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VIH chez les enfants : un nouveau moyen de traiter l’infection

L’utilisation du raltégravir avec d’autres médicaments antirétroviraux a été approuvée par la FDA, en décembre dernier, pour le traitement de l’infection au VIH chez les enfants et les adolescents âgés de 2 à 18 ans.

Rappelons que depuis 2007, le raltégravir, qui fait partie d’une classe de médicaments appelés inhibiteurs de l’intégrase du VIH, est utilisé chez les adultes.

Un essai clinique a prouvé que 53 % des 96 patients inscrits se sont retrouvés avec une quantité indétectable du VIH dans leur sang, après avoir été traités avec le raltégravir pendant 24 semaines. Le traitement au raltégravir chez les enfants consiste notamment à avaler une pilule deux fois par jour, avec ou sans nourriture.

Pour les spécialistes, le raltégravir est une nouvelle option importante, efficace et sans danger pour le moment pour les enfants atteints du VIH.

L’étude de l’utilisation de ce traitement chez les enfants et les adolescents va se poursuivre. L’une des prochaines étapes pour faire progresser l’étude est également d’examiner les possibilités de traitement chez les nouveau-nés.

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Sida : peu d’enfants traités

À la suite de la Journée mondiale du sida, l’Organisation mondiale de la santé a présenté les plus récentes données sur les enfants atteints. On apprend sur DNDi que si de plus en plus d’adultes atteints (environ la moitié) ont accès aux traitements offerts contre le virus, la situation est très différente chez les plus jeunes.

Il semble en effet que moins du quart des enfants séropositifs ou atteints du sida bénéficient de ces traitements; seulement 23 % y ont accès.

En 2010, 250 000 enfants sont décédés des suites du VIH. Cela revient à près de 700 enfants par jour.
 
Les raisons de cette triste situation sont nombreuses. Notamment, on révèle que peu de femmes enceintes ont accès à des soins prénataux et que beaucoup de travail reste à faire quant au dépistage du VIH pour empêcher la transmission de la mère à l’enfant.
 
De plus, il s’avère difficile de détecter le VIH chez les poupons. Mais le grand problème demeure le manque criant de traitements appropriés pour les enfants atteints du sida ou du VIH. Cela comprend tous les enfants, mais particulièrement les tout-petits et les bébés.
 
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Une souche très rare du VIH inquiète

Le professeur François Simon de l’Hôpital Saint-Louis, à Paris, affirme avoir identifié la souche N du VIH dans le sang d’un Français qui aurait été infecté au Togo.
 
Si les informations se confirment, cela montre non seulement que cette souche très rare de la maladie a franchi des frontières, mais elle devient très inquiétante en raison des symptômes sévères provoqués et de la chute du système immunitaire observé chez le patient.
 
Selon The Lancet, pour le moment, la combinaison des cinq médicaments antiviraux contre le VIH a donné de bons résultats de départ, mais l’homme demeure sous étroite surveillance à long terme.
 
Il existe deux types de VIH, le VIH-1, le plus courant, et le VIH-2, qui est très rare. Le VIH-1 est divisé en différents groupes : celui de la souche M qui est le plus répandu, mais aussi des souches O et N très rares. Depuis 2009, on a ajouté la souche P également.
 
Sur les 12 000 cas de VIH dépistés au Cameroun, on notait 12 cas de VIH-1de la souche N. Si l’homme infecté a réellement la souche N, cela démontrera que cette souche se répand maintenant en dehors des frontières du pays.

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Nouveau vaccin prometteur pour les patients atteints du VIH

Des scientifiques vont maintenant procéder aux premiers tests sur des humains d’un vaccin thérapeutique pour les patients atteints du VIH.
 
C’est la compagnie biopharmaceutique InnaVirVax, basée au Génopole à Évry (Essonne), qui est derrière ces essais.
 
Selon Le Parisien, ce vaccin permettrait de préserver le système immunitaire des personnes malades à long terme, ce qui les rendrait moins vulnérables aux infections.
 
Les résultats obtenus lors des études précliniques ont été fort prometteurs. Maintenant, 24 personnes recevront, d’ici la fin de l’année, ce vaccin innovateur.
 
On espère que les résultats seront aussi concluants que les examens précédents. Si tel est le cas, il pourrait donc être un complément aux thérapies antirétrovirales dont bénéficient les personnes atteintes du VIH.
 
Espérons que cette fois, le vaccin donnera les résultats attendus, puisqu’avec le VIH, il y a souvent de grandes déceptions en la matière.
 
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Risque de VIH à cause du contraceptif par injection

On entend beaucoup parler du nouveau contraceptif par injection, et de grands espoirs l’accompagnent. Toutefois, une ombre au tableau s’annonce pour ce mode de contraception à base d’hormones.

Selon une récente étude parue dans The Lancet Infectious Diseases, une femme sous contraceptif par injection court deux fois plus de risques de contracter le VIH qu’une autre ne l’employant pas.

Il semble que le contraceptif en question amenuise les parois vaginales, ce qui provoquerait une augmentation des risques de transmission du VIH.

Les présents résultats ont été obtenus après avoir suivi près de 4000 couples provenant de 7 pays africains différents durant 18 mois. Rappelons que le contraceptif par injection gagne continuellement en popularité; en Afrique subsaharienne, par exemple, 6 % des femmes de 15 à 49 ans l’emploient, c’est-à-dire 12 millions de femmes.

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Mise en garde contre un test de dépistage du VIH

Santé Canada et le ministère de la Santé mettent en garde la population contre un test de dépistage du VIH vendu par la compagnie Accu-metrics basée à Toronto.
 
