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Lady Gaga invoque le droit à la vie privée

Jennifer O’Neill, ancienne employée de Gaga, la poursuit pour des heures supplémentaires impayées. Pour justifier sa cause et sa requête de 380 000 $ en heures de travail impayées, O’Neill a demandé à la cour d’accepter des photos de Lady Gaga en gage de preuve. L’ex-assistance affirme que la superstar exigeait qu’elle soit disponible 24 heures sur 24.

Les photos que souhaite apporter O’Neill, images inédites de Lady Gaga, sont jugées par la chanteuse de Bad Romance comme privées et personnelles. Quant à l’ancienne employée, elle juge ridicule que Gaga fasse appel au droit à la vie privée, vu la façon scandaleuse dont elle fait preuve en tout temps.

L’avocat de Jennifer O’Neil est du même avis, puisque Gaga, de son vrai nom Stefani Germanotta, paraît dans des positions et des accoutrements sans aucune pudeur dans le livre qu’elle a publié.

Selon le journal New York Post, la déclaration de O’Neill est sans équivoque : « J’étais collée à Mlle Germanotta, comme une extension de son corps. On devait même parfois me demander de reculer lors des séances photo, puisque je devais la suivre à chaque pas ».

O’Neill affirme également qu’elle devait être prête à servir Lady Gaga à toute heure du jour et de la nuit, que ce soit pour un café, tendre une serviette après la douche, et plus encore. Elle veut donc montrer les photos qui prouvent qu’elle était aux côtés de Gaga en tout temps.

De son côté, la chanteuse numéro un de la planète dément toute l’affaire et trouve la demande de photos non justifiée.

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Le droit à la vie privée du foetus

Un récent sondage a donné des réponses quant au droit à la vie privée du foetus, comme nous l’apprend Parentcentral.com.

Celui-ci a été accompli en ligne et portait justement sur l’affichage de photos de foetus sur le Web. Réparties dans 10 pays, 2 200 mères ont répondu au questionnaire.

Il en est ressorti que les Canadiennes sont les moins inquiètes sur le fait d’afficher en ligne des renseignements sur leur progéniture. De plus, elles seraient les plus enclines à mettre en ligne la photo de leur échographie.

Ce serait les mères de l’Espagne qui seraient les plus inquiètes quant à la vie privée du bébé dans ce nouveau phénomène.

Il semble que chacun ait sa propre perception de ce qui pourrait être dangereux ou non, comme l’a d’ailleurs fait remarquer Cora Brady, de Mom Central Canada, une entreprise de consultation.

Finalement, cette étude a relevé que 81 % des bébés apparaissent sur le Web avant d’avoir 2 ans.