Dès l’âge de la cinquième année, les enfants qui jouent plus de deux heures par jour à des jeux vidéo violents sont plus susceptibles d’être dépressifs durant toutes leurs études que les jeunes qui ont joué autant de temps, mais à des jeux moins violents.
Les risques de dépression concernent tous les jeunes qui jouent à des jeux vidéo violents, et ce, peu importe le groupe ethnique, cite Science World Report.
La possibilité de « voir noir » est un élément nouveau, alors que des études antérieures avaient déjà prouvé que les enfants ou adolescents qui se livrent à des jeux vidéo classés pour adulte ou violents étaient plus à risque de devenir violents.
Les constats de l’étude conjointe des scientifiques de l’Université du Texas Health Science Center, de l’Université d’Alabama, du Centers for Disease Control and Prevention, l’hôpital pour enfants de Boston et la Harvard Medical School sont publiés dans la revue Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking.