Un récent sondage mené par l’Université du New Hampshire portant sur 4 500 jeunes et parents présente un constat des plus troublant.
58 % des enfants visés avaient été victimes de violence, d’un crime ou de sévices l’année précédant la recherche parue dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.
Plusieurs cas étaient aussi de l’intimidation, mais moins de la moitié des victimes (46 %) en ont parlé.
L’une des raisons à cela est que les autorités prennent plus au sérieux les agressions comme les sévices sexuels et les enlèvements que l’intimidation.
Il semble pourtant clair, en voyant ces chiffres, que les enfants et les adolescents vivent réellement sous la peur de celui qui les intimide.
Malgré tout, on dit que l’intimidation est prise plus au sérieux que par le passé, si l’on compare les données actuelles avec d’autres datant de 1992.
Mentionnons finalement que les enfants et adolescents participant à l’étude étaient âgés de 10 à 17 ans. Les parents étaient ceux d’enfants qui étaient âgés d’au moins 9 ans en 2008.