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À long terme, la viande fait grossir

La consommation quotidienne de viande entraînerait une prise de poids à long terme, conclut une étude faite sur 400 000 personnes de différents pays d’Europe.
 
Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, les chercheurs n’ont pas fait de différence entre la volaille, le veau, l’agneau, le bœuf, le porc et la charcuterie.
 
« Une augmentation de la consommation de viande de 250 grammes par jour est associée à une prise de poids de 2 kg de plus sur cinq ans », affirme l’épidémiologiste Anne-Claire Vergnaud.
 
Cette vaste étude a débuté en 1992. Le lien entre la prise de poids et la consommation de viande fait l’objet de différentes études depuis de nombreuses années. Les résultats sont toutefois contradictoires, mentionne le professeur Arnaud Basdevant.
 
« Pour certains, manger de la viande favorise la prise de poids. Pour d’autres, du fait de son apport en protéines, elle rassasie plus vite et limite donc la prise de poids », dit-il.
 
« Il faut noter que cette prise de poids supérieure s’observe chez les sujets qui étaient au départ les plus minces. Ce qui pose question, car cette étude repose sur les poids déclarés par les participants et non mesurés par les auteurs. Or, nous savons que les personnes en surpoids ont tendance à sous-estimer leur poids, tout comme elles évaluent mal leurs apports alimentaires. Ce qui peut biaiser les résultats », ajoute M. Basdevant au sujet de la présente étude.
 
De toute évidence, plusieurs s’entendent pour dire que pour avoir une bonne santé, on se doit de réduire notre consommation de viande.
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L’alimentation influencerait le moment des premières règles

Les fillettes qui consomment beaucoup de viande rouge ont leurs premières règles à un âge plus précoce.
 
Selon le journal Public Health Nutrition, les chercheurs britanniques de l’Université Brighton ont constaté que 45 % des fillettes qui avaient mangé 12 portions de viande rouge par semaine à l’âge de sept ans ont eu leurs premières menstruations à l’âge de 12 ans, comparativement à 35 % des filles qui mangeaient quatre portions et moins.
 
Les régimes alimentaires de 3 000 adolescentes de 12 ans ont été comparés pour l’étude.
 
Les experts affirment que ce type d’alimentation prépare le corps à la grossesse, donc déclenche la puberté à un âge précoce.
 
Cette découverte laisse croire aux chercheurs que l’alimentation des jeunes filles a un lien direct avec le développement de certaines maladies à l’âge adulte. Il est toutefois important de manger de la viande rouge de façon modérée, car c’est une excellente source de fer et de zinc, des éléments essentiels à l’organisme.
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La viande trop cuite cause le cancer de la vessie

Selon des chercheurs américains, les viandes trop cuites augmentent considérablement les risques de développer le cancer de la vessie.
 
À la suite d’une étude menée pendant 12 ans auprès de 1 700 personnes, des chercheurs de l’Université du Texas affirment que la viande calcinée contient des substances chimiques cancérigènes appelées des aminés hétérocycliques.
 
Les personnes qui consomment les viandes trop cuites ont deux fois et demie plus de risques d’avoir un cancer de la vessie que les amateurs de viandes saignantes. Ce risque est surtout présent pour les steaks de bœuf et de porc, mais également pour le poulet et le poisson frit.
 
De plus, les chercheurs rappellent que la présence de certains gènes peut augmenter de cinq fois le risque de personnes qui consomment beaucoup de viandes rouges. Ces personnes sont génétiquement plus exposées à un risque de cancer de la vessie.
 
On estime que 7 000 nouveaux cas de ce type de cancer seront diagnostiqués cette année et 1 850 de ces personnes perdront leur combat.
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Cancer du sein et viande rouge

Des chercheurs associés à la Faculté de médecine Albert Einstein de l’Université Yeshiva aux États-Unis prétendent qu’une alimentation riche en viande rouge n’augmente pas l’incidence de cancer du sein chez les femmes postménopausées.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Geoffrey C. Kabat a analysé les dossiers médicaux de 120 755 femmes américaines en fonction de leur alimentation.

Dans cette étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale International Journal of Cancer, on apprend que les diverses techniques de cuisson, même sur barbecue, ne causent pas davantage de cancer du sein.

Malgré ces résultats, le Dr Kabat croit que d’autres recherches sur le sujet devront être menées, particulièrement auprès des jeunes femmes, afin de mieux comprendre l’exposition dès un jeune âge aux mutagènes dans la viande rouge.

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Modifier son alimentation prévient le cancer de la prostate

Selon une nouvelle publiée dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics, une alimentation faible en gras et en viandes rouges, mais riche en fruits et légumes, serait grandement bénéfique pour la prévention du cancer de la prostate.

