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Une association plaide pour des tests de dépistage du VIH systématiques

Un influent panel américain, qui regroupe plusieurs professionnels de la santé, fait l’apologie des tests de dépistage du VIH systématiques et aimerait voir ce système être intégré aux façons de faire en santé.

D’abord, l’association croit que de faire du dépistage systématique chez les gens âgés de 15 à 65 ans permettrait d’éliminer la notion de « gêne » que les gens peuvent ressentir lorsqu’ils demandent à passer des tests de dépistage pour cette terrible maladie (virus).

En intégrant ces tests dans les examens de routine chez le médecin, plus besoin d’être embarrassé, puisque ce serait la norme.

De plus, il s’agit de contrer la prolifération du VIH par des gens qui ignorent qu’ils en sont atteints. On recense 1,2 million de personnes atteintes du VIH aux États-Unis, dont 20 à 25 % ne seraient pas au courant. Voilà en effet une statistique alarmante.

La requête est maintenant appuyée par le gouvernement. Le Dr Douglas Owens, de l’Université Stanford, précise : « La première recommandation concernait les adultes à haut risque et les adolescents, mais cette fois on aimerait cibler carrément tout le monde. ».

Des tests pourraient aussi être implantés systématiquement pour les femmes enceintes.

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20 % des gens atteints du VIH l’ignoraient lors de leur premier rapport sexuel

Selon ce que rapporte www.nih.gov, 20 % des gens atteints du VIH ignoraient leur situation lors de leur premier rapport sexuel.

Voici une nouvelle stupéfiante, si l’on considère que les gens ciblés dans ce constat étaient infectés depuis leur naissance. C’est 1 personne sur 5, donc, qui ne savait pas qu’elle était porteuse du VIH en entamant sa vie sexuelle active.

De plus, l’étude rapportée explique qu’en plus de ce nombre, plusieurs auraient menti à leur partenaire sexuel avant les rapports physiques ou auraient simplement « omis » de le dire.

Pour conclure cette étude alarmante, le site affirme qu’un autre pourcentage très élevé avoue ne pas avoir porté de condom ou de protection lors de leurs premières expériences sexuelles.

Les auteurs de cette étude lancent un cri d’alerte et somment les parents qui connaissent l’état de santé de leur enfant (VIH depuis la naissance) de les informer de la situation avant qu’ils n’atteignent l’adolescence, afin de stopper la prolifération du virus chez d’autres personnes.

L’étude sondait 330 répondants atteints du VIH depuis leur naissance, de 10 à 18 ans, et portait sur leurs habitudes sexuelles.

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Le vaccin contre le VPH pourrait aussi venir en aide aux femmes qui ont le VIH

Le VPH est une maladie qui frappe fort depuis quelques années. Le virus du papillome humain, de son vrai nom, est statistiquement en hausse depuis quelque temps, mais un vaccin pourrait changer la donne dans le futur.

Et ce vaccin pourrait également profiter aux femmes atteintes du VIH, selon ce que rapporte www.nih.gov. Les chercheurs ont découvert que les risques potentiels chez les porteuses du VIH de développer un cancer sont similaires à ceux encourus par celles atteintes du VPH.

« Plusieurs travailleurs de la santé hésitent à prescrire le vaccin contre le VPH immédiatement après le début de la vie sexuelle d’une jeune femme ou d’une adolescente. Toutefois, les résultats des études démontrent que le vaccin peut apporter beaucoup de bénéfices, et même chez les patientes atteintes de VIH, ou qui vont l’être au cours de leur vie », explique l’auteure en chef de cette récente étude, Jessica Khan.

Dre Khan, de l’University of Cincinnati College of Medicine, rappelle également l’importance de la prévention des maladies transmissibles sexuellement chez les jeunes filles.

D’autres études concernant les liens entre le VIH, le VPH et ces vaccins seront publiées dans un futur rapproché.

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Le catalogue des données sur les variations génétiques double ses données

Si vous l’ignoriez, sachez que la communauté scientifique mondiale a créé un catalogue des données sur les variations génétiques. Celui-ci permet aux chercheurs qui luttent contre diverses maladies à travers le monde de compiler des données génétiques et leurs variations, afin d’expliquer et d’enrayer les risques de développer des maladies graves.

