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Nouvelles quotidiennes

Faites un tour de manège virtuel dans la mine des Sept Nains à Disney World

Ce manège emmènera les visiteurs dans un grand-huit pittoresque plein de loopings qui passe à travers une mine aux parois incrustées de pierres précieuses et par la cheminée de la charmante demeure des Sept Nains.

L’achèvement du Train de la mine des Sept Nains marque également celui de New Fantasyland, la plus grande extension du parc Magic Kingdom.

L’attraction, dont l’ouverture est prévue le 28 mai, est équipée de wagonnets qui se balancent d’avant en arrière dans les tours et détours du parcours afin de rendre plus intense l’expérience vécue par les visiteurs. C’est la première technologie de ce type.

Après être entré dans une mine remplie de pierres précieuses qui brillent et avoir rencontré les sept nains qu’on voit bien sûr siffler en travaillant, le manège passe par la maison dans les bois où la présence de Blanche-Neige est très rapide (on la voit danser par la fenêtre).

Ce manège a reçu des commentaires élogieux de la part du Theme Park Review en raison de sa qualité d’attraction familiale, et il a été félicité pour les technologies d’animation utilisées pour donner vie à des personnages très expressifs.

Faire un tour virtuel avec Theme Park Review ici :http://bit.ly/1j2Vpb5.

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Le poker en ligne crée les plus graves dépendances

De tous les jeux de hasard en ligne, le poker est celui qui présenterait les plus grands dangers de dépendance, selon ce que rapporte Top Santé.

Si on connaissait les dangers relatifs au poker en ligne, une nouvelle étude dévoile maintenant quelques statistiques pour illustrer les risques de dépendance découlant de ce loisir, qui peut parfois prendre des allures de cauchemar.

L’étude française, proposée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), explique qu’un joueur de poker en ligne sur cinq parie de façon quotidienne, contre un sur dix pour les autres amateurs de jeux de hasard.

La moyenne de dépense annuelle est également la plus élevée chez les joueurs de poker en ligne, et se situe à près de 1200 dollars (CAN).

Mais la statistique la plus éloquente est celle qui dévoile la moyenne d’âge des amateurs de ces sites de poker. La moitié des joueurs auraient moins de 33 ans, et les trois quarts moins de 41 ans.

L’étude rappelle donc l’importance d’être vigilant, de jouer avec modération et de se souvenir que ce genre de jeu relève du hasard. Les allégations de tricheries et de collusion du côté de certains sites américains rendent donc la chose encore plus dangereuse, et les consommateurs de poker en ligne doivent être conscients du grand nombre de risques inhérents à cette activité.

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Nous perdons nos enfants au profit du monde virtuel

Une étude menée par AVG Technologies, auprès de plus de 6000 parents en novembre et décembre 2013, a fourni des résultats étonnants. Le questionnaire en ligne a permis à des parents de partout dans le monde de répondre.

Pour résumer, les enfants ont plus d’habiletés virtuelles que réelles dès qu’ils sont âgés de 2 à 5 ans. Ils sont en mesure de jouer sur un ordinateur ou un téléphone intelligent, pourtant, ils sont souvent incapables de monter à vélo ou d’attacher leurs souliers.

Parmi les données du sondage, que l’on peut retrouver en détail sur le site AVG Technologies, voici des résultats choquants :

De 0-2 ans

62 % des parents mettent en ligne des photos de leur enfant avant l’âge de 2 ans, sans compter que 8 % des parents ont créé un courriel pour leur bébé, et 6 % un profil sur un média social.

De 3 à 5 ans

66 % des enfants savent comment jouer sur des jeux simples en ligne, mais seulement 14 % savent comment lacer leurs souliers, et seulement 13 % connaissent le numéro de téléphone de leur mère.

De 6 à 9 ans

Près de la moitié des enfants jouent à des jeux de « monde virtuel », 16 % sont déjà sur Facebook, et 18 % ont un courriel personnel.

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Cinéma

Joaquin Phoenix en quête d’amour virtuel dans la bande-annonce de Her

L’un des films les plus étonnants de la nouvelle année pourrait bien s’avérer celui mettant en vedette Joaquin Phoenix et Scarlett Johansson, Her, qui raconte l’histoire d’un homme ordinaire et introverti qui s’amourache d’un nouveau système virtuel.

Ce système, cette voix, c’est justement celle de Scarlett Johansson, rappelle CinemaBlend, qui devient rapidement l’incarnation de la « femme idéale » pour le personnage de Phoenix, et qui devra conjuguer cette nouvelle réalité avec son quotidien.

Le réalisateur Spike Jonze propose ici une œuvre touchante et fort originale, selon ce que l’on peut constater de la bande-annonce proposée, et Her semble proposer d’excellentes performances d’acteurs.

À commencer par celle de Phoenix lui-même, qui pourrait effectuer un retour spectaculaire au sommet avec ce film. Il est appuyé par Amy Adams et Chris Pratt, qui seront des alliés du personnage principal.

Plusieurs critiques semblent déjà donner leur approbation au film, et Her pourrait facilement devenir l’un des meilleurs films du genre, à savoir un drame romantique, depuis longtemps.

Découvrez la nouvelle bande-annonce de Her, de Spike Jonze

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Nouveau traitement futuriste et prometteur contre la schizophrénie

C’est toute une percée que rapportent plusieurs médias, dont Santé Log, alors que des chercheurs sont à mettre au point un système futuriste et prometteur qui permettrait d’améliorer le traitement de la schizophrénie.

Il s’agit d’un système virtuel de thérapie par visualisation, créé par des chercheurs de l’University College London, qui permet aux patients d’affronter leurs hallucinations grâce à la matérialisation physique de celles-ci.

En proposant une image de type avatar, un personnage virtuel qui possède la même voix que celle imaginée par un patient, ce dernier est à même de confronter l’entité créée de toutes pièces pour faire progresser sa thérapie.

Le patient contribue à créer le personnage et à lui donner la voix la plus ressemblante possible à celle entendue lors des crises, et peut ensuite dialoguer avec lui sous la surveillance d’un professionnel.

À mesure que le traitement avance, on rend le personnage virtuel de plus en plus agréable et de moins en moins agressif et effrayant. Au fil de plusieurs séances, le patient reprend progressivement le « contrôle » sur la représentation virtuelle, permettant ainsi une meilleure compréhension de son mal et une meilleure gestion du stress.

De plus vastes essais cliniques sont en cours, mais on se dit très optimiste face à cette nouvelle façon de faire.