Étiquette : violence conjugale

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Une autre arrestation pour Edward Furlong

Malgré l’interdiction d’entrer en contact avec son ex-copine, Monica Keena, l’acteur déchu aurait pénétré dans la demeure de la jeune femme, qui a contacté la police pour le faire arrêter après une altercation verbale.

Furlong avait reçu une ordonnance de la cour à la suite de 2 arrestations en moins de 5 mois pour violence conjugale.

C’est sur TMZ que nous apprenons que, comme l’enfant terrible avait été placé sous probation en 2010 pour une période de 3 ans, c’est aussi un nouveau bris d’ordonnance qui pèse contre lui étant donné que celle-ci l’obligeait à se tenir tranquille et loin des problèmes.

Alors qu’il n’a toujours pas purgé sa peine de 6 mois de prison fermes jugée en 2010 pour violence conjugale envers sa conjointe de l’époque, Rachael Bella, et leur fils Ethan, la vedette de Terminator ne semble pas encore avoir compris la leçon.

Pour le moment, il est toujours détenu sous une caution qui s’élève à 100 000 $.

Edward Furlong s’est fait connaître en incarnant le personnage de John Connor dans Terminator 2 de James Cameron aux côtés d’Arnold Schwarzenegger. Alors que ce rôle lui ouvrait les portes de la célébrité, ses problèmes de consommation et ses troubles avec la justice lui auront malheureusement coupé l’herbe sous les pieds.

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Edward Furlong perd un contrat cinématographique à cause de son arrestation

Edward Furlong a été remplacé dans la prochaine comédie romantique dans laquelle il devait jouer.

À la suite de sa détention par les policiers de Los Angeles, les représentants de Furlong, 37 ans, ont reçu la lettre des producteurs du film Other Plan. Ils mettaient un terme au contrat de l’acteur.

Selon TMZ, la lettre mentionne : « Considérant le statut de détenu d’Edward relativement à deux accusations de violence conjugale, il nous est désormais impossible de retenir ses services, comme indiqué dans notre contrat ».

Le producteur, Joe Eckardt, a également mentionné que le film a été trop longuement retardé. En effet, le retard était déjà causé par l’attente du règlement des précédentes arrestations de Furlong. « Il est temps d’aller de l’avant et de faire notre film sans lui. »

Rappelons que la star a été appréhendée trois fois par la police en 3 mois, soit en octobre et novembre 2012, puis au début de cette semaine.

L’ex-femme de Furlong, Rachael Kneeland, a aussi obtenu une ordonnance restrictive stipulant qu’il ne peut voir ses enfants sans être sous surveillance.

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Edward Furlong arrêté pour la 3e fois pour violence conjugale

C’est TMZ qui rapporte que dimanche dernier (13 janvier), vers 5 h 45, l’acteur connu pour son rôle de John Connor dans Terminator 2: Judgment Day était détenu par la police de Los Angeles.

En l’amenant au poste de police, ils ont découvert que Furlong devait encore une caution de 30 000 $ pour sa précédente arrestation, à la suite du même motif : violence conjugale.

Il semble aussi que la star troublée de 37 ans soit encore détenue à l’heure actuelle, et la caution de sa libération s’élève désormais à 50 000 $. Il a paru en cour ce matin même à 8 h 30, heure locale.

Le passé d’abus de drogue et d’alcool d’Edward Furlong est bien connu, de même que ses multiples entrées et sorties de centres de désintoxication. Cependant, depuis octobre, ses problèmes se tournent tous vers la violence.

Contrairement à Chris Brown, par exemple, qui a été accusé une seule fois d’avoir levé la main sur Rihanna, les trois arrestations de Furlong ont été effectuées à l’intérieur de 3 mois. En octobre et novembre dernier, puis celle-ci.

L’ex-femme de l’acteur, Rachael Kneeland, avait pour sa part compris le problème de Furlong. Désormais, il ne peut voir son fils de 6 ans à moins d’être supervisé.

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Quand violence conjugale rime avec dépression post-partum

Pour les spécialistes, il n’est pas surprenant qu’il y ait un chevauchement entre la dépression et la violence d’un partenaire intime. Il s’agit là d’un indice fondamental pour dépister un problème ou l’autre lors de consultations avec ces patientes.

Pour le Dr Barry Salomon, l’auteur principal de l’étude : « C’est un grand message que nous voulons envoyer aux pédiatres qui voient les mères accompagner les bébés en clinique. Si vous détectez la dépression post-partum ou la violence conjugale chez une femme, soyez alerte et aidez-les, car l’un est fortement associé à l’autre et vice-versa ».

Le Dr Salomon n’a pas hésité à souligner à nouveau à Reuters « que les mères qui sont déprimées ou sont dans une relation violente ont un effet négatif sur les enfants ».

Grâce à des questionnaires remplis par des mères qui visitaient des cliniques de pédiatrie depuis février 2008, les chercheurs ont conclu que la plupart des femmes violentées étaient des adolescentes qui avaient donné naissances et des Afro-Américaines. Une mère sur quatre semblait avoir souffert de dépression post-partum, et une sur 14 était violentée.

