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Entrevue Julie Ringuette: Chanteurs masqués, Mégantic, ses projets et sa vie de famille!

Nous avons eu la chance de nous entretenir avec la sympathique Julie Ringuette en marge de sa participation à Chanteurs masqués! Rappelons qu’elle se trouvait dans le fabuleux costume de la ballerine de glace.

Une entrevue dans laquelle elle abordait son expérience à l’émission, ses futurs projets et sa vie de famille avec Pascal Morrissette et leurs deux filles.

HollywoodPQ: Nous avons la magnifique surprise dimanche de te retrouver dans le beau costume de la ballerine de glace. Comment tu as trouvé l’expérience?

Julie Ringuette: «Moi, j’ai capoté! C’est un show sur mesure. C’est tout ce que j’aime! L’effet de surprise, les cachotteries, les petits mensonges que ça implique. Le fait de cultiver un mystère aussi… qui n’était pas si mystérieux finalement, les gens m’ont trouvé assez rapidement! Les gens disaient que les juges jouaient une game parce qu’ils ne trouvaient pas, mais il y avait vraiment juste Véronic Dicaire qui m’avait trouvée (…) Moi, le fait de surprendre Anouk Meunier, Stéphane Rousseau et Sam Breton, moi tout ça, ça m’allume», dévoile Julie Ringuette d’entrée de jeu.

HPQ: «Il te vient où ce talent-là, de chanter (…)?»

JR: «Moi, j’ai toujours chanté. Écoute, je me tenais au parc avec mes amis et ils me faisaient chanter. J’ai des vidéos avec mon père, j’ai six ans, mon père, il a une guitare en main et on chante. Les Ringuette, ils ont beaucoup ce côté-là, musiciens, chanteurs. Donc, je tiens ça du côté de mon père. Après ça, j’ai eu beaucoup, beaucoup de cours de chants. Beaucoup d’années où j’ai participé à des cours de chants aussi. Puis, j’ai étudié en théâtre musical à Lionel-Groulx. Je suis diplômée pour faire de la comédie musicale, c’est juste que je n’en ai jamais décroché! Puis, je n’ai jamais eu l’occasion de chanter en public vraiment. J’ai plus été comédienne, animatrice et je me suis dit: Bien, coudonc, si c’est ça qui se prête à moi, je ne vais pas aller me battre pour sortir un album de Noël!»

Julie nous avouait même avoir voulu participer à quelques reprises à Star Académie et La Voix, un souhait qui ne s’est finalement pas réalisé.

JR: «Ça a toujours été une question de timing (…) j’ai toujours passé à côté!»

La sympathique Julie nous a par la suite confié qu’elle aurait bien sûr bien aimé faire partie de la finale de Chanteurs masqués et gagner, mais le plus beau de ses cadeaux est que ses filles soient fières d’elle et que les gens voient qu’elle a une voix puissante. Une émission qu’ils écoutent d’ailleurs en famille depuis la toute première saison!

HPQ: «Pascal, lui, était-il au courant?»

JR: «Pascal, oui, parce que c’était beaucoup trop compliqué à gérer ça avec les enfants. Puis, tu sais, si j’avais un chum qui n’était pas dans le domaine ce serait plus facile (…) Mais, Pascal fait le même métier que moi. Donc, dès que je dis que j’ai un tournage, il fait comme: Ah oui, pour quoi? Avec qui? (…) Je ne peux pas lui inventer un projet à Pascal! C’est trop complexe, donc je l’ai mis dans le coup. Puis, tu vois, c’est lui qui a filmé mes enfants dimanche.»

Nous avons ensuite abordé le puissant et touchant rôle de Julie Ringuette dans Mégantic. Nous avons ainsi voulu savoir si cela avait été difficile à tourner, selon les circonstances, surtout en ce qui concerne la scène finale de son personnage, Marie, à l’église.

JR: «Oui, vraiment, c’est sur place, dans le sens que c’est à l’église de la place. J’étais à Mégantic. Ce n’est pas toute la série qui a été tournée là, par respect. Mais, toutes les scènes d’églises, oui. Donc, c’est sur que pour moi, c’était quand même touchant de voir que quand je faisais mes scènes, le train passait là…»

HPQ: C’est troublant (…)?

JR: «Vraiment, oui. Puis, les gens qui étaient figurants dans la scène du mariage, c’est les gens de la place. Les gens qui se sont recueillis quand c’est arrivé, dans cette église-là. Donc, ça prenait une dimension vraiment particulière. C’était bien troublant.»

C’est par la suite que nous abordions ses futurs projets, dont sa présence dans la toute nouvelle comédie musicale qui verra le jour en 2024, soit Waitress. Mais, ce n’est pas tout, puisqu’elle participera à la deuxième saison de Zénith! Un projet qu’elle qualifiait de secret lors de notre entrevue, mais qui a été dévoilé quelques minutes après notre discussion!

Et n’oublions pas Ladies Night, qui sera également de retour en janvier!

HPQ: «Comment toi et Pascal, à travailler dans le même milieu, ça ne doit pas toujours être évident de marier travail et famille?»

JR: «Il faut vraiment qu’on soit bien organisés, puis bien entourés. Les gestions d’horaire, comme ça, de Chanteurs masqués, moi je ne savais jamais si j’étais pour passer à la prochaine étape. Donc, il faut être paré de tout bord, tout côté. Pascal est à la radio et il a sorti un jeu de société. On est quand même dans le jus, c’est sûr qu’il faut être bien entourés! Nos deux mères travaillent bien fort!»

