Un de nos duos montréalais préférés, Kirouac & Kodakludo vient tout juste de dévoiler une session live pour une nouvelle chanson qui est disponible sur toutes les plateformes dès aujourd’hui. La vidéo réalisée par Paul Provencher prend place au Carré Saint-Louis, pour vous surprendre avec leur chanson du même nom. Cette sortie inattendue fait notre plus grand bonheur puisqu’elle vient mettre un petit baume sur notre coeur, en attendant de pouvoir revoir ces magnifiques personnes en show.
Vêtus de leurs emblématiques accoutrements, leurs coton ouatés qui fittent, Kodakludo nous sert une transe dansante habile teintée d’une mélancolie lancinante, en plus de jouer dans les zones un peu plus synthwave et electro pop qu’à son habitude tandis que Kirouac nous partage ses influences poétiques québécoises avec sa douceur et sa vulnérabilité, qu’on voit rarement dans le rap local.
On a vraiment hâte de voir leurs prochains projets, surtout qu’on s’attend à d’autres belles surprises pour le printemps 2021!
Avis à tous les amateurs de ski ou de snowboard: lorsque vous visionnerez le nouveau clip de le.Panda, vous ne pourrez vous empêcher d’être nostalgique de cette saison d’hiver qui se termine déjà. Pour créer un hymne à tous les riders du Québec, le gagnant du festival de chanson de Granby présente un vidéoclip pour célébrer ces sports. Avec son heureux mélange de Erykah Bady, Bob Marley et DJ Khaled, l’artiste sait réaliser des beats qui nous donnent envie de danser.
L’auteur-compositeur-interprète-muti-instrumentise possède un style musical teinté de soul, de hip hop et de reggae. Ses good vibes transpercent l’écran grâce à l’équipe vidéo basée à Québec, Stories, qui a signé la vidéo Ride all day. D’ailleurs, cette chanson lance la nouvelle collaboration entre l’artiste et Kartel Musik.
Ses chansons sont toujours accrocheuses, comme Instababe, qui lui a permis d’être nommé Future star iHeartRadio à Rouge FM. On adore tout ce qu’il fait, et on en redemande encore!
Yelle est le projet de Julie Budet et de Jean François Perrier, connus dans le monde entier (ils ont quand même fait trois performances à Coachella!), mais assez peu connus des Montréalais pour le moment. Pourtant, ils sont beaux à voir aller et leur musique nous parle profondément.
« Même reclus près de Saint Brieuc où l’on aime respirer le silence et jouer avec le vertige éprouvé par le bord des falaises, le couple se laisse volontiers saisir par la beauté de la fée motrice de l’instinct. Chez Yelle on n’entre pas en studio, on est son propre studio mobile. Toujours à l’affût d’une idée, d’un mot, d’un gimmick de basse, des petites intentions qui font les grandes chansons. Il se trouve que cette fois [ sur leur dernier album, L’ère du Verseau ], il y en a dix, qui font un bel ensemble humain, chapelet de chansons qui parlent au coeur et au corps. Et symbolisent aussi un recommencement. Davantage une naissance qu’une renaissance. Ou peut-être simplement le reflet musical d’une nouvelle révolution astrale. »
Noir, c’est le nouveau single de Yelle qui donne envie de danser et de s’habiller extraordinairement pour marcher dans les rues de Montréal comme dans un défilé de mode. Dans le vidéoclip qu’il accompagne, on retrouve un featuring surprise du duo de comédiennes drag Rose et Punani.
On a eu un gros crush sur Yelle en écoutant ce vidéoclip… C’est maintenant à votre tour de chanter à tue-tête et de danser!
En 2019, Koriass a dominé les nominations à l’ADISQ avec sept mentions: Album de l’année Rap, Auteur ou compositeur de l’année, Vidéo de l’année, Pochette de l’année, Prise de son et mixage de l’année, Réalisation de disque de l’année et Sonorisation de l’année. En plus, il a été nominé aux JUNOS pour l’Album Francophone de l’année. Après toutes ces petites victoires, il a lancé son projet « Génies en Herbe » en collaboration avec le rappeur Fouki; un parfait mélange entre deux rappeurs au style différent et qui appartiennent à deux générations distinctes.
Il revient en force en 2021 avec son nouveau tout nouveau single « Épitaphe ». Cette chanson qui met de l’avant ce qui est à la base du rap: l’égo trip, la construction de lignes frappantes, l’assurance et la collaboration met en lumière son talent, en plus de celui de Sarahmée et de Souldia. On peut voir les trois légendes du rap québécois dans le vidéoclip à la fois underground, sombre et mystérieux qui accompagne le single. Cette production solide de Ruffsound, Baxter Dexter et Kable Beatz est réalisée par Used Naït (Iceland Film) pour nous plonger dans trois univers bien distincts et propres à chaque artiste.
Nadine Altounji est une auteure-compositrice-interprète et guitariste pour différents artistes montréalais depuis plus d’une vingtaine d’années. Elle a composé l’extrait Marcha de Flores pour rendre un hommage passionné aux femmes du monde entier, en particulier à celles d’Amérique du Sud qui luttent jour après jour pour la justice et pour l’égalité des droits. Une vidéo a aussi été réalisée afin de montrer une grande variété de femmes, de manière à illustrer l’universalité de la question de la violence à l’égard des femmes et pour démontrer la touchante solidarité que l’on retrouve entre elles.
Le lancement de la chanson et de la séquence vidéo se fait aujourd’hui, lors de la Journée internationale des droits des Femmes, afin d’attirer l’attention en particulier sur la situation des femmes au Pérou. Grâce à la sortie de la vidéo, Nadine a comme but de recueillir des fonds pour Mantay, un organisme à but non lucratif de Cusco (Pérou). Cet organisme fournit de l’assistance aux jeunes mamans, on vous invite donc à visiter leur site web pour plus d’informations.
Marcha de Flores est interprétée en espagnol par la chanteuse montréalaise et cette chanson est une collaboration entre Nadine et la poétesse et danseuse péruvienne Marcia Castro Gamarra. Elles se sont rencontrées en Amérique du Sud lors des recherches sur les traditions musicales de l’Équateur et du Pérou de Nadine en prévision de son album The Stories that Tie Us to Trees. La vidéo quant à elle a été filmée et montée par Victorine Sentilhes. On y voit des photos prises par le groupe d’activistes féministes Genero Rebelde qui montrent certaines manifestations de Cusco ainsi que des séquences vidéo que Victorine avait précédemment prises au Tchad et en Haïti, en plus de plusieurs enregistrements filmés par la vidéaste à Montréal.
« En recherchant le meilleur moyen de faire connaître sa musique au monde alors que les performances en direct sont impossibles, Nadine Altounji a réaménagé son projet de manière à commencer par lancer les cinq premières chansons sous forme de vidéos. La vidéo de Marcha de Flores est la première de cinq vidéos filmées et montées par la vidéaste Victorine Sentilhes. Ces vidéos paraîtront au cours des prochains mois et formeront les cinq singles du volume 1 de l’album prochain de Nadine The Stories that Tie Us to Trees (l’album sera lancé dans son intégralité plus tard au cours de 2021). The Stories that Tie Us to Trees est réalisé grâce au soutien apporté par une subvention « Recherche et création » du Conseil des arts du Canada. Cette subvention a permis à Nadine de bénéficier d’un séjour de quatre mois en Équateur et au Pérou au cours duquel elle a pu étudier les diverses formes de musique locale et échanger les connaissances musicales et culturelles avec les populations locales. »
Le single Marcha de Flores est disponible dès maintenant sur le Bandcamp de l’artiste et coïncide avec le lancement de la vidéo.
Un virage francophone avait été annoncé pour l’auteur-compositeur-interprète montréalais Robert Robert, et le moment est venu de dévoiler le premier extrait de cette nouvelle direction. C’est avec le morceau La nuit se plaindre qu’on voit une nouvelle (et merveilleuse) facette du talent de l’artiste. D’ailleurs, on y entend aussi l’extraordinaire Hubert Lenoir, qui a pris part à la réalisation de la chanson.
