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Musique

Clip violent et spectaculaire pour The Weeknd

Fort d’une nouvelle image et de ses nouveaux extraits explosifs, The Weeknd propose un autre vidéoclip violent.

Cette fois, un avertissement est même présenté avant le début du clip, réalisé pour la chanson False Alarm, et c’est une bonne chose.

Pour ceux qui ont le coeur assez solide et qui sont amateurs de cinéma d’action, de jeux vidéo à la GTA V ou encore du monde criminel, le vidéoclip pour False Alarm est un véritable petit bijou.

On retrouve les « protagonistes » (ou antagonistes, c’est selon), braqueurs de banque en vision de type première personne, exactement comme dans plusieurs jeux vidéo populaires sur le marché.

On suit donc pas à pas un vol de banque en direct, avant de voir les braqueurs cernés par la police s’empêtrer dans une fusillade qui prend des allures de guerre civile.

La fuite est absolument spectaculaire, et se marie à merveille avec l’excellent extrait de The Weeknd.

False Alarm est la plus récente offrande de The Weeknd tirée de son nouvel album, Starboy.

Le vidéoclip est réalisé par Ilya Naishuller, qui fera certainement parler de lui avec cette œuvre.

Découvrez ici le clip de The Weeknd pour False Alarm.  (attention, les images présentées dans cette vidéo ne sont pas pour un public de tous âges)

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Cinéma

Jessica Chastain en vedette dans A Most Violent Year

Une nouvelle bande-annonce pour le thriller d’époque A Most Violent Year est proposée, mettant en vedette une Jessica Chastain au sommet de sa forme.

Chastain partage la vedette de A Most Violent Year avec Oscar Isaac, qui propose ici un personnage sombre et intense à souhait.

L’histoire du film est celle d’un homme d’affaires (Isaac) qui apprend les dures réalités des affaires en 1981, et qui sera prêt à tout pour assurer un avenir prospère à sa famille.

Sa femme (Chastain) apparaît au départ très forte et lui offre un soutien inconditionnel malgré plusieurs décisions discutables, qu’elle finira par remettre en doute lorsque la sécurité et l’intégrité de ses enfants seront mises à l’épreuve.

A Most Violent Year s’annonce comme un film superbe, avec la sanglante année 1981 à New York comme toile de fond.

Le film est signé du réalisateur nommé aux Oscars, J.C. Chandor.

A Most Violent Year arrive en salles le 23 janvier 2015, rapporte Digital Spy.

Découvrez la bande-annonce de A Most Violent Year, de J.C. Chandor.

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Intervention préventive chez l’enfant pour éviter des adultes violents

Une étude collaborative entre quatre universités américaines, Duke, Pennsylvania State, Vanderbilt et Washington, a analysé 900 sujets pendant 19 ans pour arriver à cette conclusion.

L’objectif était de valider si une intervention appelée Fast Track Intervention (FTI) était efficace pour diminuer la prévalence de violence à l’âge adulte chez les enfants présentant les symptômes comportementaux agressifs.

Sur 10 000 enfants de 5 ans, 900 à risque élevé d’agressivité et de violence ont été séparés en deux groupes. L’un profitait de la thérapie FTI, alors que le second constituait le groupe contrôle.

Au terme du suivi, lorsque les jeunes étaient devenus des adultes de 25 ans, la FTI s’est avérée très concluante, indique Science World Report. Ceux qui avaient profité du programme avaient moins de dossiers criminels et d’incidences comportementales, ainsi que moins de troubles sociaux et de personnalité.

Le programme était constitué d’interventions régulières, tant à la maison qu’à l’école, basées sur le développement des aptitudes cognitives sociales et de la maîtrise des émotions.

Le succès de cette étude est sans précédent. Les résultats ont été publiés dans la revue American Journal of Psychiatry.

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Intervention préventive chez l’enfant pour éviter des adultes violents

Une étude collaborative entre quatre universités américaines, Duke, Pennsylvania State, Vanderbilt et Washington, a analysé 900 sujets pendant 19 ans pour arriver à cette conclusion.