Les mères qui vivaient une relation malsaine avec leur partenaire étaient deux fois plus susceptibles de souffrir de dépression post-partum que celles qui ne vivaient pas de sévices.

De même, les femmes souffrant de dépression post-partum étaient quatre fois plus susceptibles d’être parmi celles qui étaient victimes de violence à la maison.

L’étude, publiée dans le Journal of Pediatrics, a également constaté que les mères souffrant de dépression post-partum étaient plus susceptibles, probablement par anxiété, d’amener leurs enfants à l’urgence plus souvent.

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Mel Gibson a la garde de son enfant

En mai dernier, Oksana Girgorieva, l’ex-conjointe de Mel Gibson, avait permis à l’acteur de voir leur enfant, et ce, sans surveillance.

En effet, TMZ a appris qu’un accord de garde légale avait été signé quelques mois avant les allégations de violence conjugale de la musicienne russe et son refus public de laisser l’acteur s’occuper de leur petite fille, Lucia.

Le 16 mai 2010, Grigorieva a posé sa signature sur un document stipulant que Gibson avait certains jours de garde légale et physique de l’enfant et, surtout, qu’il pouvait s’occuper d’elle sans supervision.

L’accord indique en plus les jours et les heures de garde, de même qu’un horaire pour les vacances. La nounou devait aussi organiser un appel Skype entre le père et l’enfant dans les moments où Gibson n’en avait pas la garde. Finalement, on peut y lire que cette garde devait être partagée également entre les deux parents lorsque la petite Lucia aurait 3 ans.

Il semble que Grigorieva ait eu quelques trous de mémoire dans les mois suivants, notamment lors de la fête des Pères, quand le cas a été porté en cour parce qu’elle avait refusé à l’acteur de prendre sa fille avec lui.

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L’ex-conjointe de Mel Gibson demande une pension

La saga ne semble pas être terminée entre le controversé acteur-réalisateur et sa conjointe.

Rappelons que dans les derniers mois, les frasques du couple ont fait les manchettes plus d’une fois, notamment pour des accusations de violence conjugale envers Mel Gibson.

Depuis leur séparation, Grigorieva reçoit 5 000 $ par mois de pension pour elle et leur fille de 9 mois, Lucia, rapporte TMZ. On ajoute que Gibson paie aussi les frais de la résidence de Sherman Oaks où son ex-conjointe habite.

La musicienne russe demande maintenant que la pension qui lui est versée soit augmentée pour un montant de plus de 40 000 $ par mois.

Toujours selon TMZ, Grigorieva recevrait aussi une pension de son ex-conjoint, Timothy Dalton, pour leur fils de 13 ans, Alexander. Ce soutien financier s’élèverait à 2 500 $ par mois.

Pour ce qui est du soutien versé par Mel Gibson, il semble que le juge n’a pas encore statué sur la nouvelle requête.

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Le cas de Mel Gibson dans les mains de procureurs

People nous apprend qu’après une longue semaine d’enquête menée sur les récentes allégations de violence conjugale concernant Mel Gibson, les détectives ont transmis le cas au ministère public.

Plusieurs mois pourraient maintenant s’écouler avant que les procureurs de Los Angeles prennent une décision quant aux événements survenus entre l’acteur et son ex-conjointe.

Oksana Grigorieva, la mère de leur petite fille de 10 mois, Lucia, détient un enregistrement de Gibson. On peut y entendre l’ancienne vedette de Lethal Weapon répondre à la présumée victime qu’elle « le méritait », lorsque cette dernière lui a rappelé qu’il l’avait frappée deux fois au visage pendant qu’elle tenait leur enfant dans ses bras. La musicienne russe prétend que Gibson s’en serait aussi pris au bébé.

La nouvelle s’était répandue rapidement sur le Web, où circulaient également des photos des blessures d’Oksana.

Les enquêteurs évaluent maintenant la possible tentative d’extorsion de la part de la femme de 40 ans envers l’acteur, à la suite de l’enregistrement de leurs conversations téléphoniques.

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L’AVC exacerbé par les conflits familiaux

Des travaux, menés auprès de 88 adultes ayant subi un accident vasculaire cérébral (AVC), permettent à Annie Rochette, professeure à l’Université de Montréal, de conclure que les conflits familiaux augmentent le risque d’AVC, particulièrement quand les rôles des parents sont ambigus.

 

Mme Rochette a interrogé ses patients sur plusieurs aspects de leur vie quotidienne un mois avant l’attaque cérébrale et a observé que, dans plusieurs cas, il y avait une certaine tension dans les relations interpersonnelles de ces familles.

 

Ces témoignages lui font croire que ces conflits pourraient être à l’origine de l’AVC.

 

Selon Mme Rochette, son étude peut représenter une piste de prévention de l’attaque cérébrale, comme elle en témoigne : « Cette stratégie pourrait se révéler efficace et d’autant plus nécessaire que ceux qui ont eu un premier ACV sont à risque d’en avoir un second. »

 

Selon l’Organisation mondiale de la santé, il se produit un accident vasculaire cérébral toutes les cinq secondes dans le monde.