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U2 lance Invisible au profit de RED

U2 lance le nouvel extrait Invisible et s’associe à la Bank of America afin de récolter de l’argent pour la fondation RED, mise sur pied par le chanteur de la formation irlandaise, Bono lui-même.

Offerte gratuitement dès maintenant sur iTunes, la pièce permettra d’amasser jusqu’à huit millions de dollars, selon ce que rapporte le Rolling Stone.

Le principe est simple : pour chaque téléchargement de l’extrait Invisible, Bank of America remettra un dollar à la fondation RED, qui lutte contre la propagation du sida à travers le monde.

« Nous profitons de l’énergie entourant le Super Bowl et l’intérêt pour U2, et on retourne ça dans la lutte au VIH et au sida », explique Bono en entrevue au USA Today.

Attention, cette opération avec Invisible devrait se terminer mardi (4 février), alors il ne vous reste plus que quelques heures pour vous procurer la chanson et ainsi contribuer au geste conjoint de U2 et de la Bank of America.

S’il ne s’agit pas d’un extrait officiel du nouvel album de U2, Bono promet du même souffle du nouveau matériel bientôt. « On a une autre chanson qui lancera très bien l’album. Celle-là est juste un genre de rappel qu’on existe », lance le chanteur.

On ignore encore à quel moment U2 lancera son prochain opus, mais le lancement devrait s’effectuer au cours de 2014.

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Les tests du VIH : les adolescents ne sont pas suffisamment sensibilisés

Ce sont les résultats auxquels sont parvenus les chercheurs du Centre médical Montefiore et du Collège de médecine Albert Einstein de l’Université Yeshiva. En fait, ceux qui passaient les tests de dépistage étaient les adolescents en couple sérieux et dont les deux partenaires étaient ouverts aux discussions sur les relations sexuelles.

Ce sont 1000 adolescents de 14 à 17 ans qui ont été interrogés, lesquels vivaient dans le Bronx, New York. De ces répondants, 428 avaient passé les tests. Cela représente uniquement 44 %, et tous étaient actifs sexuellement.

« Malgré nos efforts pour éduquer les jeunes sur les risques de maladies transmises sexuellement, particulièrement le VIH, il est clair qu’il manque un élément. Nous devons les encourager à communiquer et à exiger que le partenaire soit testé », affirme Hina J. Talib, médecin spécialisée.

Talib évoque l’urgence d’inclure un module « communication » dans l’éducation sexuelle des jeunes, en commençant par les intervenants du secteur médical qui sont là pour sensibiliser les adolescents à l’importance d’exiger que son partenaire soit testé, rapporte Medical News Today.

« Plus tôt nous décelons le VIH, plus efficace est le traitement », rappelle Dre Talib.

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Espoir de guérison complète du VIH chez les nouveau-nés

Le bébé dont il est question, selon Science World Report, n’a pas eu de traitement depuis 18 mois. Son sang ne présente plus aucune trace du VIH.

L’une des chercheuses qui ont participé à cet essai, Deborah Persaud, vient de publier les nouveaux résultats. « Notre étude suggère que la rémission de cet enfant n’est pas le résultat du hasard, mais bien celui d’un traitement agressif administré très tôt, qui aurait empêché le virus de s’attaquer aux cellules immunitaires de l’enfant. »

Le nourrisson a amorcé son traitement à peine 30 heures après sa naissance. Des échantillons de sang ont été pris au cours des jours et des semaines qui ont suivi. Après seulement 29 jours, la présence du virus dans le sang était quasi inexistante.

L’enfant est demeuré sous traitement pendant 18 mois. Un an et demi plus tard, sans autre traitement, les scientifiques ne retrouvent toujours aucune trace du VIH.

Il s’agit d’un espoir considérable pour tous les enfants qui naissent avec cette grave maladie auto-immune. La recherche a été publiée dans le New England Journal of Medicine.

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Vaste campagne de prévention du VIH du côté d’Ottawa

Radio-Canada rapporte une belle initiative de prévention du VIH au Canada, plus précisément du côté de la ville d’Ottawa, alors que les autorités ont décidé de proposer gratuitement un médicament capable de réduire les risques d’infection.

La campagne vise particulièrement les personnes jugées plus à risque de contracter la maladie, notamment les toxicomanes.

Le médicament en question est appelé PPE, ou prophylaxie post-exposition, et peut étonnamment prévenir le développement du VIH dans les 72 heures suivant une exposition à risque de la part d’un sujet.