L’objectif était de valider si une intervention appelée Fast Track Intervention (FTI) était efficace pour diminuer la prévalence de violence à l’âge adulte chez les enfants présentant les symptômes comportementaux agressifs.

Sur 10 000 enfants de 5 ans, 900 à risque élevé d’agressivité et de violence ont été séparés en deux groupes. L’un profitait de la thérapie FTI, alors que le second constituait le groupe contrôle.

Au terme du suivi, lorsque les jeunes étaient devenus des adultes de 25 ans, la FTI s’est avérée très concluante, indique Science World Report. Ceux qui avaient profité du programme avaient moins de dossiers criminels et d’incidences comportementales, ainsi que moins de troubles sociaux et de personnalité.

Le programme était constitué d’interventions régulières, tant à la maison qu’à l’école, basées sur le développement des aptitudes cognitives sociales et de la maîtrise des émotions.

Le succès de cette étude est sans précédent. Les résultats ont été publiés dans la revue American Journal of Psychiatry.

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Les jeux vidéo violents poussent les jeunes à être dépressifs

Dès l’âge de la cinquième année, les enfants qui jouent plus de deux heures par jour à des jeux vidéo violents sont plus susceptibles d’être dépressifs durant toutes leurs études que les jeunes qui ont joué autant de temps, mais à des jeux moins violents.

Les risques de dépression concernent tous les jeunes qui jouent à des jeux vidéo violents, et ce, peu importe le groupe ethnique, cite Science World Report.

La possibilité de « voir noir » est un élément nouveau, alors que des études antérieures avaient déjà prouvé que les enfants ou adolescents qui se livrent à des jeux vidéo classés pour adulte ou violents étaient plus à risque de devenir violents.

Les constats de l’étude conjointe des scientifiques de l’Université du Texas Health Science Center, de l’Université d’Alabama, du Centers for Disease Control and Prevention, l’hôpital pour enfants de Boston et la Harvard Medical School sont publiés dans la revue Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking. 

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Le somnambulisme comporte ses dangers

Le somnambulisme, ou le fait de marcher ou d’évoluer durant l’état de sommeil, n’est pas toujours un phénomène bénin. S’il peut parfois être sans risque, il comporte aussi son lot de dangers.

C’est ce que l’on apprend d’une étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, qui affirme que plusieurs incidents sont rapportés par des gens aux prises avec ce trouble du sommeil.

Du nombre des gens qui marchent en dormant,  58 % en moyenne auraient expérimenté des comportements violents ou agressifs. On craint donc pour l’intégrité physique de ces patients, en plus de celle de leurs proches, qui ne se rendent pas toujours compte de ces comportements nocturnes.

Outre ces conséquences potentiellement dangereuses, les somnambules sont souvent victimes de sévères fatigues durant le jour et sont souvent portés vers la dépression.

Pour contrer le phénomène, les experts français en tête de l’étude conseillent de se documenter sur le sujet et d’éviter les déclencheurs de ce trouble, comme de mauvaises habitudes de sommeil ou un stress trop important.

On conseille vivement à ces patients de bien verrouiller les portes et de même dormir au niveau du sol, s’il le faut. Installer une cloche aux portes n’est pas une mauvaise idée, puisque cela pourrait réveiller le dormeur qui tente d’en franchir une.

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Jeux vidéo violents dommageables pour les enfants du primaire

Les jeux vidéo violents ne sont pas présents uniquement sur les consoles de jeu. On peut facilement en trouver sur Internet. Or, de plus en plus d’enfants se retrouvent avec un ordinateur dans leur chambre, et ce, même lorsqu’ils sont âgés de moins de 13 ans.

Selon Independent.co.uk, de nombreux professeurs avisent les parents d’effectuer un contrôle plus efficace sur ces jeux auprès de leurs enfants, tant au niveau du jeu lui-même que du temps passé à y jouer.

L’Association of Teachers and Lecturers (ATL) au Royaume-Uni affirme que certains enfants, à l’insu de leurs parents, restent devant leur écran d’ordinateur jusqu’à minuit, voire plus tard, et les effets dommageables se font sentir sur leur qualité de sommeil et par la suite, au niveau du comportement scolaire.
 
