’est toute une nouvelle qui nous parvient de CTV News, alors que le réseau de nouvelles rapporte une idée avancée par l’industrie canadienne du bœuf qui risque de ne pas faire l’unanimité.

Les industries alimentaires spécialisées dans le bœuf souhaitent utiliser une technique pour enrayer définitivement le problème de la bactérie E. Coli qui frappe sporadiquement à travers le pays.

Une technique… par irradiation. On veut en effet bombarder la viande de bœuf d’une énergie similaire à celle déployée par les rayons X et ainsi tuer dans l’œuf (ou dans le bœuf) tout risque de prolifération de l’E. coli.

« L’irradiation de la nourriture est probablement la plus efficace des interventions qu’on n’a pas encore utilisées. Lorsque vous ajoutez l’irradiation, en plus du système de sécurité existant, on pourrait essentiellement éliminer toutes les maladies liées à l’E. coli dans les produits du bœuf », lance avec désinvolture Mark Klassen, de l’association militante.

Si cela peut choquer, on apprend du même coup que l’on mange déjà de la nourriture irradiée, puisque la technique serait déjà appliquée sur les pommes de terre, les oignons ainsi que les épices, entre autres.

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Viande et santé : les antibiotiques sont-ils à blâmer?

NPR.org rapporte des conclusions révélatrices dans le dossier de la viande et de ses effets sur la santé. Comme vous le savez probablement, les experts suggèrent de limiter la consommation de viandes rouges, et plusieurs maladies et problèmes de santé comme les troubles cardiovasculaires et le cancer sont associés à la viande.

Le hic, c’est qu’il est difficile pour les chercheurs et spécialistes d’expliquer les raisons précises qui rendent la viande si « dangereuse » pour la santé en cas de surconsommation. On sait qu’il y a des risques, mais on ignore véritablement pourquoi…

Voici une théorie inspirée en provenance des États-Unis, publiée dans une étude de la FDA. Pour ces chercheurs, il faudrait peut-être se tourner vers les antibiotiques administrés aux animaux de ferme pour comprendre le phénomène.

Lorsque les éleveurs utilisent massivement ces antibiotiques, cela aurait pour effet de rendre les bactéries comme l’E. coli ou la salmonelle résistante aux traitements éventuels sur les patients qui contractent ces maladies, en plus d’être bien évidemment des éléments inquiétants à retrouver dans son assiette.

Les antibiotiques pourraient-ils aussi expliquer les risques de cancer accrus chez les consommateurs de viandes diverses?

Plusieurs groupes de pression s’indignent du phénomène et accusent les éleveurs d’abuser de ces substances sans aucune considération pour les consommateurs humains.

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Les viandes transformées peuvent mener à la tombe de façon prématurée

Manger un bon hot-dog est toujours agréable, mais ce délicieux repas pourrait bien vous mener à votre tombe beaucoup plus tôt que prévu, rapporte The National Library of Medicine.

Bien entendu, vous aurez compris qu’une seule saucisse ne vous tuera pas sur-le-champ, mais la consommation excessive des viandes transformées et/ou séparées mécaniquement enlèverait bel et bien des années à l’espérance de vie.

L’étude proposée par l’Université de Zurich est exhaustive, compilant les données recueillies auprès de 450 000 personnes, rien de moins. Les conclusions rapportées sont terrifiantes : 40 % plus de risques de mourir jeune chez les gens qui consomment fréquemment ces viandes (comme les saucisses, entre autres).

« Notre recommandation est de limiter sa consommation de viandes transformées à moins d’une once par jour. Nous connaissons certains mécanismes potentiels qui contribuent probablement au phénomène », lance Sabine Rohrmann de l’Université de Zurich.

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Comprendre l’impact du zinc sur la santé

De plus en plus de Nord-Américains consomment du zinc, que ce soit dans leur alimentation quotidienne ou par la prise de suppléments, apprend-on via le site de la National Library of Medicine.

Les spécialistes se penchent maintenant sur la question des impacts du zinc sur la santé, et une nouvelle étude qui vient de paraitre traite des effets potentiels du zinc sur les infections.

Plusieurs personnes en consomment d’ailleurs pour contrer les grippes et autres problèmes similaires, et l’étude menée par Daren Knoell de l’Université d’État d’Ohio semble approuver ce comportement. Pour l’équipe de Knoell, le zinc permet en effet d’améliorer le système immunitaire et, par conséquent, ses réponses.

« Nous croyons que nos découvertes vont aider à améliorer la compréhension des effets de ce métal plutôt banal sur notre système de défense, notamment face aux infections », déclare le chercheur.

Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de constater que le zinc se retrouve entre autres dans la viande rouge et la volaille, pourtant décriées par plusieurs nutritionnistes.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, puisque le zinc semble prometteur à bien des égards.