Cet outil fort utile et prometteur vient de doubler ses données grâce au Projet 1000 Génomes (1000 Genomes Project), qui vient de faire paraître sa plus récente publication, rapporte www.nih.gov.

Le but du projet est de compiler différentes variantes dans le génome humain, qui se produisent chez au moins 1 humain sur 50. Même si certaines, voire la plupart, de ces variations n’ont pas d’incidence réelle, certaines sont bel et bien complices de la formation de quelques maladies graves connues, comme le VIH, par exemple.

Le projet et le catalogue sont prometteurs dans la poursuite de traitements contre certains des plus grands fléaux.

Le Dr Eric Green, directeur du National Human Genome Research Institute, explique : « Ce projet est un effort international grandiose pour cerner les variations génétiques humaines enregistrées partout dans le monde. Ces nouvelles publications permettent de mieux comprendre ces phénomènes et les dynamiques de certains génomes, cruciaux dans la quête de traitements ».

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Nouveau test de dépistage du VIH et du cancer de la prostate

Un prototype de test de dépistage vient de voir le jour et il semble fort prometteur, selon ce qu’affirme santelog.com.

De plus, il serait facile d’accès et peu onéreux, ce qui pourrait le rendre efficace non seulement pour aider les gens sur notre continent, mais aussi ceux qui vivent dans des pays moins bien développés.

Ainsi, le test de dépistage permet de déceler rapidement des stades précoces du VIH et du cancer de la prostate, et ce, à l’œil nu! Des indicateurs colorés apparaitraient sur la peau lorsque le procédé est effectué, permettant de prévenir rapidement les praticiens de la présence de ces maladies.

Il s’agit d’un système de nanoparticules d’or qui, au contact d’un bio-marqueur, permet de voir les résultats presque instantanément. Les chercheurs à l’origine de ce test avançaient, lors de la parution d’un article dans le magazine scientifique Nature Nanotechnology, que ce système est dix fois plus performant que les modes de dépistage actuels.

Voilà une excellente nouvelle pour les praticiens de partout, et spécialement pour ceux qui doivent travailler dans des zones plus pauvres, où le matériel et les ressources sont parfois limités.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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Un mécanisme de défense naturel pour combattre le SIDA

Les scientifiques étudient et tentent de mieux comprendre pourquoi certains patients semblent être naturellement mieux équipés pour combattre les effets du virus du SIDA, explique nlm.nih.gov.

Certains patients semblent en effet posséder un mécanisme naturel qui combat le VIH, ce qui permettrait aux chercheurs de développer un vaccin efficace.

Pour la plupart des gens, un diagnostic de VIH non traité signifie presque à coup sûr une progression vers le SIDA. Cependant, il appert qu’un patient sur 300, en moyenne, éviterait la progression du VIH naturellement, sans traitement. Ces personnes sont appelées par la communauté scientifique des « contrôleurs élites » (elite controllers).

Ces derniers produiraient une cellule-tueuse qui attaquerait deux ou trois régions du virus. « En se concentrant sur ces régions, le système immunitaire contrôle le virus », déclare le professeur de pathologie David Watkins, de l’University of Miami Miller School of Medicine.

Il poursuit : « Comprendre ce mécanisme pourrait jeter de la lumière sur les manières de développer un vaccin efficace qui enrayerait définitivement la crise mondiale reliée au VIH et SIDA ».

De quoi donner de l’espoir. La prochaine étape consiste à cerner les raisons pour lesquelles ces cellules-tueuses sont si efficaces.

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La lutte contre le VIH avance d’un autre pas

La revue Nature révèle que le vaccin anti-VIH RV144 serait efficace contre certains virus du VIH qui ont deux empreintes génétiques dans la zone de l’enveloppe externe du VIH, la région ENV-2. Ceci rendrait le virus plus sensible au nouveau vaccin.
 
« C’est la première fois que nous observons sur le virus une pression au niveau génétique liée à un vaccin contre le VIH », explique la Pr Morgane Rolland, auteure principale des travaux.
 
En fait, on constate une réponse immunitaire sur les deux zones en question.
 