Déjà utilisé dans certains cas d’exposition accidentelle, que ce soit au travail ou à la suite d’une agression sexuelle, le PPE est un traitement qui coûte en moyenne 2000 $ en milieu hospitalier.

Il s’agit donc d’une très belle initiative que de l’offrir gratuitement aux personnes à risque, puisqu’il s’agit d’une option de prévention efficace, à tout le moins selon Patrick O’Byrne, de l’Université d’Ottawa.

Le projet s’échelonnera sur douze mois, et on souhaite pouvoir offrir le traitement à au moins deux personnes par mois. Une dizaine de personnes auraient jusqu’à maintenant pu profiter du PPE dans le cadre du programme, que l’on souhaite voir s’étirer encore plus longtemps que prévu.

À noter que selon les plus récentes statistiques, le VIH et le sida seraient en recul dans le monde pour la première fois depuis le début de leur explosion, il y a plusieurs années.

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Recul confirmé du SIDA dans le monde, selon l’ONU

On annonçait récemment des statistiques qui tendaient à démontrer un recul du SIDA dans le monde, une affirmation qui se voit confirmée par un rapport présenté par l’ONU, selon Top Santé.

En effet, dans son rapport annuel sur l’état et la progression du virus du SIDA dans le monde, l’ONU reconnait non seulement ce recul par rapport aux années précédentes, mais parle également de « progrès spectaculaires ».

Une excellente nouvelle dans un dossier qui ne permet que rarement des pointes d’optimisme, ce que se permet justement maintenant l’Organisation des Nations Unies.  

« Le monde se rapproche de l’un objectifs du Millénaire pour le développement : l’épidémie de sida a été stoppée, et son cours s’est inversé. La course est engagée en direction de l’accès universel au traitement contre le VIH », a expliqué Michel Sidiblé, de l’ONUSIDA, lors du dépôt et de la présentation de ce rapport.

La meilleure nouvelle consiste en cette baisse observée des cas chez les enfants, soit de 52 % par rapport à 2001. Le combat se poursuit, mais il est maintenant permis de rêver…

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Grossesse et sida : une possibilité

Concevoir alors qu’on est séropositive? Oui, c’est possible. De nos jours, avec les avancées médicales, les traitements et la procréation médicalement assistée, les chances d’infecter le futur bébé sont infimes.

Une étude de l’INSERM en 2012 a démontré que le taux de transmission maman-bébé était très bas et diminuait encore plus lorsque la mère était prise en charge avant de devenir enceinte.

Si c’est l’homme qui est atteint, il faut que les docteurs isolent une fraction de son sperme qui ne présente pas le virus. Ensuite, ils feront une fécondation in vitro (FIV) ou une insémination intra-utérine.

Si c’est la femme qui est atteinte, une auto-insémination dans l’intimité est tout à fait possible. En début de grossesse, un test pour confirmer la présence du virus sera proposé. Ensuite, la prise en charge sera entreprise. Le but sera de trouver une charge virale indétectable quand le moment sera venu d’accoucher.

Si la femme est traitée à temps et qu’elle a bien suivi les procédures, les risques de transmission passent de 20 % à environ 1 à 2 % seulement. L’accouchement naturel devient aussi possible plutôt que d’opter pour une césarienne.

À l’âge de 2 mois, un test de dépistage sanguin sera mené sur le bébé afin de déterminer la quantité du virus retrouvée dans son sang. Les chances sont donc très bonnes que bébé soit en pleine santé!

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Traitement possible de l’ostéoporose grâce à la pravastatine?

Radio-Canada rapporte une percée intéressante annoncée par des chercheurs de la Faculté de médecine Pierre et Marie Curie en ce qui concerne un traitement de l’ostéoporose découlant d’un traitement contre le VIH.

On le sait, les « traitements » par trithérapie sont de plus en plus puissants et efficaces. Ils permettent aux patient atteints du SIDA (ou VIH) de vivre mieux et plus longtemps dans une bonne proportion des cas.

Malheureusement, le traitement par trithérapie comprend aussi son lot d’effets indésirables, selon ce que l’on comprend, à commencer par un vieillissement prématuré des cellules souches de la moelle osseuse et de celles responsables de la formation et du développement des os.

Ainsi, on parle donc d’ostéoporose précoce chez plusieurs patients, mais Claire Laghatu croit qu’elle et son équipe pourraient ni plus ni moins régler le problème grâce à la pravastatine.