On a étudié les recommandations nutritionnelles pour la prévention, mais également pour les patients déjà atteints. Une telle alimentation aide au traitement de la maladie.

En outre, la tomate, le chou-fleur, le brocoli, le thé vert, les vitamines, dont la E, et le sélénium diminueraient les risques de développer ce type de cancer.

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Gare à la viande trop cuite!

Des chercheurs de l’Université du Minnesota affirment que la viande rouge trop cuite, comme celle cuite sur BBQ, pourrait être associée à un risque de cancer du pancréas 60 % plus élevé.

« Nos résultats prouvent qu’il est préférable de baisser la température lors de la cuisson pour éviter de calciner la viande afin que les gens diminuent leur risque de souffrir d’un cancer du pancréas », a fait savoir l’un des auteurs de l’étude, la Dre Kristin Anderson.

Selon la scientifique, qui a travaillé avec 62 000 adultes en excellente santé, la viande trop cuite contient des produits chimiques associés au cancer, comme des acides hétérocycliques.

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Trop de viande nuit au sperme

Selon le Dr Jaime Mendiola, de l’Institut Bernabeu d’Alicante en Espagne, une alimentation riche en viandes et en produits laitiers diminue la qualité du sperme.

À l’inverse, les fruits, les légumes et le lait écrémé semblent l’améliorer. Le chercheur a travaillé avec 61 patients d’une clinique de fertilité et 31 hommes en bonne santé.

Il croit que ces résultats peuvent s’expliquer par les antioxydants que l’on retrouve dans les fruits et légumes. De plus, certaines substances que l’on retrouve dans les viandes rouges, comme les xénobiotiques, peuvent nuire à la qualité du sperme et diminuer la fertilité.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans Fertility and Sterility.

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Prévenir le cancer du sein par la nutrition

Une étude, menée par le Département de nutrition de l’Université de Montréal, s’est penchée sur la relation entre l’alimentation et la prévention du cancer du sein.

Les travaux, menés par Vishnee Bissonauth, sous la supervision du professeur Parviz Ghadirian, ont permis de conclure que les fruits et légumes, les produits laitiers, la vitamine D, le calcium et les phytoestrogènes pouvaient réduire le risque de cancer du sein.

Toutefois, d’autres aliments, comme les viandes rouges, auraient l’effet contraire et augmenteraient l’incidence de cancer du sein. Le risque est accru lorsque les viandes sont grillées plutôt que bouillies ou cuites à la vapeur.

Il semble également que le nombre de calories ingérées quotidiennement joue un rôle. En effet, le risque d’être frappé par ce type de cancer augmente de 8 % si la femme prend plus de 2 000 calories par jour.

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Lien confirmé entre les cas de listériose et Maple Leaf

Gerry Ritz, le ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, a fait le point samedi dernier (23 août) sur les cas de listériose qui ont entraîné quatre décès au pays jusqu’ici.

M. Ritz a confirmé que c’est la consommation des charcuteries Maple Leaf, fabriquées à l’usine de Toronto, qui est à l’origine de l’éclosion de l’intoxication à cette bactérie.

Des analyses en laboratoire ont confirmé la présence de la bactérie Listeria monocytogenes chez les personnes infectées et dans deux des trois échantillons de produits Maple Leaf.

Jusqu’ici, 21 cas d’intoxication ont été confirmés par les autorités et 30 autres jugés suspects, dont 8 au Québec, sont font l’objet d’une enquête.

Pour l’Agence canadienne d’inspection des aliments, d’autres souches de la bactérie pourraient être découvertes d’ici quelques semaines et d’autres cas devraient être diagnostiqués puisque l’incubation peut aller jusqu’à 90 jours.

De son côté, Maple Leaf a reconnu sa responsabilité dans l’intoxication à la listériose et son usine devra être complètement désinfectée avant sa réouverture.

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La viande au menu

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE), les personnes mangent de plus en plus de viande, ce qui pourrait présenter un risque pour la santé publique et l’environnement.

D’ici 2020, on prévoit une hausse de 50 % de la consommation de viande à l’échelle planétaire. L’organisation pointe du doigt l’Inde et la Chine, dont l’économie est en plein essor.
 
Jean-Luc Angot, de l’OIE, mentionne : « Il y a des risques sanitaires supplémentaires, car les produits vont circuler plus vite que le temps d’incubation des maladies. »
 
En plus du risque de maladies, comme la grippe aviaire et la fièvre catarrhale ovine, l’OIE précise que ce phénomène aura pour conséquence de contribuer au réchauffement climatique et à la modification des écosystèmes.
 
En 2006, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture a estimé que la production bovine produisait plus de gaz à effet de serre que la flotte automobile.