Un vidéoclip a vu le jour au même moment, où l’on peut apercevoir la beauté de l’amitié entre les deux artistes grâce à des images intimes qui nous font sentir comme si nous faisions partie de la gang. Le clip a été réalisé par Noémie D. Leclerc et son doux travail nous charme beaucoup.
Ce premier extrait exaltant est fait pour être écouté dans la voiture, direction nulle part, le volume au maximum avec ses notes électro-pop enivrantes. La nuit se plaindre n’est que le début de ce qu’on pourra retrouver sur l’étiquette chivi chivi.
De plus, un Tumblr est disponible pour nous faire découvrir le clip ainsi que des photos cocasses « behind the scenes » de la réalisation du clip.
Rick Pagano, qu’on connaît surtout grâce à sa participation à La Voix en 2019, a atteint le #1 des chansons anglophones du palmarès de l’ADISQ pendant cinq semaines consécutives en 2019, le top 10 des palmarès BDS et correspondants au Québec l’an dernier avec sa chanson Clone et est derrière l’écriture des plus récents extraits de Marc Dupré et Éric Lapointe.
Depuis sa participation à La Voix, il a entamé une série de concerts, incluant 30 représentations avec Marc Dupré, 40 concerts en solo et 15 spectacles avec La Voix Expérience. Au total, il a vendu 10 000 billets partout au Québec avec ses représentations solos, ce qui est réellement impressionnant!
Rick vient tout juste de lancer un nouvel extrait fort attendu, en plus de son vidéoclip. L’auteur-compositeur-interprète a coécrit cette chanson qui marque un retour à un son pop punk qui rappelle Blink 182, Sum 41 et les autres groupes qui ont forgé son adolescence. Laisse-moi tranquille se veut un hymne
à la liberté et provoque déjà un engouement énorme auprès de ses fans sur les différentes plateformes d’écoute.
Le clip réalisé par Marc-Alexandre Dulude met en vedette Poline Grace, qui s’est fait connaître à Occupation Double Afrique du Sud. De plus, on vient d’apprendre qu’une version bonus de la chanson avec Rick et la voix de Polina sera également disponible pour l’écoute dans les prochaines semaines.
Issu de la génération de Radio Enfer, Etienne Dufresne a grandit bercé par le rock prog de ses parents, quelque part entre Victoriaville et Magog. Très jeune, il apprend la guitare par lui-même dans l’espoir avoué d’impressionner son père. Il infiltre d’abord la scène musicale montréalaise comme photographe, avant de troquer sa caméra pour ses chansons, suite à une série d’échecs amoureux et professionnels. Son premier EP Sainte-Colère, une mise en bouche convaincante mêlant synth pop et electro folk, est une co-réalisation avec l’ingénieur de son Jean-Bruno Pinard (Les Louanges, Laurence-Anne) et paraît en février 2020, via Chivi Chivi. Touche-à-tout, Etienne signe lui-même l’identité visuelle de son projet, des photos de presse jusqu’aux vidéoclips. Il a dévoilé en catimini la mono-plage « Les Couteaux » (co-réalisé avec Félix Petit) vers la fin novembre et ouvre désormais la nouvelle année avec « Jolicoeur ».
Jolicoeur est un blues décalé qui s’ouvre sur la guitare mélancolique, s’accentue d’une rythmique de piano, se ponctue de choeurs dramatiques au refrain et vogue vers les voluptés du saxophone (celui de Felix Petit qui co-réalise le morceau) pour finir sur une voix grave qui se pose au creux de l’oreille (à la manière de Joe Dassin) et qui invite à s’enfuir vers Jolicoeur, cette ville aux mille espoirs.
« Jolicoeur, c’est l’histoire de celui qui, en quête de bonheur, tente de refaire sa vie ailleurs. Il tombe amoureux de la serveuse du restaurant de la petite ville. Un scénario classique comme on le verrait sur Netflix. Le rêve de l’exode est parfois illusoire; un phénomène attrayant qui peut camoufler une crise existentielle. Le vidéoclip dépeint cette envie de s’évader pour fuir l’ennui du quotidien. Hélas, même à l’autre bout du monde, la réalité finit souvent par rattraper celui qui tente d’y échapper. Une fiction «Boy meets girl» sur une trame de cœur brisé et de high de caféine. La signature visuelle du clip est une ode à «Twin Peaks» de David Lynch et aux jeux-vidéos lo-fi de la fin des années 90 » explique Etienne Dufresne.
