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Mode et accessoires

Nelson Mandela lance un modèle de bracelet

Nelson Mandela a souligné son 90e anniversaire en lançant un bracelet tout spécial, rapporte FemaleFirst.

Le légendaire président de l’Afrique du Sud a fait équipe avec la compagnie Montblanc afin de créer ce bracelet, sur lequel est gravé son ancien numéro de prisonnier, le matricule 46664.

Le bracelet a été créé avec du matériel sud-africain. Ce sont des artistes atteints par le VIH/sida qui ont ajouté la touche finale.

Lutz Bethge, de chez Montblanc, a déclaré : « Montblanc est honoré de faire partie d’une initiative aussi significative et importante. La bataille contre le VIH et le sida est une cause extrêmement importante et Montblanc est plus que fier d’avoir la possibilité de contribuer au succès de ce projet. »

Le bracelet 46664 sera disponible dans les boutiques Montblanc sélectionnées. Les profits iront directement à la Fondation Mandela, dédiée notamment aux gens atteints par le virus du sida à travers l’Afrique.

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La RAMQ autorise l’ATRIPLA

Après l’homologation de l’ATRIPLA par Santé Canada en octobre 2007, c’est maintenant au tour de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) d’emboîter le pas et d’autoriser ce médicament contre le VIH/sida qui a les mêmes effets que la trithérapie en un seul comprimé.

Pour les médecins qui traitent les patients atteints du VIH/sida, dont Réjean Thomas, cette nouvelle est bien accueillie et va simplifier la prise de médicaments de leurs patients. « Plus il y a de pilules à prendre à différents moments de la journée et plus grand est le risque d’en oublier », soutient le Dr Thomas.

L’ATRIPLA a été mis au point par Bristol-Myers Squibb Canada et Gilead Sciences.

20 000 Québécois vivent avec le virus du VIH, ce qui représente une hausse de 8 % depuis 2002.

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La protéine anti-VIH démasquée

La présence de la protéine FOXO3a permet à certaines personnes de ne pas contracter le VIH ainsi que d’autres maladies virales, selon les résultats d’une étude publiée dans l’édition en ligne de Nature Medicine.

Avec le temps, l’infection au VIH engendre une dégénérescence des lymphocytes T, les défenseurs du corps humain. Les cellules de la mémoire centrale, celles qui peuvent intervenir contre un virus, sont particulièrement touchées. La présence de la protéine FOX03a permet néanmoins aux cellules de la mémoire centrale de survivre.

« Notre groupe a découvert l’importance vitale de la protéine clé FOX03a pour la survie des cellules de la mémoire centrale, endommagées chez les sujets séropositifs même lorsqu’ils suivent un traitement », révèle le directeur de l’étude, le Dr Rafick-Pierre Sékaly, chercheur au Centre hospitalier de l’Université de Montréal ainsi qu’à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale de France.

Cette découverte contribuera au développement d’un vaccin contre le VIH.

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Les essais cliniques du Carraguard non concluants

Il semble que l’homologation du gel microbicide Carraguard ne verra jamais le jour, puisque les tests cliniques de phase III se sont avérés non concluants. En effet, les résultats indiquent qu’il y aurait même une augmentation du risque de transmission du virus du VIH/sida chez les femmes qui l’utilisent.

C’est l’Independent Data Monitoring Committee (IDMC) qui a mis fin aux essais cliniques du gel vaginal à base de sulfate de cellulose et de carraghénine, un dérivé d’algue marine.

« L’étude montre que Carraguard est inoffensif pour un usage vaginal pendant deux ans. Cependant, l’étude a aussi été incapable de montrer son efficacité pour prévenir la transmission du VIH de l’homme à la femme », a mentionné la Dre Khatija Ahmed, du Population Council, une ONG internationale.

Parmi les participantes qui utilisaient le Carraguard, les scientifiques ont répertorié 134 nouvelles infections contre 151 dans le groupe sous placebo. Cette différence n’a pas été jugée significative en termes statistiques.

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La nourriture mâchée peut être dangereuse

Des chercheurs ont découvert que le virus du sida peut être transmis chez l’enfant si ce dernier mange de la nourriture mâchée par une personne infectée, rapporte MedlinePlus.

La salive en soi ne serait pas responsable de la transmission de la maladie, mais plutôt la présence de sang contaminé dans celle-ci. Le virus se propage lorsque le sang entre en contact avec une coupure ou une inflammation dans la bouche ou le tube digestif du bambin.

Le centre américain de prévention et de contrôle des maladies a répertorié trois cas de jeunes enfants infectés de cette façon aux États-Unis entre 1993 et 2004.

Cette découverte pourrait avoir un impact sur la transmission du sida dans les pays en voie de développement, où l’on mâche davantage les aliments avant de les donner aux enfants, les malaxeurs et la nourriture empaquetée y étant rares.

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Percée médicale sur le VIH/sida

Selon un article publié dans le Bulletin des médecins suisses, le traitement antirétroviral empêcherait la transmission du virus du VIH/sida lors d’une relation sexuelle non protégée.