« Ces résultats confirment à la fois le résultat de l’essai RV144 et l’étude précédente, publiée dans le New England Medical Journal en avril dernier, montrant que des anticorps dirigés vers la région V1V2 peuvent réduire le risque d’infection. L’ensemble de ces travaux suggère que la région Env-V2 pourrait être une cible essentielle pour de futurs vaccins contre le VIH », ajoute le coauteur de l’étude, Jérôme Kim.
 
Les chercheurs ont examiné les séquences du génome du VIH de 110 personnes pour parvenir à ce résultat.
 
Pour le moment, les virus qui déjouent les vaccins ont une empreinte génétique qui fait en sorte de tromper le système immunitaire.
 
« Cette étude est un signe optimiste pour la recherche vaccinale VIH et représente des progrès substantiels dans la compréhension des contraintes de développement d’un vaccin plus efficace contre le VIH qui finira par mettre fin à cette pandémie », conclut la Pr Rolland.

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Une nouvelle pilule contre le VIH

Ce nouveau médicament, appelé Stribild, combine quatre molécules, dont deux nouvelles. Il a l’avantage d’être consommé une seule fois par jour, comparativement à d’autres traitements qui nécessitent l’absorption de plusieurs pilules par jour.

Avant de recevoir l’aval de la FDA, le Stribild a été testé sur 1400 patients. Les études ont démontré que le nouveau traitement est aussi efficace, voire plus efficace que d’autres médicaments.

Le Stribild ramène le virus à des niveaux indétectables chez neuf patients sur dix en l’espace de 48 semaines.

Autre bonne nouvelle, le nouveau médicament n’occasionnerait que des effets secondaires minimes ou modérés, notamment des nausées ou diarrhées.

Le Stribild n’est pas encore autorisé au Canada, en Australie et dans l’Union européenne.

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Le VIH à la rescousse du cancer

La lutte contre le VIH est difficile, car le virus se transforme énormément, ce qui lui permet de résister aux antiviraux.
 
Cependant, les scientifiques viennent de tirer un avantage de ces transformations avec une des protéines mutantes générées lors du processus par le virus génétiquement modifié. Il s’avère que le tout est un puissant anticancer.
 
Cette protéine multiplie par 300 l’efficacité des traitements contre les cellules tumorales, ce qui permettrait donc de réduire les doses de médicaments, et par conséquent les effets secondaires.
 
Cette fois, c’est dans le génome du VIH que l’on a introduit un gène humain qui accentue les effets anticancer.
Des études précliniques sur des animaux devront être effectuées au cours des prochaines années avant d’envisager des essais sur des humains.
 
Si elle se confirme, cette découverte pourrait servir à d’autres voies thérapeutiques également.
 
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VIH : Le lait maternel touché par des médicaments antirétroviraux

C’est par le biais d’échantillons de cheveux et de sang prélevés sur des nourrissons de 3 mois que des preuves que certains médicaments touchent l’enfant in utero et pendant l’allaitement ont été découvertes.

En effet, le lopinavir et le ritonavir atteignent directement l’enfant dans l’utérus, tandis que l’éfavirenz semble être transmis in utero tout comme pendant l’allaitement.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco et de l’Université de Makerere en Ouganda ont observé plus de 100 mères séropositives qui allaitaient leurs poupons et qui prenaient l’un de ces médicaments.

Les chercheurs ont aussi analysé des échantillons de cheveux et de sang prélevés sur les femmes et leurs nourrissons. Des tests sanguins ont pu détecter une exposition récente à un médicament, tandis que les échantillons capillaires pouvaient montrer une exposition plus ancienne aux médicaments et même lors d’un mois précis durant la grossesse.

Mentionnons que les femmes séropositives prennent des médicaments antirétroviraux pour les aider à empêcher la transmission du VIH à leur fœtus, mais elles ne devraient pas allaiter, car le VIH peut être transmis par le lait maternel, disent les experts. Toutefois dans certains pays en développement, l’allaitement au sein demeure la seule option pour nourrir son petit.

Avec ces données, les chercheurs espèrent être capables de mieux venir en aide aux petits et d’atténuer les conséquences désastreuses.

Les informations sont parues sur le site Babycenter.com.