HPQ: «En terminant, qu’est-ce qu’on peut te souhaiter?»

JR: « J’aimerais beaucoup ça, une autre série à la Mégantic, c’est-à-dire une série dramatique. J’ai aimé ça. J’ai l’impression que je me suis juste trempé le pied et que je n’ai pas encore déployé toutes mes ailes. J’ai une palette de couleur de jeu et j’aimerais beaucoup qu’on me voie encore plus en drame.»

Un moment fort intéressant en compagnie de l’artiste aux multiples talents qu’est Julie Ringuette!

Nous la remercions pour son temps et nous lui souhaitons le meilleur pour la suite!

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Mener de front une entreprise et une vie familiale

Difficile de tirer son épingle du jeu lorsque l’on est parent et entrepreneur tout à la fois. Il faut savoir donner du temps à nos deux « bébés », sans en négliger un.

Avant de partir en vrille sur tout ce que vous avez à faire, gardez en tête que déjà, le fait de posséder votre propre entreprise signifie que vous ne pouvez pas « faire comme tout le monde ».

Votre premier objectif sera donc, selon Female First, de faire le ménage dans vos activités, rendez-vous et obligations de toutes sortes. Votre horaire devra être allégé, vos priorités recentrées plutôt que dispersées en tous sens.

Que ce soit pour votre entreprise ou votre famille, il vous faudra ensuite fonctionner en « blocs » efficaces. Évitez le multitâche. Il n’y a absolument rien d’extraordinaire à tout faire en même temps. Bien au contraire, vous devenez moins productif, moins efficace et vous vous fatiguez plus rapidement. Plusieurs recherches appuient ces faits.

Alternez entre votre travail et vos enfants si vous le souhaitez, mais assurez-vous de couper totalement l’un si vous êtes concentré sur l’autre. Au travail, portez des écouteurs et faites jouer votre musique préférée, puis avec les enfants, éteignez votre cellulaire. Ainsi, vous éviterez le sentiment de surcharge.

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La vie de famille change les gènes

Une équipe de chercheurs de diverses universités canadiennes vient de démontrer que les conditions de vie d’un enfant sont associées à des changements notables sur l’ADN de celui-ci, lit-on sur Psychcentral.

Les facteurs sociaux et économiques liés à la vie familiale seraient en relation avec certaines transformations des gènes. Une différence a en effet été remarquée entre des enfants qui vivaient au sein d’une famille de haut niveau de vie et d’autres issus de milieux à faible niveau.

C’est toutefois quant aux conditions de vie en bas âge que les différences les plus marquantes ont été relevées. Elles étaient fortement associées avec les conditions socio-économiques de l’enfant devenu adulte.

Pas moins de 1252 différences génétiques ont ici été relevées, en comparaison avec les 545 provenant des conditions générales. On tentait d’explorer de quelle manière les conditions du début de vie pouvaient devenir biologiquement intégrées, pour ensuite influencer la santé générale au cours des années suivantes.

On pourrait ici expliquer en partie pourquoi les problèmes et faiblesses de santé pouvaient demeurer toute une vie en étant associés avec des conditions socio-économiques.

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Une vie de famille plus polluante?

Il semble qu’un milieu familial stressant influencerait les effets néfastes de la pollution automobile sur la santé respiratoire des enfants. C’est ce que suggère une récente étude de l’Université de la Californie du Sud parue dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.

Pour en arriver à cette corrélation, les parents de près de 1 400 enfants de 10 à 12 ans ont répondu à un questionnaire. Les enfants ont aussi été évalués quant à leur santé respiratoire ou des problèmes pulmonaires.

Les substances polluantes auxquelles ils auraient été exposés ont été reconnues comme étant l’oxyde nitrique, le dioxyde d’azote et les oxydes d’azote. Leur exposition totale comprenait celle à la maison et celle à l’école.

En comparant les résultats, on a donc remarqué que chez des enfants en santé, une vie familiale stressante était plus fortement associée à des problèmes pulmonaires dus à la pollution qu’un milieu familial calme.

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Bonheur de l’enfant : l’importance de la vie de famille

Selon Medical News Today, une récente étude aurait démontré que le degré de bonheur que la mère retire de son couple a une grande influence sur celui de l’enfant, plus que celui du père.

Après avoir suivi 40 000 familles du Royaume-Uni, des chercheurs ont en effet remarqué que les enfants, une fois âgés de 10 à 15 ans, accordaient plus d’importance à la façon dont leur mère vivait son couple dans leur perception de la vie de famille.
 
En fait, si 60 % de tous les enfants sondés étaient parfaitement heureux de leur vie de famille, ce taux chutait à 55 % lorsque leur mère n’était pas heureuse.
 
Chez ceux qui trouvaient satisfaction dans leur vie de famille, la mère était heureuse dans 73 % des cas.
 
La recherche en question, Understanding Society Research, avait pour but premier d’explorer les relations des gens mariés et en union de fait, ainsi que celles entre parents et enfants.

Finalement, en tentant d’établir un profil type de l’enfant heureux moyen, il semble que ceux qui vivent le plus dans le bonheur sont ceux qui habitent avec deux parents, de familles non reconstituées, qui ont peu de disputes, qui prennent au moins trois repas en famille par semaine et dont la mère est heureuse dans son couple.