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Un lien entre l’obésité et l’endroit où l’on vit

Après avoir comparé 14 nations dans le monde, les chercheurs établissent pour la première fois un lien entre les lieux et la santé.
 
Il existe donc plus de risques de devenir obèse, et par conséquent de souffrir de diabète, chez les personnes qui vivent dans des endroits où la pratique de la marche à pied et du vélo est plutôt impossible.
 
« L’activité physique est cruciale. Si nous continuons à planifier les communautés en privilégiant la voiture comme le mode de transport le plus pratique, on peut s’attendre à ce que les dépenses dans le domaine des soins et de la santé grimpent et que la qualité de vie baisse », explique Lawrence Frank de l’Université de la Colombie-Britannique.
 
Les personnes qui vont au travail en prenant le transport en commun, par exemple, sont plus en forme, car elles montent des escaliers et marchent d’un endroit à l’autre.
Selon l’American Journal of Public Health, les Suisses, les Néerlandais et les Espagnols sont le plus en forme alors que les Américains, les Australiens et les Canadiens sont plus gros.
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Le mode de vie est le plus gros facteur de risque pour le cancer du sein

Un traitement hormonal à la ménopause, trop d’alcool, l’obésité, une grossesse tardive, une absence de grossesse ou une puberté précoce sont autant de facteurs liés au mode de vie qui augmentent les risques de développer un cancer du sein.
 
Une nouvelle étude publiée dans The Lancet mentionne que les gènes ne sont responsables que d’une petite proportion des cancers du sein et que le mode de vie aurait une plus grande influence.
 
La recherche effectuée sur 7 160 femmes ayant un cancer du sein et 10 196 femmes en bonne santé à l’Université d’Oxford, aux États-Unis, ne tenait pas compte toutefois de deux gènes connus, le BRCA 1 et le BRCA 2, qui sont des porteurs de haut risque de cancer.
 
L’étude visait à savoir si les différents facteurs liés au mode de vie interféraient avec des variations génétiques dans le développement de la maladie.
 
« Les gènes n’entrent en compte que dans une petite proportion des cancers du sein et pour la plupart des femmes, les principaux facteurs de risque restent ceux liés au mode de vie (âge de la maternité, de la puberté, traitements hormonaux prolongés à la ménopause, obésité, alcool). La bonne nouvelle est que certains d’entre eux sont modifiables, et en modifiant leurs comportements, les femmes peuvent modifier leur risque », confie la Dre Jane Green, coauteure de la recherche.
 
« Malheureusement, les gènes étudiés n’apportent aucune nouvelle indication. De nouvelles approches sont nécessaires », ajoute le Canadien Steven Narod.
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Les traitements contre le cancer de la prostate n’affectent pas la qualité de vie

Tous les traitements contre le cancer de la prostate causent une dysfonction érectile et certaines thérapies affectent également la fonction urinaire, mais en général, rien n’affecte la qualité de la vie des patients qui, eux, s’adaptent aux désagréments, mentionne une étude américaine.
 
Les traitements n’affectent pas la douleur, le niveau d’énergie, le bien-être émotionnel ou même les activités quotidiennes, rapporte Passeport Santé.
 
C’est ce que révèle l’étude à laquelle 1 269 Américains ayant un cancer à un stade précoce ont participé pendant les quatre années de leur traitement.
 
60 % d’entre eux ont subi une ablation complète ou partielle de la prostate, 17 % ont eu de la curiethérapie (une forme de radiothérapie), 12 % ont eu de la radiothérapie, 5 % ont reçu une thérapie hormonale et finalement, 6 % ont reçu une combinaison de radiothérapie et de curiethérapie.
 
Toutes les méthodes causent la dysfonction érectile, mais dans la deuxième année, ceux ayant eu une ablation notaient déjà une amélioration de leur état.
 
Alors que l’ablation, la radiothérapie et la curiethérapie causent de l’incontinence urinaire, les désagréments s’estompent un an plus tard, permettant ainsi de retrouver une grande qualité de vie.
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Le véritable plaisir commence à 50 ans

Depuis un moment, on mentionne que la vie commence à 40 ans, mais des scientifiques viennent de déclarer que le vrai plaisir débute lorsque l’on atteint la cinquantaine.
 
À 50 ans, les gens n’ont en général plus les soucis de se bâtir une carrière, de se trouver un conjoint, d’acheter une maison et d’élever les enfants. Les décisions importantes étant choses du passé, les gens peuvent enfin profiter pleinement de leur vie.
 
