Une nouvelle étude, rapportée par nlm.nih.com, prétend que le tiers des aînés ne feraient pas le bon choix en matière d’établissement en fin de vie.
Certains endroits ne seraient pas équipés adéquatement pour prévenir la douleur et contrer la souffrance.
Ces soins palliatifs sont plus souvent présents dans les maisons du même nom, alors que les centres d’hébergement et de soins de santé sont moins bien équipés (et formés) pour accompagner une personne en fin de vie.
Les chercheurs à l’origine de l’étude, publiée dans Archives of Internal Medicine, affirment que les centres de soins publics devraient tous être dotés d’un centre de soins palliatifs.
« Souvent, l’important pour les médecins et infirmières est de garder les patients fonctionnels et indépendants le plus longtemps possible. On devrait parfois plutôt penser en termes de trajectoires de fin de vie, ce qui est un autre processus. »
D’abord basée sur des statistiques du Medicare américain, l’étude s’avère profitable à tous les pays, puisque tous seront aux prises avec un tel choix tôt ou tard. C’est encore plus vrai lorsque l’État paie certains frais (ou en totalité). Il a donc une responsabilité.