Le vidéoclip réalisé par Etienne Dufresne, en collaboration avec Martin Paré à l’animation et Rose Côté pour le travail des textures, prend son inspiration dans les jeux vidéos des années 90 (Golden Eye et Tomb Raider), époque glorieuse où les contours à la définition pixelisée étaient la crème de la crème de l’ère digitale.
À un peu plus d’un mois de la sortie de son nouvel album HIGHER le 26 février prochain, Malika Tirolien présente l’extrait CHANGE YOUR LIFE, second mouvement d’une suite qui a commencé avec la pièce NO MERCY lancée en décembre dernier.
NO MERCY abordait le sentiment de colère, alors que la protagoniste fictive exprimait sa rage après des années de mauvais traitements et attendait impatiemment le moment des représailles. CHANGE YOUR LIFE, c’est le « higher self » prenant le dessus sur la protagoniste en lui démontrant que l’amour de soi et la compassion pour les autres sont les clefs fondamentales qui permettent d’ouvrir les portes d’un niveau de conscience supérieure.
Après le succès de son premier album Sur La Voie Ensoleillée (2014) qui a atteint la 5e place du palmarès R&B/Soul sur iTunes, Malika s’entoure de son ami de longue date et co-leader du groupe Bokanté, Michael League, pour coréaliser le nouvel album HIGHER, deuxième volet d’une tétralogie qui a commencé en 2014.
L’album présentera le « Highsoul », un nouveau genre musical mêlant R&B, Soul, Hip Hop et Jazz pour créer la bande originale d’un voyage psychédélique menant de la colère au pardon.
Carla Blanc est l’alter ego et le projet solo de Charles Lavoie (qu’on connaît déjà (et adore) comme chanteur du trio Dear Criminals). Il a lancé son album WONDERFUL en septembre dernier, et nous présente cette semaine le clip du troisième extrait de l’album; DCSLN (Des Corps Sous La Neige).
« J’ai écrit celle-ci juste avant la pandémie, dans une vielle Havane grouillante, entre la plage et l’hôtel d’Hemingway, environ à ce temps drapé de l’année » explique Carla. Pour mettre en image cette chanson aux rythmes doux et entraînants, il a choisi de réaliser lui-même son clip en collaboration avec l’actrice (et sa copine) Charlotte Aubin, ainsi que Fanny Forest et la brillante équipe Rococoeur. Le huis clos se déroule dans le salon d’un auteur érotique québécois qui reste anonyme, un univers sensuel et enveloppant. Carla s’amuse à jouir des codes de la séduction dans une volonté affirmée de flouer les limitations des genres. L’artiste s’offre au public pour la première fois dans toute sa vulnérabilité et sa complexité.
La chanson réalisée par Carla Blanc et Philippe Brault mélange adroitement la désinvolture du chanteur de charme au psychédélisme de Bibi Club (Nicolas Basque, Plant and Animals et Adèle Trottier Rivard). Elle donne envie de s’abandonner aux valses hivernales sous la couette en rêvassant aux nuits d’amour à la mer.
Carla Blanc présentera ce printemps viens, mon amour, un spectacle célébrant l’Éros, dans une mise en scène exploitant l’univers narratif de son premier album WONDERFUL. Les 31 mars et 1er avril prochain, l’artiste, ses musiciens qu’il nomme lui-même les « rubis » ainsi que quelques invités surprises vous attendront au Cabaret Lion d’Or, à Montréal. D’ailleurs, les billets pour l’événement sont en vente dès aujourd’hui, en quantité limitée afin de respecter toutes les mesures sanitaires en vigueur. Les spectateurs sont d’ailleurs invités à se vêtir de leurs plus beaux habits pour assister à la cérémonie.