Cette problématique, qui est étudiée par les divers ministères du Royaume-Uni afin d’émettre une législation plus adéquate pour empêcher les enfants d’avoir accès à ces jeux, concerne néanmoins les parents à l’échelle mondiale.
 
Mary Bousted, secrétaire générale de l’ATL, affirme que « certains jeux sont si violents qu’ils ont un effet direct sur le comportement des enfants de 6 à 12 ans. Leurs interactions sont si limitées avec les autres enfants qu’ils en oublient les bonnes manières ».
 
La solution ne consiste pas nécessairement au retrait de l’ordinateur, mais à l’instauration d’une protection parentale qui limite le contenu auquel l’enfant a accès. D’autre part, une vérification aléatoire devrait être effectuée afin de s’assurer que l’enfant se couche à l’heure souhaitée.
 
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Les enfants s’habituent-ils à la violence?

Au fil des recherches, on se contredit sur les jeux vidéo et la violence qu’ils présentent. Cette fois, des chercheurs de l’Université du Missouri parlent de l’habitude à la violence que peut entraîner ce type d’activité.

Ils abordent en fait la question de la montée de l’agressivité par ces jeux d’un autre côté. Ils ont remarqué chez des joueurs de jeux vidéo violents que leur cerveau présentait une moins grande réponse à la violence.
 
C’est finalement cette plus faible réaction cérébrale qui mènerait à un comportement plus agressif. Il y a donc lieu de se questionner quant à l’usage de ces divertissements chez les enfants.
 
En ce moment, on évalue que les enfants à l’école primaire passent en moyenne plus de 40 heures à jouer sur une console de jeux vidéo. Il s’agit là de l’activité qu’ils font le plus, après le temps passé à dormir.

La recherche en question comprenait 70 participants. Les résultats complets sont parus dans le Journal of Experimental Social Psychology.

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Quels sont les effets des émissions violentes?

Une étude de l’Université de l’Indiana vient de démontrer que la violence dans les médias n’aurait finalement pas les effets tant redoutés sur les enfants.

Selon les résultats parus dans Media Psychology, le fait qu’une émission de télévision ou un film soit violent n’aurait aucun impact sur le plaisir qu’en retire un enfant en le regardant. De plus, tout porte à croire que cette violence présentée aux plus jeunes n’aurait aucune influence sur leur caractère.
 
Ces résultats sont encourageants, car les produits médiatiques violents sont de plus en plus offerts aux enfants. On estime à 70 % les émissions pour enfants contenant des images ou des situations violentes.
 
Pour arriver à ce constat, les chercheurs ont questionné 128 enfants (tant de filles que de garçons) âgés de 5 à 11 ans. Contrairement à ce que l’on pense souvent, les dessins animés n’ont pas besoin de contenir des éléments violents pour être appréciés.

En fait, les enfants se basent sur d’autres points que le fait d’être violent pour aimer ou non un personnage de dessins animés. Il semble donc que les diffuseurs pourraient présenter des émissions moins violentes sans pour autant perdre l’intérêt du jeune auditoire.

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Les jeux vidéo ne rendent pas les jeunes plus violents

Une récente étude parue dans le Journal of Youth and Adolescence indique qu’aucun lien clair ne peut être établi entre les jeux vidéo et les agressions chez les jeunes.

Le Dr Christopher Fergusen de l’Université internationale A & M, au Texas, a dirigé l’étude en question.

Son groupe cible était composé de 302 participants âgés de 10 à 14 ans, lesquels vivaient au sein d’une communauté reconnue pour la violence chez les jeunes.

Ils ont été interviewés à deux reprises : au commencement de l’étude, puis 12 mois plus tard. Le Dr Fergusen a pris en compte l’exposition à la violence des jeux vidéo, au même titre que celle de leur vie normale.

Bien que certains des jeunes de l’étude aient été impliqués dans des actes violents (7 %), ni les jeux vidéo ni même la télévision n’auront encouragé de tels gestes.

Selon le Dr Fergusen, les indices à surveiller pour prévenir la violence seraient plutôt les symptômes dépressifs.