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À la découverte de Brasilia, ville organisatrice du Mondial 2014

Brasilia est l’une des 12 villes organisatrices de la Coupe du monde. En voici un rapide aperçu :

Situation géographique : Brasilia se trouve au centre-ouest du pays.

Le saviez-vous? : La ville a remplacé Rio de Janeiro en tant capitale du pays en 1960.

À noter : Brasilia est la seule métropole du XXe siècle à être inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO. Créée ex nihilo par Lucio Costa et par l’architecte Oscar Niemeyer, la ville aux monuments ultra-modernes, voire futuristes, prend la forme d’un oiseau en vol.

Lors de sa visite à Brasilia, le cosmonaute Youri Gagarine, premier homme à avoir voyagé dans l’espace, aurait déclaré : « J’ai l’impression de débarquer sur une autre planète ».

Population : 2 570 160 habitants
À voir et à faire : 

Le lac Paranoá
Il s’agit d’un lac artificiel créé pour compenser la sècheresse de la saison estivale. On y pratique de nombreuses activités aquatiques, notamment le canoë et la planche à voile.

La Cathédrale de Brasilia
Dessinée par Oscar Niemeyer, cette église est un monument majeur de la ville avec ses 16 piliers qui s’élèvent en une structure hyperboloïde.

Centre Culturel Banco do Brasil
Le site CCBB de Brasilia fait partie des principaux centres brésiliens dédiés à l’art contemporain. Le musée comporte deux galeries, un cinéma, un café et une librairie.

Palácio da Alvorada
Le « Palais de l’aurore » est la résidence présidentielle.

Parc national de Brasilia 
À 10 km du centre-ville, cette oasis de verdure permet la baignade et la randonnée. On y croise des espèces animales rares et en danger comme le tatou, le tamanoir géant, l’ocelot et le loup à crinière.

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Songdo, en Corée du Sud, exemple parfait de ville intelligente

L’équipe éditoriale de CN Traveler a rassemblé les destinations les plus innovantes dans une liste qu’elle appelle « les villes les plus intelligentes du monde », car elles mènent une révolution dans le domaine de l’urbanisme intelligent.

Songdo, en Corée du Sud, est présentée comme le parfait exemple : une ville construite de toute pièce où tous les bâtiments dans un rayon de 6 km² seront certifiés conformes au LEED (soit Leadership in Energy and Environmental Design, un système américain de standardisation des bâtiments, semblable au concept français de Haute Qualité Environnementale). Des capteurs et des ordinateurs seront également placés le long des routes et des édifices pour évaluer et ajuster la consommation d’énergie.

Songdo, qui se trouve à 64 km au sud de Séoul, a coûté 35 milliards de dollars et forme le plus grand projet immobilier privé du monde. Elle devrait être achevée en 2017.

Parmi les autres villes sur la liste, on compte Masdar aux Émirats Arabes Unis, où 500 foyers seront alimentés en énergie grâce à des panneaux solaires et aux sources renouvelables, et où les voitures seront interdites. À la place, les habitants se déplaceront à vélo, à pieds ou emprunteront les transports en commun. La ville sera aussi le quartier général de l’Agence internationale de l’énergie renouvelable.

Vienne s’est également fixé des objectifs pour devenir une ville neutre en carbone d’ici 2020.

Voici la sélection de CN Traveler des villes les plus intelligentes :

Songdo, Corée du Sud
PlanIT Valley, Portugal
Masdar, Émirats Arabes Unis
Fujisawa, Japon
Barcelone, Espagne
Copenhague, Danemark
Vienne, Autriche
Manchester, Angleterre
New York, États-Unis

Pour plus de détails, vous pouvez consulter http://cntrvlr.com/1i1KwCs (en anglais).

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Paris, sixième ville la plus attractive au monde

Sur les trente villes en compétition, la capitale française prend la sixième place du classement Cities of opportunity 2014 du cabinet PwC réalisé à partir de dix critères. Au dernier classement, elle était quatrième.