Les chercheurs affirment que tout s’améliore à chacune des décennies de notre vie et que le bonheur est de plus en plus grand avec l’âge. C’est ce qui ressort de leur recherche effectuée auprès de 340 000 Américains, hommes et femmes, âgés de 18 à 85 ans. Le bonheur continue de progresser, même à 85 ans.
En vieillissant, il semble que l’on est plus porté à voir le côté positif des choses et que nous sommes plus en harmonie avec nos sentiments. Le fait que les aînés soient en meilleure santé de nos jours y est aussi pour quelque chose.
 
Avec l’âge viennent la sagesse et le bonheur. « Si vous faite une utilisation fructueuse de ce que vous avez découvert sur vous-même dans la première moitié de votre vie, la seconde moitié ne pourra que vous en donner plus », affirme le Dr Carlo Strenger de l’Université de Tel-Aviv, en Israël, qui commentait les résultats parus dans le Daily Mail.
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L’intelligence des femmes au secours des hommes

Voilà une nouvelle qui va faire sauter de joie les femmes, mais rendre les hommes septiques.

Le Times mentionne que des chercheurs suédois ont découvert que la durée de vie des hommes n’avait rien à voir avoir leur éducation, mais plutôt tout à voir avec leurs femmes.

Les hommes qui croient être assez intelligents pour deux dans un couple se tromperaient. En fait, un homme qui épouse une femme intelligente a plus de chances de vivre vieux et en santé.

Attention, cela n’est pas pour autant une grande victoire pour l’intelligence féminine. Ce résultat serait surtout dû au fait que les femmes intelligentes prodiguent de bons conseils au niveau de la santé.

Elles savent d’instinct l’importance de chaque repas et des effets de la bonne nourriture. Sans femmes, les hommes se contenteraient beaucoup plus facilement de nourriture servie dans les restaurants-minuteou de saucisses à tous les repas.

Les femmes sont aussi plus vigilantes et surveillent les gestes de leur mari qui pourraient causer un danger ou des problèmes de santé, comme marcher pour aller au travail en plein hiver sous la pluie sans être habillé chaudement.

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Un objectif pour vivre plus longtemps

Selon la Dre Patricia Boyle, une neuropsychologue du Centre médical de l’Université Rush à Chicago, se fixer un objectif, aussi minime soit-il, fait augmenter l’espérance de vie.

« Ça peut être n’importe quoi : réaliser un but, faire du bénévolat ou encore entreprendre la lecture d’une série de livres. Nous avons découvert que les gens qui se fixaient des buts étaient substantiellement moins à risque de mourir, comparativement aux autres qui n’attendent rien de la vie », a fait savoir madame Boyle.

1 238 aînés, âgés en moyenne de 78 ans, ont participé à cette recherche qui a duré trois ans.

« Notre étude suggère que si vous avez des projets, si la vie a du sens pour vous et si vous avez une personnalité orientée vers l’atteinte de vos objectifs, alors vous risquez de vivre plus longtemps », a conclu la scientifique.

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Messieurs, modérez votre consommation d’oeufs

Selon une étude publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition, trop d’oeufs au menu serait nocif pour les hommes, particulièrement ceux qui souffrent de diabète.

Lorsque les participants de l’étude mangeaient plus de sept oeufs par semaine, le taux de mortalité bondissait de 23 % et doublait lorsque les sujets étaient diabétiques.

Selon les chercheurs, cela pourrait s’expliquer par le fait que les diabétiques convertiraient plus facilement le cholestérol alimentaire en cholestérol sanguin que les personnes non diabétiques. Un oeuf contient 200 mg de cholestérol, soit 100 mg de moins que la limite quotidienne suggérée pour éviter les risques de maladies cardiaques.

Heureusement, cette consommation excessive d’oeufs n’a pas d’incidence sur les infarctus et les accidents vasculaires cérébraux.

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Des vitamines pas si efficaces

Avis aux personnes qui consomment des vitamines ou des antioxydants en capsules afin d’améliorer leur état de santé : cela pourrait avoir l’effet contraire, selon ce que prétendent des scientifiques de l’université de Copenhague, au Danemark, qui ont analysé 67 études sur l’efficacité des vitamines.

Selon eux, le risque de mortalité augmente de 16 % avec la prise de vitamine A, 7 % avec le bêta-carotène et de 4 % avec la vitamine E.

Quant à la vitamine C, son effet est non significatif sur l’organisme.

Cette découverte laisse perplexes les chercheurs danois, qui s’expliquent difficilement pourquoi les suppléments vitaminiques ont un effet si négatif sur le corps humain. Ils avancent l’hypothèse que ces suppléments pourraient avoir un effet sur l’assimilation des graisses par l’organisme.