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Montréal parmi les trois meilleures villes d’été

On apprend que Lonely Planet vient de nommer Montréal comme la troisième meilleure ville d’été. La cité québécoise se place derrière Barcelone et Sydney.

Cette reconnaissance vient d’un sondage effectué auprès de lecteurs et d’utilisateurs Facebook et Twitter du Lonely Planet.

Mentionnons aussi que Montréal a ainsi surpassé Berlin, New York et Londres quant à son tourisme estival. Il semble que l’animation de la ville après les longs mois d’hiver soit finalement appréciée à sa juste valeur.

Pourtant, l’affluence des touristes à Montréal n’est pas qu’affaire de saison chaude. Si elle accueille 32 % de ses visiteurs en été, 25 % préfèrent pourtant y passer durant le printemps. Un nombre presque égal y vient durant l’automne et l’hiver (respectivement 23 % et 20 %). Précisons que Montréal accueille chaque année 7,5 millions de touristes.

Cette nouvelle est donc encourageante, car rappelons que cette semaine, Montréal a encore perdu des points au palmarès du magazine britannique Monocle sur les villes où il fait bon vivre. Rendue au 14e rang, Montréal souffre réellement de sa mauvaise administration municipale.

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Les lumières nocturnes des villes augmentent les risques de cancers

Il semble que l’on produit moins de mélatonine (hormone du sommeil) avec les lumières artificielles des villes la nuit et ce phénomène favoriserait la croissance des cellules cancéreuses.
 
Quatre groupes de souris ont été étudiés par une équipe du Centre de recherche chronobiologique interdisciplinaire de l’Université d’Haifa en Israël.
 
À noter que la lumière qui servait de lumière du jour était artificielle et que ces souris avaient toutes reçu des cellules cancéreuses.
 
Ainsi, un premier groupe a été exposé à de longues journées de 16 heures et des nuits de 8 heures. Le deuxième groupe avait le même rythme, mais il recevait de la mélatonine. On a soumis les rongeurs du troisième groupe à 8 heures de jour et 16 heures de nuit et finalement, le dernier groupe avait une exposition à la lumière toutes les 30 minutes durant la journée.
 
Les souris avec une exposition à la lumière du jour moins longue et celles ayant reçu de la mélatonine ont vu leurs cellules cancéreuses connaître une croissance moins importante. Par contre, les animaux ayant eu des nuits entrecoupées de lumière ont vu leur cancer croître de 1,8 cm cube, alors que le groupe ayant eu les plus longues journées avait une évolution de 5,92 cm cube.
 
Avec les lumières artificielles des villes durant la nuit, on produit moins de mélatonine et c’est ce qui favorise donc le développement du cancer.
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Taux de dépression et vie rurale

Une étude menée par Samia Mechakra-Tahiri, du Département de médecine sociale et préventive de l’Université de Montréal, nous apprend que le taux de dépression chez les aînés est plus élevé selon l’endroit où ils habitent.

Ainsi, la dépression touche 17 % des personnes âgées lorsqu’elles habitent en campagne, comparativement à 15 % en milieu urbain.

Cet écart entre la campagne et la ville a particulièrement été observé chez les 85 ans et plus, alors que la prévalence de la dépression est plus du double en milieu rural (24,3 %) qu’en région métropolitaine (10 %).

Selon les chercheurs, plusieurs facteurs, comme un cercle social important, du bénévolat ou la présence d’un conjoint et d’enfants au quotidien, peuvent aider à prévenir la dépression.

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Vivre en ville augmente les risques de cancer

Une recherche de le Breast Institute de Londres a comparé la densité mammaire entre les Londoniennes et les Britanniques qui habitent en campagne. Les femmes urbaines ont davantage les seins denses que celles qui vivent en banlieue ou en campagne.

La densité mammaire est intimement liée à un risque plus élevé de souffrir du cancer du sein. Selon le docteur Nicholas Perry, directeur de la recherche, le risque d’en souffrir augmente de 2 % à chaque 1 % d’augmentation des seins denses.

« Notre étude démontre que plus une femme réside en milieu urbain où la population est grande, plus les tissus glandulaires dans sa poitrine augmentent », a ajouté le M. Perry.

En 2007, la Société canadienne du cancer évalue à 22 300 le nombre de femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein et à 5 300 celles qui en mourront.

Parmi les facteurs aptes à provoquer la maladie, on note les antécédents familiaux, les menstruations précoces, une ménopause tardive, le surplus de poids, etc.