La première place revient à Londres, qui devance New York, Singapour, Toronto et San Francisco, toujours de même source. Hong Kong se classe 8e, alors que Pékin et Shanghai sont respectivement 19e et 20e

Paris est championne pour son capital intellectuel et son capital de l’innovation. Elle se distingue également pour son système éducatif, la protection de l’environnement, la préservation du milieu naturel et ses transports en commun. La capitale française obtient même la première place pour la couverture de ses transports en commun.

Mais l’agglomération de plus de 10 millions d’habitants chute de la 1re à la 7e place pour les critères de « qualité de vie » et de « ville la plus chère au monde », quand Londres se classe 2e. Paris est pénalisée par ses embouteillages et les difficultés à se loger (14e au classement pour ces deux indicateurs).

La Ville Lumière descend également de la 2e à la 4e place en termes de puissance économique, « en raison notamment des charges qui pèsent sur les entreprises et de la faible croissance du PIB ».

Paris demeure d’ailleurs 3e en ce qui concerne le nombre de sièges sociaux des 500 premières entreprises mondiales installés dans la capitale française.

Paris, réputée pour son système scolaire et universitaire, occupe en revanche la première place de la catégorie « capital intellectuel et innovation » devant Londres et San Francisco, soit deux places de mieux qu’en 2012.

Selon l’étude, cette première place « réfute clairement l’idée que les non-anglophones ne peuvent pas prendre part à la compétition, intellectuellement ou techniquement, dans le contexte de la mondialisation actuelle de l’anglais ».

Seul bémol dans cette catégorie, l’accès insuffisant à Internet dans les écoles parisiennes, loin derrière Singapour, Londres ou Séoul, ce qui affecte également la performance de Paris dans la catégorie « maturité technologique » (11e place).

En dépit de sa première place pour les salons professionnels internationaux, Paris a chuté du 2e au 7e rang dans la catégorie « connectivité des villes ». La liaison directe entre Orly, Roissy et le centre, prévue dans l’aménagement du Grand Paris à l’horizon 2025, pourrait l’aider à remonter dans le classement.

Enfin, Paris est 5e dans la catégorie « transports et infrastructures », soit cinq places de mieux qu’il y a deux ans, s’appuyant sur sa première place pour son réseau de transports en commun.

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Le Club Sandwich Index désigne Genève comme la ville la plus chère du monde

La ville suisse est apparue comme la ville la plus chère du monde selon le Club Sandwich Index, un indice créé pour servir de baromètre des villes les plus abordables.

Après s’être penché sur le prix moyen des club sandwichs proposés par les hôtels des grandes villes à travers le monde, un sondage réalisé par Hotels.com a découvert qu’à Genève, les touristes sont le plus susceptibles de débourser 32,60 dollars en moyenne pour le classique sandwich de base.

Les résultats du sondage 2014 ont peu changé par rapport à ceux de l’année précédente, Genève reste en tête, suivie par Paris, où les touristes doivent s’attendre à payer 29,36 dollars en moyenne pour un club sandwich.

Selon l’indice, lorsque l’on regarde à l’autre extrémité, la destination la plus abordable est New Delhi, où en moyenne les hôtels vendent leur club sandwich au prix modeste de 8,78 dollars.

Une autre découverte du rapport qui vaut le coup qu’on s’y attarde : les prix à Sydney ont subi la plus grosse chute l’année dernière et sont passés de 20,53 dollars à 16,93 dollars cette année.

Pour compiler le classement, les chercheurs ont calculé le prix moyen d’un club sandwich dans 30 hôtels pour chaque destination. Au total, 840 hôtels, allant de trois à cinq étoiles, ont été examinés.

Voici les résultats du sondage :

1. Genève (32,60 dollars)
2. Paris (29,36 dollars)
3. Helsinki (24,35 dollars)
4. Stockholm (24,05 dollars)
5. Oslo (23,80 dollars)
6. Londres (22,60 dollars)
7. Tokyo (22,11 dollars)
8. Hong Kong (21,26 dollars)
9. Rome (21,24 dollars)
10. Copenhague (20,95 dollars)

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Deux grandes villes américaines bannissent la cigarette électronique

Bien que la cigarette électronique profite de plusieurs appuis et de certaines études positives depuis quelques mois, l’outil pour encourager l’abandon du tabac n’obtient pas l’unanimité, loin de là.