Ce test peut être fait à la maison, mais le ministère informe les gens qu’aucune de ces trousses, ni le test de salive Accu-VIH 1 et 2 ou le test VIH n’ont été approuvés au pays.
 
Santé Canada n’a même pas évalué l’efficacité du produit et au pays, il est illégal de vendre ou de faire la promotion de produits médicaux qui n’ont pas été autorisés.
 
Les résultats peuvent s’avérer inexacts et induire les gens en erreur. Par exemple, le test pourrait détecter le VIH alors que la personne n’est pas infectée en réalité, et vice versa.
 
Ceux qui ont acheté cette trousse doivent communiquer avec un professionnel de la santé. Accu-metrics a retiré le produit de son site internet pour se soumettre à la loi.

 

Les plaintes peuvent être adressées au ministère au 1-800-267-9675.

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L’importance de la vitamine D

Des chercheurs affirment que la majorité des enfants atteints du VIH ont un taux de vitamine D insuffisant. Les résultats de leur recherche sur le sujet sont parus dans le Journal of Pediatrics.

Ces enfants auraient besoin de recevoir deux fois le traitement standard pour atteindre les degrés attendus. La vitamine D est évidemment recommandée à tous les enfants, rappellent les chercheurs.

Pour ce qui est d’une déficience de cette vitamine, les raisons peuvent être diverses. On pense entre autres à une trop faible exposition au soleil, à l’emploi courant, de nos jours, de la protection solaire ainsi qu’à une alimentation incomplète. D’autre part, les médicaments antirétroviraux pourraient également avoir un impact sur le taux de vitamine D.

La présente recherche a porté sur 53 enfants atteints du VIH. Au total, 85 % d’entre eux accusaient une carence en vitamine D.

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La circoncision diminue les risques de VIH et accentue le plaisir

Pour la première fois, une étude démontre que la circoncision pourrait être un moyen de prévention contre les infections au VIH.
 
D’après une recherche effectuée en Afrique du Sud par l’Agence française de recherches contre le sida, la circoncision réduirait les risques d’infection au VIH de 76 %.
 
Les travaux de recherches ont été effectués dans un bidonville d’Orange Farm, où le taux d’infection au VIH est très élevé. Avec une vaste campagne de promotion de la circoncision, 20 000 hommes ont opté pour cette chirurgie.
 
Dans ce bidonville, 40 % des hommes et 45 % des femmes sont infectés entre les âges de 35 à 39 ans.
 
Sur un échantillon de 1 000 hommes, dont la moitié étaient circoncis, qui avaient tous le même comportement sexuel, soit le nombre de partenaires et l’utilisation des préservatifs, les risques d’infection étaient effectivement de 76 % moins élevés chez le groupe circoncis.
 
De plus, une autre étude réalisée à plus petite échelle affirme que la circoncision augmente la satisfaction sexuelle chez les hommes.
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Nouveau traitement pour les enfants atteints du VIH

Selon Medical News Today, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme que plus de 2,3 millions d’enfants sont atteints du VIH, dont 92 % habitent en Afrique subsaharienne. Des associations mondiales provenant de partout se sont concertées afin de prioriser le développement d’un traitement contre le VIH adapté aux jeunes enfants.

En ce moment, les traitements existant contre le VIH ne sont pas adaptés aux jeunes. D’autre part, ils demeurent inaccessibles pour les pays en sous-développement, puisqu’ils sont trop dispendieux.
 
L’association Drugs for Neglected Diseases initiative (DNDi) a rassemblé diverses organisations telles que Médecins Sans Frontières (MSF), US National Institutes of Health, UK Medical Research Council et l’Agence Nationale de Recherche sur le Sida en France afin de concerter leurs efforts dans la priorisation du développement d’un traitement adapté.
 
La thérapie antirétrovirale adaptée aux jeunes enfants éviterait de nombreux décès annuellement. En Afrique subsaharienne, seulement 28 % des cas de VIH urgents sont traités.
 
Ainsi, il y a un consensus autour de la nécessité de développer un régime nettement amélioré basé sur un inhibiteur de protéase pour les enfants de moins de trois ans.
 
À quand le miracle? Nul ne peut le déterminer à ce jour, mais désormais, plusieurs forces du domaine en font leur priorité. D’ici là, plus de la moitié des enfants touchés meurent avant d’atteindre 2 ans.
 
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Les antirétroviraux pourraient aider à diminuer le risque de transmission du VIH

Des essais cliniques menés aux États-Unis par les National Institutes of Health (NIH) démontrent que les personnes séropositives qui prennent des antirétroviraux plus rapidement ont moins de chances de transmettre le VIH à leur partenaire séronégatif. En fait, les risques seraient réduits de 96 %, selon les NIH.
 
« Cet essai clinique montre de façon convaincante que traiter des séropositifs avec des antirétroviraux au plus tôt peut avoir un impact majeur pour réduire la transmission du VIH », affirme le Dr Anthony Fauci des NIH.
 
1 760 couples ont participé à cette recherche.
 
Récemment, en Afrique, on a interrompu une étude clinique sur le comprimé Truvada contre le VIH/sida, faute de résultats concluants.
 
Pourtant, l’automne dernier, avec ce même médicament testé auprès d’hommes homosexuels, on avait noté une baisse de 44 % du risque de nouvelle infection et jusqu’à 73 % moins de risques chez ceux qui prenaient le médicament le plus assidument.
 
Cette fois, auprès des femmes, les résultats étaient totalement différents et on ignore pourquoi.
 
Rappelons que 65 000 personnes au Canada sont séropositives.