Toutefois, quelques conditions s’imposent aux personnes séropositives, comme :

  • n’être atteint d’aucune autre maladie transmissible sexuellement;
  • suivre le traitement antirétroviral;
  • avoir une charge virale qui se situe en dessous du seuil de détection depuis au moins six mois;
  • arrêter d’avoir des relations sexuelles protégées à la suite des recommandations d’un médecin.

Bien que cette nouvelle puisse révolutionner les relations des personnes séropositives, plusieurs spécialistes accueillent avec scepticisme cette percée médicale. Le directeur du laboratoire de recherche sur le sida à l’Université de Californie à San Francisco, le Dr Jay Levy, insiste sur le fait que d’autres recherches doivent être effectuées afin de prouver hors de tout doute qu’un patient séropositif ne transmettra pas le virus s’il est en traitement antirétroviral.

Même prudence du côté du Conseil national français du sida, qui réclame d’autres études avant de modifier ses recommandations.

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Un nouveau traitement du syndrome de lipodystrophie

La découverte des chercheurs du Centre universitaire de santé McGill et de l’Hôpital général du Massachusetts permet d’apporter l’espoir de traiter le syndrome de lipodystrophie.

Celui-ci est l’une des conséquences de la prise de médication antirétrovirale utilisée chez les personnes atteintes du VIH/sida. Parmi les symptômes, on observe une diminution générale des tissus graisseux et une augmentation des tissus graisseux profonds de l’abdomen.

Il semble que la masse graisseuse abdominale des sujets traités à la tésamoréline, qui souffrent de ce syndrome associé au VIH/sida, a diminué d’environ 15 %. Les chercheurs démontrent également qu’il y a très peu d’effets secondaires associés à la tésamoréline.

D’autres recherches supplémentaires devront toutefois être effectuées afin de respecter les normes de Santé Canada et la Food and Drug Administration américaine.

Les résultats complets de cette étude sont publiés dans le New England Journal of Medicine.

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Le sida est en hausse

Un article du Journal of the American Medical Association dévoile quelques statistiques peu encourageantes en ce qui concerne le taux d’infection chez la population gaie masculine.

Les auteurs de l’étude démontrent qu’entre 2001 et 2005, il y a eu une augmentation de 13 % des cas des VIH ou sida chez les homosexuels américains. Les auteurs ont une preuve supplémentaire que les relations sexuelles chez cette population sont de moins en moins protégées puisque le taux d’infection de la syphilis est 10 fois plus élevé également.

Ce phénomène ne se limite pas qu’aux États-Unis puisqu’il a été observé au Canada. David Boulos, épidémiologiste principal auprès de l’Agence de la santé publique du Canada, affirme que le pourcentage des nouveaux cas d’infection au VIH/sida chez la communauté homosexuelle a passé de 37 à 45 % entre 1996 et 2005.

Le docteur Harold Jaffe, de l’Université Oxford, le docteur Kevin de Cock, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le docteur Ronald Valdiserri croient que les récentes percées médicales dans le domaine rendent un peu trop confiants les homosexuels mâles. « Nous avons l’impression qu’il existe en ce moment une attitude complaisante vis-à-vis de l’épidémie en général, et particulièrement chez les hommes gais. Il semble simplement qu’on accepte que, oui, l’épidémie se poursuive », a précisé M. Jaffe.

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Moins de personnes infectées par le VIH/sida

Les deux organismes mondiaux revoient à la baisse leurs prédictions à propos des cas de VIH/sida. À l’échelle mondiale, 33,2 millions de personnes sont infectées par le virus, dont 2,5 millions d’enfants, alors que le Programme commun évaluait l’an dernier ce nombre à 39,5 millions.

Ainsi, chaque jour, 6 800 personnes reçoivent un diagnostic de leur médecin comme de quoi ils sont infectés par le VIH, tandis que 5 700 décès reliés à la maladie surviennent. Les médicaments antirétroviraux sont responsables de la baisse du nombre de décès liés au sida depuis deux ans.

Parmi les pays où on note une baisse considérable, il y a l’Inde, l’Angola, le Kenya, le Mozambique, le Nigeria et le Zimbabwe.

Ces données encourageantes ne doivent pas signifier l’abandon de la communauté internationale pour prévenir la maladie et lutter contre elle, selon Peter Piot, le chef de la direction d’Onusida.

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La combinaison de deux virus

Selon un groupe de chercheurs, de représentants gouvernementaux et de membres de l’industrie pharmaceutique, la propagation en Afrique subsaharienne du VIH/sida et de la tuberculose se fait à un rythme très rapide.

Chez les nouveaux cas de tuberculose rapportés dans cette très pauvre région du globe, au moins la moitié serait déjà atteinte par le virus VIH/sida.

De plus, un nombre important d’individus nouvellement infectés par la tuberculose ont une forme résistante de la maladie, c’est-à-dire que cette dernière ne répond pas aux médicaments.

Dans le monde entier, environ 40 millions d’individus sont atteints du VIH/sida et, d’après le groupe indépendant de chercheurs, un sur trois est aussi infecté par la tuberculose.

La combinaison de VIH/sida et de tuberculose entraîne cinq fois plus de décès que chez les gens affectés par la tuberculose seulement.