Tellement que deux grandes villes américaines viennent de bannir la cigarette électronique de leur territoire, rapporte Le Devoir.

Il s’agit de New York et de Chicago, qui annoncent une nouvelle loi interdisant l’usage de la cigarette électronique dans les bars, les restaurants et les endroits publics, un peu à l’image de la cigarette elle-même.

Ce que les autorités redoutent et décrient, c’est que l’acceptation trop facile et globale de la cigarette électronique donne envie aux plus jeunes d’utiliser le « vrai » produit, puisque plusieurs cigarettes électroniques utilisent une solution comprenant de la nicotine, en plus d’être offertes en différentes saveurs « attirantes ».

Du côté de New York, la loi s’applique également aux parcs et aux plages.

La cigarette électronique connait un gain de popularité immense depuis quelque temps, et de plus en plus de gens confirment que le produit a contribué à les faire arrêter de fumer. Certaines études mettent cependant en garde des effets à long terme, dont on ignore l’étendue pour le moment.

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Venise, ville la plus romantique

La Cité des Doges se révèle comme le lieu préféré des Français (27 %) pour fêter la Saint-Valentin, selon un sondage Lastminute.com.

Paris (17 %) et New York (10 %) complètent le top 3 des destinations les plus romantiques au monde. À noter : les Espagnols (34 %), les Italiens (43 %) et les Britanniques (27 %) font de la Ville lumière la capitale de l’amour.

Côté activité, rien de bien original pour les personnes interrogées. Près de 30 % des Français emmèneraient bien leur moitié dans un restaurant gastronomique, 22,4 % se verraient bien sur une plage en amoureux, tandis que 20 % profiteraient des températures hivernales pour se blottir l’un contre l’autre devant un feu de cheminée.

Cette étude a été menée en janvier 2014 par l’institut OnePoll pour Lastminute.com auprès de 5000 personnes en Europe, dont 1000 en France, âgées de 18 ans et plus selon la méthode des quotas.

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Paris revendique son titre de ville la plus fréquentée au monde, devant Londres

Qui de Londres ou de Paris décrochera le titre de ville la plus fréquentée au monde? Pour l’heure, aucune statistique disponible ne permet de donner un verdict définitif. Selon Visit Britain, Londres serait en passe de détrôner la Ville Lumière.

« La capitale britannique est en voie d’accueillir plus de 16 millions de visiteurs internationaux en un an pour la première fois de son histoire », a indiqué London & Partners. Un record qui lui permettrait de s’octroyer la première place sur le podium des destinations les plus courues par les vacanciers dans le monde.

Un chiffre qui est en fait une extrapolation des données de l’Office national des statistiques (ONS). Pour l’heure, les seules données disponibles, et consolidées, sont celles de la fréquentation sur les neuf premiers mois de 2013. Sur cette période, la capitale britannique a reçu 12,8 millions de visiteurs venant de l’étranger, soit une augmentation de 12 % par rapport à 2012.

Paris a aussi tôt réagi à cette « autoproclamation ». Dans un communiqué, la capitale française indique qu’« à ce stade, les chiffres consolidés tendent à maintenir Paris comme la première capitale touristique mondiale ».

En attendant les données officielles et définitives sur l’année écoulée, Paris peut continuer à se targuer d’être la ville préférée des touristes dans le monde. En 2012 (seules données comparables pour le moment), la Ville Lumière a reçu 29 millions de vacanciers étrangers, contre 27,9 millions pour sa rivale britannique.

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Les musées de la Ville de Paris enregistrent une fréquentation record en 2013

Les musées de la Ville de Paris (Musée d’Art Moderne, Palais Galliera, Petit Palais…) ont accueilli l’an dernier 3 037 766 visiteurs, soit une fréquentation en hausse de 27 % par rapport à l’année 2012, indique dans un communiqué le service de presse de la mairie. 

Après 2008 et 2010, il s’agit ainsi du meilleur bilan annuel dans l’histoire des musées de la Ville de Paris. Les collections permanentes, gratuites, ont attiré 1 363 144 personnes, tandis que 1 674 622 visiteurs ont découvert les expositions temporaires (en hausse de plus de 65 % par rapport à l’année 2012). 31 198 personnes ont également participé aux autres activités culturelles. 

L’exposition Keith Haring au Musée d’Art Moderne a constitué l’un des principaux temps forts avec 300 000 visiteurs. Le Palais Galliera, de son côté, a attiré plus de 200 000 personnes après sa réouverture en septembre. 525 000 personnes ont par ailleurs visité le Petit Palais en 2013. Au total, les musées municipaux ont proposé une trentaine d’expositions sur cette même période. 

La Ville de Paris propose depuis l’automne la carte Paris Musées (40 euros pour une personne, 60 euros pour un duo, et 20 euros pour les jeunes) pour profiter de façon illimitée aux expositions des musées municipaux. 

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Kilian dédie sa nouvelle fragrance à la ville de New York

Pour célébrer l’ouverture de sa première boutique aux États-Unis, plus précisément à New York, la marque de luxe Kilian présente un parfum boisé entièrement dédié à la Grosse Pomme.

Ce nouvel opus, qui sera uniquement vendu à la boutique Kilian de New York et sur l’e-shop de la marque, rend également hommage aux caves de Cognac, héritage familial de Kilian Hennessy. L’essence a ainsi été construite avec des effluves boisés rappelant un jus de Cognac, avec un clin d’oeil olfactif à New York.

L’élaboration de ce jus a été confiée au nez Sidonie Lancesseur, à qui la marque doit également les parfums Straight to heaven, Cruel Intentions ou encore Incense Oud.

La pyramide olfactive se compose de cèdre boisé du Texas, de cèdre blanc de Chine et de labdanum d’Espagne, évoquant le boisé fumé des fûts de chêne, ainsi que des notes de sucre d’alcool de vanille et d’ambroxan. La référence à New York est retranscrite grâce à un accord manzana, rhum et prune.

La fragrance Apple Brandy de Kilian sera offerte à compter du 13 décembre prochain, en vaporisateur réutilisable de 50 ml.

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La ville de Paris ouvre sa boutique en ligne

Le 5 décembre, la Mairie de Paris lancera sur le web sa boutique en ligne, proposant à la vente une sélection de produits liés à la ville.

Sur www.boutique.paris.fr, les internautes pourront par exemple s’offrir un mug ou un sac à l’effigie de Vélib’, des affiches à l’ancienne, des cartes postales ou encore une carafe estampillée Eau de Paris. L’incontournable porte-clés tour Eiffel sera aussi de la partie, mais au-delà des gadgets souvenirs, la Mairie de Paris souhaite rendre accessible la création parisienne et son offre culturelle.

Les ouvrages des quatorze musées de la ville seront en vente, tout comme les publications et objets édités par le 104, le Pavillon de l’Arsenal ou la Gaîté Lyrique, autant d’invitations à découvrir ces lieux de culture ou à s’offrir le catalogue d’une exposition que l’on n’aurait pas pu venir visiter.

Des créations originales de marques emblématiques liées à l’histoire de la capitale seront aussi proposées en exclusivité. Les chaises en fer de la maison Fermob, qui ornent depuis peu la place de la République, et dont un modèle plus ancien équipe depuis longtemps le jardin du Luxembourg, seront par exemple offertes sur le site, tout comme les bateaux miniatures qui depuis des lustres font le bonheur des enfants sur les bassins parisiens, fabrication des ateliers bretons Tirot. Mariages Frères, institution du thé installée dans la capitale depuis près de 160 ans, proposera trois mélanges créés spécialement pour le site.

Cette e-boutique mettra également à l’honneur le travail de jeunes entrepreneurs de la capitale, comme la société Overade qui proposera un casque à vélo pliable ou Recycl’ère qui fabrique des trousses à partir des chambres à air usagées des Vélib’.

Au total, les internautes trouveront dans un premier temps plus de 250 références, dans les domaines de la mode, de la maison et de la culture, avant de voir l’offre s’étoffer dans les mois à venir. Conçu autant à destination des Parisiens que des touristes, le site sera accessible en six langues : français, anglais, allemand, espagnol, portugais et russe.