Beaucoup de personnes ont tendance à oublier que Marilou, la femme d’affaires qui est derrière l’empire Trois fois par jour, a commencé sa carrière comme chanteuse. En plus d’avoir été coachée par l’un des plus grands de l’industrie, c’est-à-dire le regret René Angelil, Marilou a fait fureur en Europe et au Canada.
C’est en entrevue avec le journaliste Victor-Léon Cardinal pour le magazine Échos Vedettes que la chanteuse, femme d’affaires et maman s’est confié sur son retour en studio.
« Ça me fait vraiment du bien d’en refaire! Je suis actuellement en studio pour enregistrer les chansons que j’ai écrites dans les dernières années. Je peux dire qu’il y en a beaucoup! […] J’avais besoin d’années de silence, mais je ne sais pas comment j’ai fait pour ne pas chanter pendant aussi longtemps. Ma passion pour la musique est encore plus vivante que jamais, et je réalise à quel point elle m’avait manqué. Dans l’écriture de mes nouvelles chansons, je m’inspire surtout de la vie et des émotions que j’ai traversées. J’ignore pour l’instant sous quelle forme prendra vie ce projet musical. Je vous tiendrai au courant », mentionnait-elle.
« Il y a toujours de la musique à la maison. Mes filles écoutent mes chansons et elles les connaissent par cœur. Peut-être qu’un jour elles voudront se lancer, elles aussi, dans un projet musical ».
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Par contre, Marilou ne compte pas diriger ses enfants vers une carrière dans le show-business à un aussi bas âge qu’elle : « Jeanne est actuellement à la maternelle, et je ne l’encouragerai pas à commencer une carrière aussi jeune que moi. Je crois d’ailleurs que si mes parents avaient eu plus d’expérience, ils n’auraient pas laissé faire ça non plus. Si, un jour, mes filles désirent faire de la musique, je me ferai un devoir de les guider le mieux possible afin que tout se fasse de façon saine », lançait-elle.
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L’entrepreneure s’est également confiée sur sa vie de femme d’affaires.
« Je suis sensible dans mon travail, mais très émotive dans ma vie personnelle. Je n’aborde pas du tout ces deux sphères de ma vie de la même façon. Jamais je n’ai mal dormi à cause de mon entreprise ou de ma carrière. Les défis professionnels que j’ai rencontrés, je les ai abordés avec assurance, ce qui m’a permis de minimiser les dégâts. Dans ma vie personnelle, c’est tout le contraire! La peur de me tromper ou de vivre un échec me rend plutôt maladroite et très émotive. Après réflexion, je crois que la mère en moi aurait besoin de prendre plus du tempérament de l’entrepreneure, et vice versa », raconte-t-elle.
Puis, elle s’est également confié sur l’importance de trouver un équilibre entre le travail et sa vie personnelle.
« C’est mon équipe qui fait en sorte que j’ai une vie équilibrée. Avec le temps, j’ai appris à déléguer. Quand j’ai lancé Trois fois par jour, à l’âge de 22 ans, je n’avais pas d’enfant. Je travaillais 14 h par jour, 7 jours sur 7. C’était épouvantable! Aujourd’hui, le fait d’avoir une vingtaine de personnes qui travaillent avec moi me permet d’avoir une certaine forme de liberté et d’équilibre », conclut-elle.
Nous avons énormément de respect pour Marilou!
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