Oui, une autre de ces statines dont on parle beaucoup ces temps-ci, puisqu’elles soulèvent une petite polémique concernant les effets secondaires possibles des gens qui en consomment pour prévenir les risques de maladies et d’accidents cardiovasculaires.

Cependant, leur efficacité est quant à elle fortement démontrée, et la pravastatine pourrait également servir la cause des patients atteints d’ostéoporose.

Plusieurs autres tests et recherches doivent être effectués, mais la piste semble prometteuse.

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Deux patients atteints du SIDA en rémission?

Top Santé rapporte une nouvelle stupéfiante si elle s’avère fondée : deux patients atteints du virus du SIDA seraient maintenant en rémission complète, c’est-à-dire qu’on les considèrerait comment guéris… pour l’instant.

Ces miracles se seraient confirmés à la suite d’une greffe de moelle osseuse effectuée par des médecins de Boston, au Brigham and Women’s Hospital.

« Ils se portent très bien. Mais cela n’indique pas encore que ces hommes sont guéris. Le virus peut revenir dans une semaine ou six mois. Seul le temps le dira », tient à préciser Timothy Henrich, qui veut rester prudent.

On le comprendra, puisque le fait de parler de « guérison » en ce qui concerne le SIDA n’est pas une chose simple, le virus demeurant extrêmement virulent, sournois et insidieux.

Cependant, ces cas s’ajoutent à celui d’un résident de Berlin, notamment, qui affirme être lui aussi en rémission à la suite d’une greffe de moelle osseuse semblable reçue en 2007.

Il semble que si la guerre est loin d’être gagnée, comme le soulignait récemment l’OMS en publiant un nouveau plan d’attaque préventif, une autre manche vient d’être remportée par les chercheurs.

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SIDA : L’heure est au bilan

Alors que le dossier du SIDA refait surface au Québec dans le cadre de la polémique entourant les dons de sang, on apprend que trente années se sont écoulées depuis la découverte de cette terrible maladie.

30 ans de recherche active et de sensibilisation, qui ont vu beaucoup de progrès être réalisés, sans toutefois voir apparaître sur le marché un traitement efficace à 100 %.

Toutes ces facettes et bien d’autres seront abordées au colloque scientifique international de Paris, où se croiseront plusieurs spécialistes dans le domaine.

Top Santé, qui rapporte la nouvelle, reprend les propos de certains spécialistes présents au colloque, qui se déroule par ailleurs à l’Institut Pasteur.

« … la multiplication du virus, la réaction du système immunitaire, les mécanismes de déclenchement de la maladie et les nouvelles stratégies thérapeutiques envisageables… », énumère d’abord Olivier Schwartz, décrivant quelques-uns des thèmes présentés lors du rassemblement.

Il poursuit en expliquant : « Dans les pays riches, la majorité des personnes infectées ont accès aux traitements et, en conséquence, ne sont pas malades. Elles sont soignées, elles ne sont pas guéries, mais leur confort de vie est normal dans la majeure partie des cas ».

Son optimisme rejoint celui de Robert Gallo, qui prévoit un traitement préventif contre le VIH d’ici la prochaine décennie.

30 ans de règne de terreur, donc, pour le mortel virus, mais aussi 30 ans de progrès et de lutte implacable, qui pourraient se solder par la découverte du traitement tant attendu. 

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Les abeilles pourraient contribuer à un traitement contre le VIH

Les abeilles sont fascinantes et primordiales au bien-être de l’homme ainsi qu’à sa survie, bien qu’on ne les voit pas toujours à l’œuvre.

En plus d’assurer le bon fonctionnement de l’écosystème et des êtres qui l’habitent, Top Santé rapporte que les abeilles pourraient maintenant ajouter une autre corde à leur arc et contribuer à un nouveau type de traitement contre le VIH.

Selon des chercheurs américains, le venin d’abeille renferme une toxine capable de pénétrer l’enveloppe protectrice du virus, et même de le détruire.

Associée à des nanoparticules, une idée de l’équipe de chercheurs en provenance de Washington, la toxine atteint son but.

C’est du moins ce qui ressort des tests en laboratoire jusqu’à maintenant, ce qui rend les scientifiques fort optimistes.

« Nous nous attaquons à une propriété inhérente au VIH. Théoriquement, il n’y a pas moyen pour le virus de s’adapter à cela. Le virus a besoin d’un revêtement protecteur, une membrane à double couche qui le recouvre », résume le Dr Joshua Hood.